|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
Déontologie, c'est le premier mot qui me vient à l'esprit lorsque mon neveu me demande de parler de la liberté de la presse... et ceci parce que le passage d'un courrier citant la possibilité de se procurer GoldEd auprès de son créateur a amené quelqu'un à se plaindre... Je cite : "Si quelqu'un écrit dans une lettre que le piratage, c'est bien, ça coûte pas cher, vous la publiez ?". Ma réponse est "Non, c'est une information incorrecte". Bonne lecture... (Bruce Lepper : moi, j'aurais tendance à la publier, mais seulement si la lettre était signée. Et j'ajouterais probablement quelques commentaires. C'est pour cela que nous avons invité France Festival Distribution à commenter les propos du lecteur qui avait remarqué que GoldEd semblait être moins cher en Allemagne qu'en France. Vous pouvez lire leurs commentaires sur la page 12 du journal du mois dernier). Amigalère Cher Amiga News : en finir une fois pour toute avec les lectures harassantes sur les soi-disant repreneurs de notre machine à rêver... En finir une fois pour toute avec les polémiques sur la bienfaisante utilisation de l'Amiga et l'ombre assassine des PC et autre Macintosh... En finir une fois pour toute avec ces lecteurs bas de gamme dont l'aspect boutonneux n'a d'égal que l'impureté des comptes à régler... à régler avec ceux qui perdureront et nous qui mourrons peut-être sur place dans l'indifférence des mondes créatifs... J'ai un rêve... Le rêve que j'ai, tout le monde le fait... Rêver d'un Amiga... Rêver d'un sauvetage... D'un sauvetage de l'Amiga... Rêver d'être meilleur aussi... Rêver d'être sans rancune... Réver d'être meilleur et sans rancune... Ma mâchoire s'immobilise devant ce constat qui n'est plus virtuel, d'un monde à vivre ailleurs... Moi je n'ai plus d'espoir, les aveugles parlent d'une issue, moi je vois ! Terre à terre... Sans l'aide des revendeurs Amiga tels des rats quittant le navire, j'ai installé un second disque dur IDE interne (Seagate ST3491 Rev.B). Le Seagate est maître et mon Conner d'origine est esclave. La partition système de démarrage est installée sur le maître (Seagate). Lorsque j'allume mon 4000, le démarrage se fait sans problème [...], et les deux disques durs sont reconnus (présence des icônes des partitions du Seagate et du Conner). Cependant, lors d'une réinitialisation au clavier, une requête système me demande d'insérer les volumes correspondants aux trois partitions du Conner (esclave). Je dois donc cliquer sur "Annuler" et la liste des différentes assignations non trouvées défile. Enfin, apparaît l'écran du Workbench avec uniquement les icônes partition du Seagate (maître), et je n'ai plus accès au Conner. HDToolBox ne reconnaît même plus l'existence du Conner. Que faire pour que ce problème disparaisse ? Cette obligation de devoir rallumer l'Amiga ne serait pas problématique si je ne devais pas parfois me servir d'un G-Lock pour exécuter des maquettes vidéo et qu'il me faille redémarrer l'Amiga via le programme du G-Lock afin de synchroniser celui-ci avec ma machine, et cela, évidemment, sans éteindre l'Amiga. Petite précision, le Seagate a été acheté dans un magasin PC 600 FF moins cher que chez les revendeurs Amiga, idem pour des barrettes SIMM 16 bits d'un Mo, 100 FF moins cher par barrette... Pourquoi une telle différence de prix ? Merci de m'éclairer, maigre une clairvoyance sur un futur sombre... si sombre... mais l'océan... lecteurs... Il y a l'océan, avec ses vagues et ses naufrages... Philippe (France...). Alain Bourgery : Ce problème de disque dur a déjlà été traité dans un de mes anciens courriers, mais comme il revient souvent, je