Obligement - L'Amiga au maximum

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Test de The Spy Who Loved Me
(Article écrit par Olivier Kaa et extrait de Joystick - novembre 1990)


Bond, my name is Bond... Dom.. Je joue chez Domark... Reproduire l'univers d'un James Bond sur micro-ordinateur n'est pas évident. Difficile de ne pas frustrer le consommateur qui s'attend à retrouver les, presque, mêmes sensations que dans son fauteuil de cinéma.

Spy Who Loved Me

Un dangereux malade du nom de Karl Stromberg a volé deux sous-marins, un russe et un britannique. Les hautes autorités vous ont contacté, monsieur Bond, pour partir en mission spéciale, à la recherche des engins. Mais l'administration étant ce qu'elle est, on vous a collé un autre espion qui devra suivre l'aventure à vos côtés. Son nom : Anya, Son sexe : blond et très féminin, sa nationalité : soviétique. Vous voilà désormais avec le devoir de protéger l'espionne, en même que de réussir votre mission.

En cinq étapes d'action diverses, vous allez vivre toutes les aventures dont rêve un 007 en allant d'abord à votre hôtel d'où partira un bateau qui vous emmènera ensuite sur une route avec des dangers multiples, le premier étant les autres voitures qui n'hésiteront à vous rentrer dedans pour vous éjecter de la route. Il y a aussi les motards qui sont capables de vous tirer dessus. A la fin de cette route, vous pourrez entrer dans un camion aménagé pour acheter des options/armures et réparer votre voiture. De là, votre voiture étant devenue amphibie, vous devrez vous rendre à Atlantis par les voies sous-marines.

Spy Who Loved Me

Mais mais mais, le temps passe et Karl Stromberg continue ses méfaits : il vient de voler un troisième sous-marin (américain celui-ci). Votre devoir sera donc de libérer les équipages retenus prisonniers dans les trois sous-marins. Juste après, il faut vous attaquer à Karl Stromberg, trônant dans la salle de contrôle dont les lourdes portes blindées vous en empêchent l'accès. Ce n'est rien, il suffit de piquer une tête nucléaire d'un des missiles du sous-marin et de faire sauter la porte.

Damned, c'est trop tard, Karl Stromberg s'est échappé en emportant Anya et en programmant le sous-marin russe et britannique. Ces derniers se dirigent dangereusement vers New York et Moscou. Vous allez nous reprogrammer tout ça, hein James ? Et qu'est-ce qu'ils foutent au QG pendant ce temps-là ? Eh bien ils ont décidé de faire sauter Atlantis, la ville sous-marine dans laquelle Karl Stromberg a emmené Anya. Il vous reste une petite heure pour la sauver avant que tout ceci ne redevienne poussière.

Spy Who Loved Me

Comme vous pouvez le constater, c'est une aventure mouvementée que vous allez vivre, ne vous laissant que rarement le temps de souffler. B... bonne chance. Je vous souhaite b... bonne chance.

Vu de haut, vous contrôlez le minuscule sprite vous servant occasionnellement d'engin à la manette ou au clavier. Durant le parcours routier, vous devez ramasser des tokens qui vous serviront plus tard à acheter des options, vous devez également éviter les flaques d'huile, d'eau et les passants qui ont la fâcheuse manie de se jeter sous vos roues.

Vu la taille des sprites, les programmeurs ont pu se permettre de nous offrir un tas de petites animations sympathiques, allant des piétons qui traversent la route en courant, aux explosions diverses que vous subirez. A noter qu'à chaque piéton écrasé (dans une véritable mare de sang), ce sont 50 points de moins pour votre score. Chaque action est symbolisée par un bruitage souvent numérisé, et une musique rapide et stimulante vous suivra durant toute l'aventure.

Une fois dans la base, l'action change alors complètement de physionomie et propose plusieurs scènes de tir, dans le genre d'Operation Wolf. Vous aurez même droit à un jeu de décryptage de type Mastermind. Ici, vous aurez besoin des coordonnées de la cible à cet endroit, qui sont présentes dans le manuel.

Cependant, les niveaux sont pour la plupart trop longs et trop difficiles, et les parties de conduite ne sont pas assez agréables car vous êtes plus récompensé si vous conduisez lentement et prudemment, ce qui n'est pas très "Bond".

Spy Who Loved Me

Sur le côté gauche de votre écran, une minuscule bande d'un centimètre environ vous servira de plan de route. The Spy Who Loved Me est un jeu à pratiquer lentement, vu que votre énergie ne baisse considérablement que lorsque vous sortez de la route, et une fois votre barre d'énergie à zéro, vous vous retrouvez au début du niveau.

Le défilement vertical de l'écran n'est pas des meilleurs (notamment dans la scéne 2) et le jeu lasse assez rapidement le joueur. Cependant, Spy Who Loved Me représente sans conteste la meilleure tentative d'adaptation d'un James Bond sur micro-ordinateurs. Hyper-chargé au niveau graphisme, avec une animation fluide et rapide, ce jeu d'aventure/arcade a tout pour plaire.

Nom : Spy Who Loved Me.
Développeurs : The Kremlin.
Éditeur : Domark.
Genre : jeu d'action multigenre.
Date : 1990.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : 249 FF.

NOTE : 7/10.

Les points forts :

- Action diverse et soutenue.
- Graphismes assez bien dessinés.
- Musique rapide et stimulante.

Les points faibles :

- Défilement vertical quelque peu saccadé.
- Jeu qui lasse rapidement.
- PLus de chance de réussir si vous conduisez lentement.


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