Obligement - L'Amiga au maximum

Mardi 19 mars 2024 - 05:45  

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0 Vu : Niveau nominal correspondant à la graduation 0 du Vu-mètre.
100% Amiga CD magazine : Magazine Amiga anglais sur CD.
1000 : Le nombre exact d'octets dans un kilooctet (ko), c'est-à-dire 10 puissance 3.
1024 : Le nombre exact d'octets dans un kibioctet (kio), c'est-à-dire 2 puissance 10.
1080i : 1080i est une définition vidéo HD commun de 1920x1080 pixels en entrelacé, en 50 ou 60 Hz, d'un ratio 16/9, notamment utilisée par la télévision portant un logo HD-Ready mais aussi en informatique comme WXGA-H. L'abréviation "i" est utilisée pour désigner le balayage entrelacé de l'image.
1080p : Idem que 1080i mais le "p" est utilisée pour désigner le balayage progressif de l'image.
1 000 000 : Le nombre exact d'octets dans un mégaoctet (Mo), c'est-à-dire 10 puissance 6.
1 048 576 : Le nombre exact d'octets dans un mébioctet (Mio), c'est-à-dire 2 puissance 20.
1 000 000 000 : Le nombre exact d'octets dans un gigaoctet (Go), c'est-à-dire 10 puissance 9.
1 073 741 824 : Le nombre exact d'octets dans un gibioctet (Gio), c'est-à-dire 2 puissance 30.
1 000 000 000 000 : Le nombre exact d'octets dans un téraoctet (To), c'est-à-dire 10 puissance 12.
1 099 511 627 776 : Le nombre exact d'octets dans un tébioctet (Tio), c'est-à-dire 2 puissance 40.
10BASE2 : Standard Ethernet standardisant une couche physique dans le modèle OSI utilisant un câble coaxial fin. Celui-ci permet le transfert de données à des débits jusqu'à 10 Mbit/s, dont la longueur de câble ne doit pas dépassée 200 yards (185 mètres) de long.
10BASE5 : Norme Ethernet spécifiant une couche physique du modèle OSI utilisant une topologie réseau en bus, d'une longueur maximale de 500 mètres avec 100 connexions espacées au minimum de 250 cm et une vitesse de 10 Mbit/s.
10BASE-F : Ethernet avec un débit de 10 Mbit/s sur de la fibre optique en bande de base (le débit est limité par la norme Ethernet, ce qui rend l'usage de la fibre optique dans ce contexte un peu idiot sauf cas particulier). Ses trois variantes sont 10BASE-FB, 10BASE-FL, 10BASE-FP.
10BASE-FB : "Ethernet synchrone", conçu pour que les répéteurs communiquent plus efficacement, et permettant d'en mettre plus (normalement, on ne doit pas mettre plus de quatre répéteurs à la queue-leu-leu).
10BASE-FL : Ethernet sur fibre optique fonctionnant à la manière du 10BASE-T, et rendant FOIRL obsolète.
10BASE-FP : Passive star Fiber Ethernet. Le concentrateur est passif, il se contente d'envoyer les impulsions lumineuses entrantes aux fibres sortantes sans rien faire d'autre.
10BASE-T : Type de câble utilisé principalement par la norme Ethernet. Même chose que 10BASE2, mais avec du câble en cuivre à paires torsadées (comme celui du téléphone, côté abonné), et une topologie physique en étoile.
10BASE-FX : Evolution de la norme Ethernet passant sur de la fibre optique.
100BASE-FX : Ethernet 100 Mbit/s sur fibre optique.
100BASE-T : Ensemble de normes (100BASE-TX, 100BASE-TF et 100BASE-T4), synonyme de "Fast Ethernet", permettant d'utiliser Ethernet avec un débit de 100 Mbit/s.
100BASE-TX : 100BASET, par exemple Fast Ethernet, le plus courant, passant sur deux paires de fils dans un câble de catégorie 5.
100BASE-T4 : Permet le 100 Mbit/s (en semi-duplex seulement) sur du câble CAT-3 (qui était utilisé dans les installations 10BASE-T). Utilise les quatre paires du câble.