vais y répondre à nouveau. Les disques durs à la norme AT IDE exécutent lors de leur démarrage un auto-test leur permettant de connaître leur état. L'Amiga, à chaque démarrage, fait une recherche des périphériques présents. Chaque périphérique doit répondre "prêt" sous peine d'être exclu de la liste des présents et c'est ce qui arrive à votre Conner. Comme il est trop long à faire son auto-test, il n'est pas reconnu. La seule solution connue consiste à empêcher l'auto-test du disque dur en ne reliant pas le fil 1 de la nappe (signal RESET) : l'auto-test n'a alors plus lieu qu'à l'allumage de la machine. Si les prix d'accessoires Amiga ont souvent été plus élevés que ceux des produits PC, c'est qu'ils étaient généralement d'une meilleure qualité (c'est le cas des mémoires qui ont été livrées en 60 ans sur lAmiga bien avant de l'être couramment sur les PC) et que la baisse de prix n'est intervenue que parce que les ventes d'accessoires PC sont beaucoup plus nombreuses. Merci pour cette page de poésie dans ce monde de brutes... Bruce Lepper : Et nous ne voulons pas entendre parler de lecteurs qui se sauvent (ou se perdent) dans les vagues à cause de sombres histoires d'ordinateurs... Secouez-vous ! Utilisateurs et revendeurs Bonjour, j'aimerais moi aussi semer mon grain de sel dans cette explication entre les utilisateurs Amiga et leurs revendeurs accusés de passer "du côté sombre", à savoir pour ceux qui ne suivent pas les rubriques courrier, dans le monde du PC. De l'Amiga, j'en ai vendu, et même plutôt plus que la moyenne et ceci contre l'avis de ma direction qui ne voit que par les PC (pourtant moins margés). Depuis avril 1994, je n'ai plus de fournisseur capable de me livrer un Amiga, quel qu'il soit : j'ai donc raté des ventes, allant des A600 pour les enfants aux A4000 pour les vidéastes et autres concepteurs 3D. Et les éditeurs de logiciels ? Pour 10 à 20 logiciels qui sortaient par semaine en décembre 1993, il en est à peine sorti un sur la même période du mois de décembre 1994... Ma direction se refusant à faire de l'import parallèle, je me trouve donc face à un dilemne cruel, ne pas vendre d'Amiga et vendre du PC... Ce n'est donc pas de gaieté de coeur que je vends des PC, mais par obligation, et je peux confirmer ce que bon nombre d'amigaphiles affirment : "la configuration d'un PC, ce n'est pas de la tarte !" Rien que pour faire fonctionner un logiciel (quel qu'en soit son support), il faut parfois aller jusqu'à créer une disquette de démarrage pour gérer cette mémoire qui est l'épine des PC (plantée depuis dix ans dans leurs cartes mères...). Les nombreux périphériques existant n'ont pas non plus aidé à résoudre les problèmes puisqu'ils entraînent des menus de configurations à rallonge et jamais infaillibles (un exemple ? La carte vidéo Celsius Kelvin, une des meilleures sur le marché, n'est pratiquement reconnue spécifiquement par aucun logiciel SVGA... un comble). De là à tirer à boulets rouges sur le PC, non. Il faut leur reconnaître les meilleurs logiciels de bureautique (Word 6, Excel 5....) et de programmation (Visual Basic, Borland C++), ainsi que la taille du parc actuellement installe (quoique ce parc tourne assez rapidement à l'obsolète). Macintosh existe aussi, même si on le trouve dans beaucoup moins de petits magasins (il faut des connaissances spécifiques pour vendre ces produits). Ce qui m'attriste le plus dans cette perte (momentanée, je l'espère) de l'Amiga, c'est que je suis obligé de vendre des gros PC à plus de 5000 FF à des personnes qui auraient très bien pu se contenter d'un petit A600 à 1000 FF pour y taper ses trois lettres mensuelles et y gérer son compte en banque. Résultat : ils se dégoûtent de l'informatique (avec les problèmes de mémoire et de configuration) et gèrent un compte en banque grevé de 5000 FF... Messieurs les racheteurs, contactez-nous vite, on a besoin de nos Amiga. (un vendeur du nord-ouest de la France). Tribune PC Je viens de lire Aniouze... Il y a eu publication d'une lettre roman-fleuve de M. Tarbouriech. Voici mes commentaires : 1. Ce mec a une dent contre Cédric (et pas sur son opinion), ça c'est clair. 