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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de Paris Dakar 1990
(Article écrit par Jean Delaite et extrait de Génération 4 - mars 1990)
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Après African Raiders et
Skidoo, Coktel Vision signe
son troisième jeu de course avec Paris Dakar 1990.
Au début, vous sélectionnez votre véhicule parmi trois différents, correspondant chacun à un niveau de
difficulté. Dans le mode le plus facile, vous aurez un tout-terrain de série, très fiable mais peu
rapide. Ensuite, vous passerez sur un véhicule plus rapide mais moins bien équipé, et enfin vous aurez la joie
de concourir sur un prototype très fragile du côté mécanique. Il est à regretter l'absence des motos et des
camions qui font aussi le Paris-Dakar.
Puis vient le départ qui vous projette directement en Afrique. L'action est vue de votre cabine de pilotage,
vous y voyez notamment la vitesse et la carte (pas très conforme et donc pas très utile), et le peu d'espace
qui reste est donc la route. Ici, six étapes vous attendent. Parmi elles,
deux spéciales. Je ne perdrai pas mon temps à vous les décrire, étant donné qu'elles sont toutes identiques.
Vous devez "conduire" à travers le désert en suivant une piste (malheur à ceux qui la quittent). Les épreuves
spéciales se font en hors piste.
Les épreuves sont entrecoupées de quelques images, que ce soit celle de votre remorquage par un chameau,
la danse d'une belle maghrébine ou le coucher de soleil sur l'océan. La qualité graphique et sonore
du programme est globalement assez bonne, sans plus, le moteur de jeu semblant avoir été repris d'African Raiders.
Spéciales ou non, le décor est pratiquement le même, c'est-à-dire, très monotone et répétitif.
En plus, comme le jeu est assez facile et qu'il n'y a que six étapes, vous terminez le jeu rapidement.
En bref, c'est un jeu qui aurait pu avoir du succès il y a trois ans, mais qui, maintenant,
semble être du déjà-vu dans grand intérêt, à part peut-être l'envie de battre vos temps.
Nom : Paris Dakar 1990.
Développeurs : Tomahawk.
Éditeur : Coktel Vision.
Genre : jeu de course.
Date : 1990.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
NOTE : 4,5/10.
Les points forts :
- La course en hors piste.
Les points faibles :
- Pas de motos ni camions.
- Seulement six courses.
- Décors très monotones et répétitifs.
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