Obligement - L'Amiga au maximum

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Test de PageStream 3.0a
(Article écrit par Gilles Bihan et extrait d'Amiga News - novembre 1994)


C'est avec un plaisir non dissimulé que l'on a découvert, au début du mois d'octobre, le produit si convoité depuis plusieurs mois. On l'avait annoncé. Il ne s'est pas défilé. Imaginez les premières secondes de découverte.

L'installation titanesque éludée, un bébé gros de plus d'un million d'octets déploie ses ailes dans 25 Mo de mémoire. Le "Running Man", figure emblématique de Saint-Louis, égraine le chargement des multiples modules dans le système. Fébrilement, on applique une pression sur le bouton "New" du "Navigator", et le tonneau des Danaïdes déverse son flot de trésors.

PageStream 3.0
Le navigator

Mais avant toute chose, revenons en arrière et souvenons-nous : au mois d'octobre 1994 nous l'annoncions comme promis. Les vicissitudes de conception, et la lenteur du courrier dans le sens France -> États-Unis, et l'augmentation scandaleuse du prix du café moulu en super-marché, avaient suspendu son arrivée. Il semblait à beaucoup que jamais le jour ne se lèverait sur la nouveauté. Les impatients tapaient du pied au numéro 14 de la rue du Bois Sauvage sise dans la petite ville ensoleillée d'Évry. Début septembre, une version 3.0 voyait le jour, mais trop boguée. C'est seulement trois semaines plus lard que la 3.0a a été dévoilée.

Une installation de poids

Les disquettes d'installation, au nombre de six, arborent fièrement de magnifiques étiquettes quadris. Elles portent déjà la griffe de l'importateur. En effet, les choses ont été rondement menées chez le distributeur VEM. L'installation a été entièrement francisée, ainsi que le classique "lisez-moi" donnant toutes les informations actuelles sur l'état du produit. Plus de 11 Mo de données vont se décompresser sur le disque dur, à moins que vous ne choisissiez une implémentation "light" qui se limitera au minimum pour démarrer. Il est possible d'opérer une sélection dans les fichiers à installer. Pour les grognons, un module de désinstallation remet à zéro les compteurs.

Une suite de messages à la Microsoft vont alimenter les quelques minutes nécessaires à la mise en place. On apprend ainsi la mise en chantier d'Art Expression 2.0 (sortie prévue dans une quinzaine... de mois), la disponibilité de Type Smith 2 (très bientôt sur vos écrans), et de CD bourrés de polices et autres cliparts. Laurent Druffrin n'a pas hésité à insérer quelques notes d'humour pour nous faire agréablement patienter (essayez entre les changements de disquettes la touche "Aide").

Une fois la décompression terminée, lancement du programme et insertion du numéro de série personnel. Après enregistrement, un mot de passe vous sera communiqué, ce qui scellera à jamais vos liens avec PageStream. Un système très tatillon de protection du logiciel a été mis en place, ceci afin d'éviter une diffusion un peu trop large du produit. Certains points cachés de ce dernier pourraient réserver des surprises aux audacieux qui tenteraient de lui donner une descendance.

Des fichiers par centaines

Si on étudie de plus près le contenu du répertoire "PageStream3", on y aperçoit, outre le programme, un éditeur de dessin (BME), un éditeur de texte (Pageliner), un tiroir "SoftLogik" comportant les différents fichiers système nécessaires au logiciel (bibliothèque, dictionnaires, filtres d'importation/exportation, modules externes, tables des couleurs ou pilotes d'impression), un répertoire gorgé de polices dont certaines ne sont là qu'à titre d'échantillon afin d'acquérir le complément auprès de la maison mère (Adobe Type 1, Compugraphic Intellifont et SoftLogik Outline), un très gros tiroir de fichiers d'aide en ligne au standard AmigaGuide, et enfin une invraisemblable collection de macros ARexx. Aucun fichier d'exemple n'est disponible, mais cela viendra dans les mises à jour ultérieures. Pour vous faire les dents, plusieurs cliparts EPS et TIFF sont offerts (une fois encore à titre d'échantillons gratuits).

PageStream 3.0

On ne peut qu'être impressionné par l'ampleur du produit. Ouvrez le tiroir des filtres et vous comprendrez notre émoi. Les filtres textes sont dans le désordre : ASCII (Amiga, Mac et PC : avec code de formatage propriétaire), ProPage, PageMaker, Xpress (conversion des guillemets typographiques et mutation des points de suspension), Excellence!, Final Writer/Final Copy (IFFDTXT, CTXT et FTXT (du vieux Kindwords dans du nouveau PageStream)), ProWrite, Word (oui !), WordPerfect, Wordworth.

En ce qui concerne le dessin : fichier EPS d'ArtExpression, Aldus Freehand, Adobe Illustrator (importation/exportation, ou toute autre encapsulation avec ou sans en-tête TIFF), DR2D, clip Pro Draw, Windows BMP, GIF, MacPaint, PCX, TIFF (Mac ou PC, compressé ou non) et IFFILUS dédié à PageStream. Enfin des filtres d'importation documents sont disponibles en attendant celui, entre autres, de Xpress : PageStream 2 et Pro Page 3 et 4. J'en oublie mais le principal est là.