2. Dans la vie, on ne plaît pas à tout le monde (et oui). 3. Il est le modèle type de l'irréductible gaulois qui résiste à tout prix. Ce monsieur (que j'imagine bien responsable de quelque chose et très actif, d'après les démarches qu'il fait pour l'Amiga) a perdu son bon sens et je dis ça malgré l'apparence objective de ses propos et la logique, le bien fondé de ce qu'il avance. Le monsieur, il oublie de dire une chose : il est sous l'emprise de l'émotion parce que ça lui fait mal au ventre au moment où le créateur de l'Amiga est mort, de lire des articles qui mettent un peu plus le PC en valeur que l'Amiga. Et quelques réflexions en passant... Une machine n'est pas conçue pour faire plaisir à l'utilisateur ni au développeur, c'est simplement un outil moderne que l'on doit utiliser [...]. Évidemment, si on peut faire le bonheur de tous en plus... Dieu sait à quel point je me passionne pour l'informatique (ah Internet... les migales... Unix C... les études) mais jamais je ne comprendrai pourquoi deux êtres humains d'opinion différente peuvent se taper dessus pour une simple machine. Je trouve Cédric courageux d'exprimer son sentiment sur la façon avec laquelle il voit l'Amiga par rapport au PC (Cf. défense intelligente de l'Amiga) et son avenir (Cf. Cédric récidive, où va-t-on maintenant?) dans le contexte actuel. Je ne trouve pas ça normal qu'en raison d'erreur de publication et de prise de décision de la rédaction. Il soit la cible des Amigafans en mal d'hémoglobine (Cf. le titre "Défense intelligente" et les photos d'un PC à 6000 FF et d'un Amiga à 12000 FF). Une chose aussi que tout le monde oublie : il a eu droit à seulement deux pages pour exprimer son opinion la première fois et une seule la deuxième. C'est "très" nettement insuffisant pour traiter de tels sujets surtout dans de telles circonstances. Alors que les lecteurs qui réagissent ne sont pas, eux, limites par la taille. Corinne Villemin Gacon (21). Bruce Lepper : tout le monde peut se tromper, même vous. Cédric et Georges ont eu le temps de se contacter et ils s'entendent bien. Exprimer ses opinions avec passion est très bon pour les nerfs, et n'équivaut pas à "se taper dessus". De plus, nous n'avons jamais limité l'espace disponible pour Cédric. Mais vous avez raison de souligner l'attirance étrange qu'ont les hommes envers les machines (pas des machines à laver, tout-de-même. Pour intéresser un homme une machine doit être dirigeable par lui, et plus il est dirigeable mieux cela semble plaire à l'homme. On pourrait sans doute dresser une liste de machines selon leur capacité d'instaurer chez l'homme ces sentiments inattendus : agrafeuse, rasoir électrique, PC, brouette, etc. en arrivant à la fin aux objets qui peuvent créer de véritables conflits physiques entre hommes, tels voiture et Amiga). Défense "intelligente" de l'Amiga... suite... Cher Amiga News : il avait peut-être raison le mec, Cédric, dans son article de juin dernier. Et l'autre, "le Georges", quand il dit : "combien vaut le Power Mac avec SoftPC et combien coûte un A4000 et Emplant" d'un air de dire : "Avec l'Amiga c'est bien moins cher". Eh ! Georges, t'as vu chez Apple ? Ils viennent de sortir un machin, ça s'appelle Power Mac DOS. Si jusque-là on peut faire de gros reproches à Commodore quant à la commercialisation et la promotion de la machine, il est une chose qu'il faudrait faire entendre, bien haut et bien fort, surtout en France : les prix de la machine ont toujours été trop élevés. Et il est suicidaire de continuer ainsi. Amigafans, soyons fans sans être gaga, ni gogo. La vraie défense intelligente de l'Amiga c'est d'arrêter de dire n'importe quoi, c'est redescendre un peu sur terre et ne pas oublier que :