1000BASE-T : Aussi appelé Gigabit Ethernet, il s'agit de l'Ethernet avec débit de 1 Gbit/s sur câble de paires torsadées de catégorie 5e ou supérieure, sur une longueur maximale de 100 m. Utilise les quatre paires en full duplex, chaque paire transmettant 2 bits/s par baud, à l'aide d'un code à cinq moments. Soit un total de un octet par top d'horloge sur l'ensemble des quatre paires, dans chaque sens.
1000BASE-X : Standard Ethernet 1 Gbit/s qui utilise des interfaces modulaires (appelés GBIC) adaptées au média (Fibre Optique Multi, Mono-mode, cuivre).
1000BASE-SX : Standard Ethernet 1 Gbit/s sur fibre optique multimode à 850 nm.
1000BASE-LX : Standard Ethernet 1 Gbit/s sur fibre optique monomode et multimode à 1300 nm.
1000BASE-LH : Standard Ethernet 1 Gbit/s sur fibre optique, sur longues distances.
1000BASE-ZX : Standard Ethernet 1 Gbit/s sur fibre optique monomodes longues distances.
1000BASE-CX : Une solution pour de courtes distances (jusqu'à 25 m) pour le standard Ethernet 1 Gbit/s sur du câble de cuivre spécial. Précède 1000BASE-T et est maintenant obsolète.
10GBASE-CX4 : Standard Ethernet 10 Gigabit qui utilise un câble en cuivre de type infiniband 4x sur une longueur maximale de 15 mètres.
10GBASE-T : Standard Ethernet 10 Gigabit avec transmission sur câble catégorie 6, 6A ou 7 (802.3an), en full duplex sur 4 paires avec un nombre de moments de codage qui sera fonction de la catégorie retenue pour le câble (et de l'immunité au bruit souhaitée), sur une longueur maximale de 100 mètres.
10GBASE-SR : Standard Ethernet 10 Gigabit créé pour supporter de courtes distances sur de la fibre optique multimode, il a une portée de 26 à 82 mètres, en fonction du type de câble.
10GBASE-LX4 : Standard Ethernet 10 Gigabit qui utilise le multiplexage par division de longueur d'onde pour supporter des distances entre 240 et 300 mètres sur fibre multimode. Supporte aussi jusqu'à 10 km avec fibre monomode.
10GBASE-LR : Standard Ethernet10 Gigabit qui supporte jusqu'à 10 km sur fibre monomode.
10GBASE-ER : Standard Ethernet10 Gigabit qui supporte jusqu'à 40 km sur fibre monomode.
1230 : Nom officieux désignant un Amiga 1200 avec carte accélératrice à base de 68030.
1240 : Nom officieux désignant un Amiga 1200 avec carte accélératrice à base de 68040.
1260 : Nom officieux désignant un Amiga 1200 avec carte accélératrice à base de 68060.
1284 : Norme IEEE définissant le port parallèle version étendue des pécés, montant jusqu'à 2 Mbps en mode EPP.
16-32 bits : Architecture de la majorité des micros de la fin des années 1980 et du début des années 1990. C'est respectivement la largeur du bus et la taille des registres du processeur, qui calcule donc sur 32 bits en interne.
2030 : Nom officieux désignant un Amiga 2000 avec carte accélératrice à base de 68030.
2040 : Nom officieux désignant un Amiga 2000 avec carte accélératrice à base de 68040.
2060 : Nom officieux désignant un Amiga 2000 avec carte accélératrice à base de 68060.
232 : Le numéro de la prise RS, i.e. une norme très largement adoptée, et ayant été utilisée pendant longtemps par le port série.
2B+D : Type de raccordement à un RNIS : 2 canaux à 64 kbit/s (B : données sur commutation de circuits) et 1 à 16 kbit/s (D : signalisation sur commutation de paquets). Voir aussi 30B+D.
2D : Deux dimensions. Généralement la longueur et la largeur, s'oppose à la 3D qui a trois dimensions.
2GR : Désigne l'extension de fichier des vieilles versions de Windows.
2GL : Second Generation Language. Langage de deuxième génération, grosso modo où l'on a remplacé les 0 et les 1 du binaire par de l'assembleur.
2K : An 2000.
2K+1 : An 2001.
