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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de Zero Gravity
(Article écrit par Robert Franchi et extrait de Génération 4 - janvier 1989)
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Le développeur allemand Olaf Schneider, qui a déjà à son actif des petits comme
Rallye Master ou
Vader, récidive avec
Zero Gravity, un jeu d'adresse pour deux joueurs.
Présentation
Zero Gravity vous convie à participer à un étonnant match futuriste, tant par sa conception, que par
son graphisme. En effet, vous vous retrouvez à l'extrémité d'un grand couloir, face à votre adversaire.
L'adversaire, lui, occupe l'autre moitié de l'écran mais, si vous êtes suffisamment costaud, vous
pouvez bien entendu jouer à partir de sa moitié d'écran.
La partie consiste à renvoyer dans son camp la balle qu'il vous adresse. Ce n'est pas là une tâche facile,
car les deux concurrents sont matérialisés chacun par une petite raquette bleue, se mouvant librement
dans l'espace, devant bien entendu heurter la balle.
Pour pimenter le jeu, les murs du couloir sont couverts de grands panneaux ornés de dessins pouvant,
lorsqu'ils sont touchés par la balle, accélérer la partie, donner un bonus, une pénalité, etc.
Il faut donc une grande habileté et une importante vivacité pour parvenir à ridiculiser votre adversaire :
alors, commencez donc à vous entraîner.
L'avis de Robert Franchi
Vous rappelez-vous les tout premiers jeux vidéo ? Le tennis par exemple, où les joueurs étaient représentés
par des tirets. Eh bien, Zero Gravity est la version moderne de ce type de programme. Au lieu de voir
de dessus, on se trouve derrière sa barre ; il y a des formes, des couleurs, des dessins, un bruitage
mais, malgré le système de bonus, l'intérêt n'a guère évolué.
Un point positif est à noter : les meilleurs scores s'inscrivent sur une liste mémorisable... A part ça,
il faut être un joueur acharné pour s'attarder sur ce logiciel, et en plus avoir les nerfs solides,
car le "bung bung" que l'on entend chaque fois que la balle rebondit devient plutôt stressant à la longue.
Mais ce petit défaut est corrigé par les autres bruitages plutôt réussis (les voix numérisées qui résonnent) et par
le fait que l'on peut couper les bruitages pour entendre une musique à la place. Je n'irai pas jusqu'à dire
que ce jeu sur la gravité porte bien son nom, mais dans l'ensemble, il m'a franchement déçu.
L'avis de Mic Dax
Avec Zero Gravity, on peut enfin voir que certains programmeurs ont encore des idées originales.
Le principe même du jeu est amusant, et il a été bien réalisé. Après un petit temps d'entraînement,
vous pouvez affronter l'ordinateur sans problème, il suffit de savoir bien tirer parti des
bonus proposés.
Et, à deux joueurs, en niveau expert, vous pouvez être certains que vous passerez quelques bons
moments. En passant, comme ça, l'air de rien, je signale que j'ai écrasé lé rédacteur en chef par
10 à 1, score qui fera date dans l'Histoire des Jeux. Prends ça dans les dents.
Nom : Zero Gravity.
Développeurs : Olaf Schneider et Celâl Kandemiroglu.
Éditeurs : EAS, Microdeal.
Genre : jeu d'adresse.
Date : 1988.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : environ 200 FF.
NOTE : 5,5/10.
Les points forts :
- Un tennis en 3D.
- Quelques options en plus.
- Jouable à deux.
Les points faibles :
- Un peu barbant à jouer seul.
- Le bruitage de la balle est énervant à la longue.
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