A partir de là on pourra faire valoir les arguments d'une architecture mieux conçue, et de l'émulation des autres plates-formes (quoique les autres y viennent aussi); non plus comme justifiant un prix supérieur, mais comme une bonne raison, à prix égal, ou mieux, inférieur, de choisir l'Amiga. De cette façon. il existe une chance réelle de convaincre : et davantage de monde. Voilà ce qu'il faut se dire, ce qu'il faut que la presse Amiga dise, ce qu'il faut dire (en masse) aux revendeurs et ce que les revendeurs doivent dire aux repreneurs (si rachat il y a). (pour aider les revendeurs je peux leur fournir de gros gourdins, pour qu'ils puissent enfoncer ça dans le crâne des fabricants, y a ce qu'il faut ici à la montagne). Selon moi, il est urgent de revoir ces prix. Avec les machines telles que nous les connaissons aujourd'hui (fin 1994), la gamme Amiga devrait donc s'échelonner ainsi :
Cher ANews, Je me permets de vous envoyer quelques lignes pour exprimer le plaisir que j'ai eu à dévorer la lettre de Georges Tarbouriech dans votre précédent numéro. Je partage pleinement son opinion sur tout ce qui fait l'informatique actuelle : du Next au C64 en passant par Unix, l'Amiga et toutes les versions de Windows. A ce propos, les versions bêta portent bien leur nom : si vous êtes morose, regardez tourner Chicago et le sourire vous reviendra aussitôt. D'accord, ce n'était qu'une préversion et le DX2/66 que j'ai utilise pour le test n'était peut-être pas assez rapide (?), mais je préfère le multitâche de mon Amiga (et de loin !). Essayez de lire un fichier qui est en cours de création (l'action d'écriture précédant toutefois la lecture) : ça marche sur Amiga, c'est impensable sur PC. On dira ce qu'on voudra, mais je préfère une machine conviviale, agréable à utiliser, une machine pleine de vie, de magie (j'exagère là ?) comme l'Amiga plutôt qu'une machine inerte sans âme. Philippe Ferrucci (69). 25 ko/s avec Twin Express Cher ANews, tout d'abord un grand bonjour et un grand bravo à toute l'équipe qui soutient si bien notre bon vieil Amiga. Je vous écris pour vous faire part d'une astuce qui va, croyez-moi, intéresser un bon nombre de vos lecteurs ! En effet, pour les possesseurs de Twin Express, logiciel de communication, savez-vous qu'il est possible d'augmenter la vitesse de transfert a 250 000 bauds, soit 25 ko/s ? Pour ma part, j'utilise Twin Express pour effectuer des transferts entre une CD32 et un A1200 et l'astuce est très simple car il suffit d'ouvrir un Shell et de taper : "TWIN SER 250000" ! Rendez-vous compte que 25 ko/s c'est plus rapide que les taux de transfert d'un lecteur de disquette et en plus à travers le port série ! Je vous déconseille fortement d'augmenter encore la vitesse car il y aura des dégâts pendant les transferts, je trouve que ce n'est déjà pas trop mal comparé aux 115 200 bauds d'origine ! Voilà, c'est tout pour l'astuce, par contre, je voudrais continuer en ce sens pour passer un coup de gueule au sujet du protocole de transfert Sernet... En effet, il n'est pas possible d'excéder 31 250 bauds (3 ko/s, ridicule...) sur un A1200 et une CD32 avec Sernet alors