Suivez-nous sur X

|
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z,
ALL
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
A propos d'Obligement
|
|
David Brunet
|
|
|
|
Test de Graffiti Man
(Article écrit par Robert Franchi et extrait de Génération 4 - décembre 1988)
|
|
Graffiti Man est un jeu allemand original de chez Reline et publié par Rainbow Arts. Si vous aimez "graffiter",
c'est peut-être un jeu à considérer, sinon passez votre chemin...
Présentation
Ras le bol du béton et de sa grisaille ! Il était temps que se constituât une association d'artistes
en graffitis pour redonner un peu de couleurs à nos villes. Faire partie de cette élite n'est pas
une mince affaire : il faut prouver son agilité et son adresse. Car avant de pouvoir montrer ses
talents de peintre, le joueur doit se frayer un chemin avec son pot de peinture dans ces
rues où tout le monde est pressé, et où certains cherchent à faire respecter la loi.
Eh oui ! C'est totalement "Verboten" (interdit) de dessiner des graffitis sur les murs et d'ailleurs même
dans les wagons de la SNCF ou du métro ! Si vous parvenez à joindre un petit coin tranquille,
vous pourrez appuyer à loisir sur la gâchette de votre vaporisateur. Sinon, la police sévira...
L'avis de Mic Dax
Désarroi est an mot trop faible pour décrire mon sentiment après avoir essayé ce programme :
désespoir correspondrait mieux. C'est assez bizarre que des gens puissent passer du temps
à programmer ce type de jeux. C'est très bien de penser aux graffiteurs, mais un tel titre
leur fait du tort et les programmeurs auraient pu s'abstenir.
A moins que ce soit un gag, pour montrer ce qu'il ne faut pas faire en graphisme sur Atari ST ou Amiga...
L'avis de Robert Franchi
Quand j'ai entre les mains un jeu signé Rainbow Arts, je suis en proie au plus grand scepticisme :
sera-t-il très bon (Cf. Bad Cat ou
The Great Giana Sisters)
ou plutôt nul (Cf. Tour du monde en 80 jours ou Starbail) ?
Graffiti Man appartient malheureusement à la deuxième catégorie.
Le graphisme est assez rigolo et respecte bien le style "graffiti", mais ce n'est pas du grand art.
Le principe du jeu est limité : slalomer entre les obstacles et les personnages, jusqu'à ce qu'on
ait repéré le bon chemin, devient vite lassant. De plus, quand vous mourrez, vous devez recommencer
le niveau. Le seul attrait de pouvoir faire son graffiti à soi à la fin du niveau ne constitue pas une
motivation suffisante. Enfin le pire, c'est sans
doute ces fréquents accès disque qui cassent tout le rythme du jeu et sont très agaçants.
Nom : Graffiti Man.
Développeurs : Reline.
Éditeur : Rainbow Arts.
Genre : jeu d'adresse.
Date : 1987.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : environ 150 FF.
NOTE : 3/10.
Les points forts :
- Idée originale.
- Assez rigolo au début.
Les points faibles :
- Quand vous êtes touché, il faut recommencer tout le niveau.
- Maniabilité douteuse.
- Réalisation médiocre.
- Accès disque trop fréquents.
|
|