3040 : Nom officieux désignant un Amiga 3000 avec carte accélératrice à base de 68040.
3060 : Nom officieux désignant un Amiga 3000 avec carte accélératrice à base de 68060.
3,5 : Le nombre de pouces dans le diamètre d'une disquette courante. Certaines font aussi 5,25 pouces de diamètre, voires 8 pouces pour les plus anciennes. Ce format est devenu un standard, et il existe désormais toutes sortes de périphériques de cette taille (disques durs).
30B+D : Type de raccordement à un RNIS : 30 canaux à 64 kbit/s (B : données sur commutation de circuits) et 1 à 64 kbit/s (D : signalisation sur commutation de paquets).
32 bits : Largeur de bus et taille des registres du processeur dans la plupart des ordinateurs de la fin des années 1990.
323 : Extension du nom d'un fichier contenant des infos relatives à la téléphonie à la norme H.323.
3COM : Computer, Communications and Compatability. Société travaillant dans le monde des réseaux.
3D : Trois dimensions. L'espace physique commun, avant Einstein. On utilise le terme 3D en informatique pour parler d'une image affichée donnant une impression de relief, vue à l'écran, et qui est en fait une projection d'un monde tridimensionnel calculé (sauf pour les illusions d'optique).
3D isométrique : Type de projection 3D.
3D subjective : Vue d'une scène en 3D dans une animation où les yeux du personnage qu'on incarne sont à la place de la caméra (exemple : Doom, Quake,...).
3D-DDI : 3 Dimensions Device Driver Interface. Interface de Windows 95 qui devrait permettre d'accéder facilement aux ressources 3D (objets, animations...) des cartes graphiques de son époque.
3Dfx : Ancien fabricant de puces d'accélération graphique 3D, en particulier la série Voodoo. Rachetée par le constructeur nVidia en décembre 2000.
3DNow! : Unité de calcul vectoriel en virgule flottante intégrée dans les puces Athlon d'AMD.
3D0 : Three Dimensional Objects. Modèle de console de jeu basé sur un processeur ARM60 à 12,5 MHz (RISC 32 bits) et pouvant lire toutes sortes de CD (ROM, vidéo, audio,...). Conçue par la 3DO Company et fabriquée par Panasonic puis Sanyo et Goldstar.
3DSL : 3 Digital Subscriber Line. Variante de DSL, consistant à faire passer à la fois des données numériques, de la voix (téléphonie) et de la télé, pour intégrer tous les médias en un seul.
3GL : Third Generation Language. Langage de troisième génération. Ce sont les langages les plus connus, C, Perl, etc.
3RD : Réseau Radioélectrique Réservé aux Données.
3RP : Réseau Radioélectrique à Ressources Partagées.
3W : Désigne les 3 W de World Wide Web, la toile Internet.
4030 : Nom officieux désignant un Amiga 4000 avec carte accélératrice à base de 68030.
404 : Code d'erreur (et, par extension, nom du document la présentant) souvent rencontrée sur le web : elle vous informe que le document que vous convoitez n'existe plus ou ne se trouve plus à l'URL requise.
4040 : Nom officieux désignant un Amiga 4000 avec carte accélératrice à base de 68040.
4060 : Nom officieux désignant un Amiga 4000 avec carte accélératrice à base de 68060.
4004 : Le premier microprocesseur de l'histoire, produit par Intel, conçu en 1971 par M. Hoff. Il contenait 2300 transistors sur une architecture 4 bits et était capable d'effectuer 60000 opérations par seconde. C'était les performances de l'ENIAC, mais condensées sur 10 mm carrés, au lieu de 30 mètres cubes.
4K : Le terme 4K désigne plusieurs résolutions d'images numériques utilisées dans le domaine de l'audiovisuel et du cinéma numérique.
4LG : Fourth Generation Language. Langage de quatrième génération. En général, un tel langage est formé par un langage puissant et évolué, accompagné d'utilitaires de création de l'interface des programmes générés. Exemple : Visual Basic, Powerbuilder. Avec un L4G, on programme vite et c'est simple, mais le code généré est lourd et très lent, sans véritable optimisation. De plus, on n'a que rarement accès aux entrailles de son programme, et s'il ne fonctionne pas, on peut mettre beaucoup de temps avant de se rendre compte que cela vient d'une bibliothèque perdue parmi des centaines d'autres...