qu'avec Twin Express, on atteint sans aucun problème 250 000 bauds (25 ko/s), alors je voudrais qu'on m'explique ! C'est dommage car on pourrait utiliser la CD32 comme un "gros" lecteur de disquette puisque avec Sernet la CD32 est montée en volume "network" sur l'Amiga comme l'icône d'un lecteur de disquette que l'on peut ouvrir et fermer à volonté sous le Workbench, cela veut tout simplement dire que l'on pourrait véritablement piloter la CD32 via le port serie et sans utiliser le fameux Communicator à 25 ko/s. Pourquoi les créateurs de Sernet n'effectueraient-ils pas une mise a jour de celui-ci de façon à ce qu'il fonctionne à 250 000 bauds ? Je proposerais aussi que ceux-ci créent une sorte de volume CD0: équivalent au RAD: qui résisterait donc à la réinitialisation sur lequel on pourrait démarrer comme le DF0: par exemple puisque les taux de transfert seraient plus rapides que celui-ci. Vous imaginer la CD32 aurait enfin une bonne utilité comme lecteur de CD, tournant à la vitesse d'un lecteur de disquette certes mais pour à peine 1000 FF... Voilà, j'ai terminé. Longue vie à la revue et à bientôt ! Amigalement. Christophe Lyon, Saint-Nazaire (44). Alain Bourgery : Jusqu'où irez-vous ? (on peut imprimer et travailler en même temps ? C'est coooooooooooo !). M-O-R-T Messieurs, Utilisateur occasionnel d'Amiga... suite à vos commentaires sur la controverse Amiga-PC, je me dois de réagir. Les faits :
Alain Bourgery : comme vous pouvez le constater en ce début d'année (et en cette fin de l'autre au moment où je grave ces lignes dans la pierre (magnétique)), le débat Amiga/autres est encore ce qui remue le plus la petite cuillère à nos lecteurs/lectrices. Bruce Lepper : dans le monde de Jacques Billon, un magazine (et peut-être toute autre activité) est "fait pour gagner de l'argent". On peut voir le monde comme ça, il est vrai, ou on peut toute expliquer en termes de libido, ou de magnétisme, ou à la limite d'ondes sidérales. Mais souvent les gens qui démarrent un magazine ont tout simplement un véritable enthousiasme pour leur sujet et on aurait tort de l'oublier. Quant aux différences de prix, ce n'est pas pour rien que nous avons testé un lecteur CD Apple qui à l'époque était moitié prix des (rares) lecteurs disponibles chez les revendeurs Amiga (nos annonceurs). Vous avez peut-être remarqué que les choux en hypermarché sont moins chers que ceux du magasin de quartier, il y a de cela aussi. Et puis j'aimerais que vous nous expliquiez comment les usines qui fabriquaient l'Amiga "n'existent plus". Enfin, vous ne connaissez pas la R-E-S-U-R-R-E-C-T-I-O-N ? CéDez pour A500 Madame, Monsieur J'aimerais savoir SVP s'il y a un lecteur CD qui s'adapte à l'ordinateur Amiga 500. Si oui, pourrais-je en savoir le prix et le nom ? Je vous remercie infiniment ! Serge Bonjour, Salon de Provence (13). Alain Bourgery : il existait, du temps de l'Amiga 500/500+ victorieux, un lecteur de CD conçu par Commodore pour cette machine sous la référence A570. Il a d'ailleurs été testé dans le numéro 53 de votre revue préférée. De même, plusieurs constructeurs ont développé des interfaces SCSI pour Amiga 500/500+, permettant d'y connecter un lecteur de CD SCSI tel le CD300 d'Apple, que vous pouvez trouver un peu partout à moins de 2000 FF. Ces interfaces, dont la plus célèbre reste le HD500 de GVP (à la fois extension de mémoire, contrôleur SCSI et boîtier pour disque dur SCSI ont été testées dans plusieurs de nos numéros. Overdrive : jeux t'aiment Monsieur, Adorant mon Amiga 1200, et ce malgré la conjoncture actuelle, je me suis acheté un Overdrive de 120 Mo. Hélas je n'en sors plus. Je vous explique mon problème : suite à la