Beaucoup de ces filtres fonctionnent en importation/exportation. Certains ont été développés spécialement pour PageStream, cela ayant pour intérêt d'isoler précisément les éléments d'un document pour les reprendre seul plus tard dans une autre mise en page sans pour autant recharger leur support d'origine. PageStream détecte à l'ouverture automatiquement le type de document, et propose certaines options en fonction (par exemple, filtre Art Expression ou EPS standard). Toujours est-il que les importations de fichiers peuvent être partielles dans le sens où il est toujours possible de ne prendre qu'une prévisualisation du fichier, et de laisser celui-ci sur disque, ce qui dans le domaine des économies de mémoire est un plus appréciable. Il a alors un lien externe.

Réservé aux adultes...

Inutile d'essayer de lancer le programme sans posséder la mémoire de masse suffisante. Le programme principal à lui seul remplirait une disquette haute densité. Pas la peine non plus de tenter un chargement sur un Amiga doté de 2 Mo de mémoire ou moins. Ses prétentions territoriales sont indécentes. Sans compter la mémoire vidéo nécessaire pour un affichage respectable (oubliez les modes Hi-Color et 256 lignes), il conviendra d'avoir suffisamment de ressource en barrettes pour digérer, voire ingurgiter, les données d'environnement et celles que vous ne tarderez pas à lui donner en pâture.

Cela marchera avec un vieux 68000 poussif, mais les temps de pause vont dépasser de loin la période de travail effectif. Un 68020 est un minimum conseillé, Un 68030 ou supérieur est plus adapté. Cela est dû essentiellement à l'importation des traitements à effectuer, qui de par la richesse fonctionnelle du produit risquent dans certaines hypothèses d'être excessifs voire répétitifs. Ce qui veut dire que de la puissance pure est souhaitable, même si le logiciel est en grande partie programmé en assembleur. Ces contingences techniques limiteront donc une grande partie des utilisateurs potentiels. Seules les personnes bien achalandées ou les courageux pourront prétendre utiliser PageStream, même si ce logiciel est d'une ergonomie et d'une simplicité écoeurantes. Sans l'ombre d'un doute, cela aura aussi l'avantage pour la maison d'édition de limiter le piratage du produit.

Premières sensations

Une fois passé le cap de la fenêtre "Navigator", qui, rappelons-le, est le moyen le plus rapide d'ouvrir un document, d'en créer un nouveau, d'utiliser l'aide ou de simplement quitter, l'établissement du format va déjà poser quelques cas de conscience. Nonobstant l'impressionnant nombre de formats de pages préexistants (pas moins de 16), il est possible de donner précisément des dimensions adaptées à vos besoins. Le réglage des marges ne pose aucune difficulté. Pour un document recto-verso, marges droite et gauche deviendront intérieures et extérieures, rappelant pour les hésitants le bon sens à conserver. Que la page soit à l'italienne ou à la française, on peut fixer automatiquement des guides de colonne avec une gouttière définissable. Enfin, comble du raffinement, on nomme le document et la page maîtresse, pouvant même pousser le vice à décrire leur contenu avec force détails.

Une fois cette opération "délicate" et primordiale passée, le plan de travail se dévoile, arborant un cadre, souligné par un discret effet d'ombre, marqué par des guides de colonnes et entouré d'une multitude d'icônes et de fenêtres. C'est l'environnement de travail, décrit avec précision dans l'article sur la version 3.0 alpha de PageStream, et qui loin d'avoir perdu de sa superbe, en a même reçu des arrangements plus adéquats.

La palette flottante est toujours là, plus présente, plus utile que jamais. A elle seule, la magie du logiciel prend toute son ampleur. Son but, on ne le répétera jamais assez, est de faciliter et d'optimiser le travail de maquettage. Les fonctions essentielles y sont regroupées, modulées pour chaque type d'action en cours. On est en mode de sélection, c'est une palette d'information avec les coordonnées en X e Y de la souris. On essaye de capturer un nombre donné d'objets, et la palette nous informe des dimensions et position exactes du cadre de capture sur l'écran. On se place en mode écriture-texte, et là on accède aisément à la taille, interlignage, interlettrage, style de caractère ou tout élément de formatage texte sans faire intervenir aucun menu ou dialogue. Cette adaptabilité, retenue depuis longtemps chez les autres grands logiciels de mise en page, est une nouveauté sur Amiga. Pro Page et PageStream 2 étaient encore loin de proposer un tel environnement, surtout que la palette flottante d'outils est là, ainsi que les icônes de raccourcis attachés à la fenêtre et que l'on a déjà aperçues dans Wordworth 3.0. L'objectif est clair : les appels aux menus ne doivent se faire qu'en dernier ressort. Les facilités sur l'espace de travail ou les raccourcis clavier doivent prendre le dessus, et cela dans une optique de rationalisation du travail pour gagner le plus de temps. C'est bien l'oeuvre d'un logiciel prévu pour opérer sur des ouvrages professionnels. L'incorporation de menus contextuels soutient cette idée. L'interface graphique de l'Amiga n'a jamais autant été poussée. C'est à notre sens une réussite, même si certains auront quelques difficultés à s'y plier, oubliant définitivement les vieilles recettes qui ont fait la gloire des anciens.