5250 : Nom des terminaux d'IBM pour ses mini-ordinateurs AS/400.
56K : Caractérise les modems capables d'exploiter la norme V90, donc de recevoir des données avec un débit théorique de 56 kbps (en pratique, on dépasse rarement le 44 kpbs).
56K line : Ligne de communication numérique capable de transporter des données avec un débit de 56 kbps (norme V90).
601 : Premier processeur PowerPC, il contient 2,8 millions de transistors et un cache interne de 32 ko. À 66 MHz, exécutant un maximum de 3 instructions par cycle, il consomme 9 W, et obtient des scores de 60 et 80 aux tests SPECint92 et SPECfp92.
6502 : Microprocesseur 8 bits utilisé dans les premiers Apple II et dans le Commodore 64.
6800 : Microprocesseur 8 bits produit par Motorola et sorti en 1975.
6809 : Microprocesseur 8 bits de Motorola préfigurant la série des 680x0.
68000 : Premier microprocesseur de la classe 68k de Motorola, apparu en 1979. Il utilise un bus de 16 bits et des adresses sur 24 bits.
68008 : Version légèrement modifiée et bon marché du 68000 et lancé en 1982. Il utilise en externe 20 ou 22 bits d'adresse et 8 bits de données.
68010 : Microprocesseur 16/32 bits de chez Motorola. Il est très semblable au 68000, il offre notamment, en plus, plusieurs instructions pour le contrôle de registre et des points d'arrêt, et la présence d'un cache instruction rudimentaire.
68012 : Microprocesseur 16/32 bits de chez Motorola très semblable au 68010 excepté son bus d'adresse sur 31 bits un peu particulier.
68020 : Premier microprocesseur véritablement 32 bits de chez Motorola.
68030 : Microprocesseur 32 bits de chez Motorola, disposant d'un système de gestion de la mémoire paginée et d'une mémoire cache. Surnommé "Love-30".
68040 : Microprocesseur 32 bits de chez Motorola. Idem que le 68030, mais avec un coprocesseur arithmétique, une exécution en pipeline des instructions et plusieurs bus internes.
68040V : Version basse consommation (3.3 V) du 68040.
68060 : Microprocesseur 32 bits superscalaire de chez Motorola.
68851 : Coprocesseur PMMU 68k (Paged Memory Management Units) destiné à optimiser la gestion de la mémoire.
68ECxxx : Version EC (Embedded Controler) des microprocesseurs 68k sans MMU et FPU. Moins chers que les versions non-EC. Le 68EC020 a un bus d'adresses de 24 bits au lieu de 32.
68LCxxx : Version LC des microprocesseurs 68k sans FPU.
6888x : Classe des coprocesseurs arithmétiques FPU. Ex : 68881 et 68882.
680x0, 680xx, 68xxx, 68k : Les processeurs de la famille Motorola 68000 et supérieur.
6DOF : Six Degrees Of Freedom. Quand on a 6 degrés de liberté, c'est qu'on peut zoomer, faire un panoramique, pivoter sur soi-même, tanguer, rouler, et faire un mouvement de lacet.
6E : Ergonomie, Émission, Énergie, Écologie, Efficacité, Économie : les points principaux des spécifications TCO-92 concernant les moniteurs.
6to4 : Technique d'adressage par encapsulation définie dans la RFC 3056. Elle permet de créer un préfixe d'adresse global pour une adresse publique IPv4. Cela donne des adresses du style : "2002:WWXX:YYZZ:[SLA]:[Interface]", où W, X, Y et Z représentent les octets de l'adresse IPv4.
6x86 : Processeur compatible avec le Pentium mis au point par Cyrix.
720p : 720p est une définition vidéo HD commun de 1280x720 pixels en progressif, en 50 ou 60 Hz, d'un ratio 16/9, notamment utilisée par la télévision portant un logo HD-Ready mais aussi en informatique comme WXGA-H.
8 bits : Architecture de la majorité des micro-ordinateurs du début des années 1980. C'est la largeur du bus et la taille des registres du processeur.