lecture d'un courrier de la revue Amiga Computing d'octobre 1994, j'ai essayé d'installer Beneath A Steel Sky sur mon Overdrive à la position AQ1:. Il faut le lancer à partir d'AmigaDOS en tapant : "cd AQ1:Jeux/Beneath". En faisant ceci, l'Amiga me répond "objet not found" en parlant de AQ1:. Pour remédier à ceci, et c'est là que les problèmes commencent, je suis allé dans le programme AQToolBox fourni avec mon Overdrive et j'ai changé la priorité de la partition AQ1 de 1 à 2 (pour voir si ça marchait dans ce cas...). Depuis je ne peux plus utiliser mon disque dur, j'obtiens toujours AQ0: ou AQ1: "not a DOS disk" ! Pourtant je suis repassé en priorité 1 mais... l'Amiga ne reconnaît plus l'Overdrive : toujours "not a DOS disk". Comment faire pour qu'il le reconnaisse à nouveau sans avoir à le formater (je ne veux pas perdre toutes mes données) ? Quand sera-t-il réutilisable, pourquoi la commande "cd AQ1:Jeux/Beneath" ne marche-t-elle pas ? Je vous remercie de bien vouloir donner fin à mes tourments. Respectueusement. Nicolas Derancourt, Marseille (13). Alain Bourgery : je ne pense pas que le fait d'avoir modifié la priorité de démarrage ait provoqué le problème que vous me décrivez, mais je pense que l'installation de Beneath A Steel Sky est plus probablement responsable de la chose. En effet, j'ai installé ce logiciel (dans un disque dur interne, cependant) et j'ai pu constater que le script était écrit en dépit du bon sens... A mon avis, le disque n'avait pas assez de place libre et l'installation ne s'est pas achevée correctement, empêchant le disque de se valider. Il va vous falloir utiliser un correcteur de disque pour pouvoir récupérer son contenu (ou une partie) et à cet effet je vous en conseille deux : Quarterback Tools (commercial, vendu en France par CIS) et DiskSalv 2.11 (domaine public, distribué en français par France Festival Distribution). Pour ce qui est de la réponse à la deuxième question, il est très probable que vous n'ayez pas installé le jeu dans un sous-répertoire "Jeux" de la partition AQ1:, d'où l'impossibilité pour le système d'y trouver le répertoire "Beneath". Relisez la partie du manuel AmigaDOS concernant les répertoires et envisagez l'achat d'un bon livre sur AmigaDOS (essayez "Comprendre et bien exploiter son Amiga V3" (testé dans ce numéro disponible chez Someware, 27 rue Gabriel Péri, 59186 Anor). Émulateur PC Bonjour, Je développe beaucoup de systèmes à base de microcontrôleurs ou microprocesseurs (c'est mon métier) et évidemment tous les systèmes de développement tournent sur PC. Je voudrais savoir s'il existe un émulateur PC sérieux sur Amiga afin de pouvoir développer (écrire le code) sur une machine sympa et compiler avec les logiciels spécialisés qui tournent sur PC. Pensez-vous qu'il soit plus intéressant d'avoir un émulateur PC ou une carte passerelle (je n'ai pas besoin des ports d'extension PC) pour ce que je veux faire ? Pourriez-vous me donner des noms d'émulateurs et de carte passerelle ainsi que les vendeurs possibles ? D'avance, merci. Mathieu Lagier, Brest (29). Alain Bourgery : bien sûr, il existe des émulateurs logiciels de PC, et j'ai actuellement l'un d'entre eux. PC-Task (distribué en France en version française par France Festival Distribution), qui tourne en tâche arrière pendant que je saisis ce texte, mais n'attendez pas de miracle d'une émulation logicielle : même avec un 68030 dans l'Amiga, l'émulateur obtient de très mauvaises notes dans les tests de performance du PC (plus lent qu'un XT, si, si...). Si vous désirez utiliser un programme "récent", il vous faudra une passerelle, et donc un Amiga "à grosse boîte" : A2000, A3000 ou A4000.
|