8.3 : Format standard des noms de fichiers sous MS-DOS et sous certains autres systèmes : huit caractères pour le nom du fichier et trois pour une extension. Exemple : AUTOEXEC.BAT.
80/20 : Certaines instructions du langage d'assemblage effectuent des opérations très souvent nécessaires, tandis que d'autres ne sont que rarement utiles. Un processeur actif passe ainsi environ 80% de son temps à exécuter environ 20% de son jeu d'instructions. Cette constatation a donné naissance au RISC.
8008 : Microprocesseur 8 bits construit par Intel en 1972.
80186 : Microprocesseur 16 bits construit par Intel en 1982.
80188 : Version du microprocesseur Intel 80186 avec un bus de donnée externe de 8 bits au lieu de 16.
80286 : Microprocesseur 16 bits construit par Intel en 1982. Il fonctionne en 16 bits (registres et bus de données), avec un espace d'adressage de 24 bits (donc 16 Mo de mémoire maxi). Il peut fonctionner en mode réel ou, pour la première fois, en mode protégé. Intel lui a adjoint ensuite un coprocesseur arithmétique, le 80287. Son cadencement fut de 6, 8, 12 ou 16 MHz. Il contient 134000 transistors.
80287 : Coprocesseur arithmétique du 80286.
80386 : Microprocesseur 32 bits construit par Intel en 1985. Il fonctionne en 32 bits dans sa version DX, aussi bien pour l'adressage (ce qui lui permettait d'adresse 4 Go de mémoire), les registres internes et le bus. La version SX, quant à elle, sortie en 1988, est identique mais ne reçoit les données du bus qu'en 16 bits. Il lui a été adjoint le 80387, pour les calculs arithmétiques. Sa fréquence alla de 16 à 40 MHz. Il contient 275000 transistors.
80387 : Coprocesseur arithmétique du 80386.
80486 : Microprocesseur 32 bits construit par Intel en 1989. Il est composé de 1,2 million de transistors. Il possède comme nouveautés un cache interne, une exécution en pipeline des instructions, et un coprocesseur arithmétique intégré (dans la version DX). Ce fut la base de nombreuses variantes comme les 486SX, 487, 486DLC, 486DX2, 486DX4, 486SLC, P24T, etc.
802.x : Ensemble de normes de l'IEEE définissant les réseaux locaux (LAN), en particulier 802.3 définit la connectique des réseaux Ethernet, et 802.5 définit les réseaux Token Ring.
8080 : Processeur entièrement 8 bits de chez Intel, sorti en 1974.
8085 : Microprocesseur 8 bits construit par Intel dans le milieu des années 1970.
8086 : Microprocesseur 16 bits construit par Intel en 1978, le premier de la série des x86. Il fonctionne en 16 bits (pour ses registres et son bus de données) avec un adressage de 20 bits (soit 1 Mo de mémoire vive). Sa fréquence d'horloge va de 4,77 à 10 MHz, il comprend 29 000 transistors.
8087 : Coprocesseur arithmétique associé aux 8086, 8088, 80186 et 80188.
8088 : Microprocesseur construit par Intel en 1979. Petit cousin du 8086 sauf qu'il utilise un bus de données de 8 bits, au lieu de 16 bits. Il fonctionne à 4,77 MHz à l'origine, puis jusqu'à 10 MHz.
88000 : Concept de microprocesseurs RISC 32 bits produit par Motorola en 1988. Originellement nommé "78000".
88100 : Microprocesseurs RISC 32 bits produit par Motorola. Il intègre un FPU
88110 : Microprocesseurs RISC 32 bits produit par Motorola en 1990. Il intègre un FPU et un MMU (via le 88200).
88200 : Contrôleur de MMU et de cache créé par Motorola et destiné à être utilisé avec le microprocesseur 88100.
8N1 : 8 bits de données, pas de parité (Le N est pour "No parity"), un bit de stop : une configuration standard de transfert de données par port série.
8SVX : format de fichier IFF réservé aux sons échantillonnés sur 8 bits (Cf. Perfect Sound, AudioMaster etc.).
9-pin : Protocole développé par Sony utilisé pour gérer le transport des appareils audio et vidéo (machine control).


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