PageStream 3.0

De plus, PageStream ne s'arrête pas là. Le double-clic sur un objet peut en fonction des choix de l'utilisateur provoquer plusieurs types de réaction. Cela peut être un simple flash écran, une macro choisie dans la liste disponible (dont toutes celles que vous réaliserez), ou encore une fonction prédéfinie (affichage de la boîte d'information de l'objet, rotation ou déplacement au premier plan). On ne sait plus où il va s'arrêter, surtout que dans les versions prochaines, une notion de triple-clic ouvrira la porte pour d'autres facilités encore insoupçonnées.

On peut aussi afficher une palette flottante qui donne la liste complète des macros, styles, couleurs, polices de caractères, ou encore affichage graphique de la structure du document. Il suffit de sélectionner la macro que l'on veut exécuter, et le programme fait alors le reste. Pas besoin d'un raccourci clavier ou de monter dans le menu. Par exemple, nous essayons d'insérer une entrée d'index dans la boîte texte. Une fenêtre de requête inattendue apparaît : "Sorry, this is not finished yet. A completed version will be included with a free update go PageStream3". Et là, on tombe malheureusement dans le problème de ce fabuleux logiciel : il n'est pas fini, du moins suffisamment pour faire une mise en page normalement constituée.

Un tour juste pour voir

Dans ma lancée, nous aurions pu décrire tout ce que nous voyons en au moins 400 pages, mais pour notre désespoir, bien que 80% du logiciel soit opérationnel, les vides sont durs à combler. Et quels vides ! Toutes les options de formatage de texte sont inexistantes, la frappe de texte trop lente (à chaque lettre entrée, rafraîchissement total de la boîte), l'habillage limité au strict minimum, les options de création de document à moitié désactivées, la création d'objets graphiques incomplète (on fabrique des courbes de Bézier sans pouvoir les modifier), les dégradés et couleurs difficiles à mettre en place ou partiellement disponibles, des éléments de sauvegarde désactivés, des filtres d'importation quasiment inopérants, des blocs graphiques digérant mal les rotations, etc. La liste est longue.

Si ces fonctions étaient mineures, cela pourrait passer, mais il est toujours impossible de régler un retrait d'alinéa (un élément de conception de base). Mes premières descriptions sont le reflet exact de ce logiciel : c'est génial, mais il y a encore du chemin à faire. Non pas dans ce qui nous est proposé (ce qui va combler même les plus difficiles), mais dans ce qui pour l'instant est utilisable. On peut faire des petits trucs, mais sûrement pas des choses sérieuses. Inutile de songer à mettre en page la nouvelle formule de Libération. A l'heure actuelle, on lance le programme, et on admire, sans pouvoir toucher. C'est vrai que l'on est loin de la version alpha testée par nous précédemment, mais le même sentiment de frustration existe.

Il est vrai aussi que depuis la version 3.0 sortie début septembre, la version "a" apporte de réels plus, et cela dans un temps très court, ce qui laisse présager que ces défauts vont vite être gommés. Pourtant, c'est la patience qui va être encore au moins pendant deux mois le maître-mot, la patience d'attendre les mises à jour régulières, ce dont ne va pas manquer de s'acquitter VEM. Enfin, patience de pouvoir un jour commencer avec lui travail sérieux.

Poussé par les utilisateurs, SoftLogik a décidé de mettre sur le marché un produit en cours de finition. Ils préviennent dans le "ReadMe" : les mises à jour seront gratuites jusqu'à la version complète. Mais si finalement cette solution a le mérite de briser notre attente (surtout que depuis son annonce, on n'avait pas grand-chose à se mettre sous la dent), elle est des plus étranges. C'est bien la première fois que nous voyons un produit à un prix raisonnable, mais quand même conséquent, s'offrir le luxe de sortir sans être opérationnel. L'acquisition doit se faire en connaissance de cause : on investit en aveugle, pariant sur la réelle capacité du logiciel, attendant patiemment les corrections.

Pris dans ce piège, l'importateur a décidé de faire un réel effort, notamment en assurant au plus près la téléassistance, en mettant rapidement à disposition sur son BBS les révisions, et en envoyant à tous les acheteurs les mises à jour. L'effort est important car ce service est coûteux, et la visible périodicité de l'évolution du produit ne facilite en rien ce travail.

En attendant demain

Ne nous trompons pas, le logiciel est vraiment à la hauteur. Son intérêt n'a jamais été aussi fort. Nous en voulons pour preuve la version 2.0 de BitMap Editor (BME) qui est fournie. L'éditeur graphique est à 99% apuré. C'est une merveille, le compromis idéal pour préparer les images avant de les insérer dans une mise en page. Un élément de la chaîne graphique irremplaçable, conçu de la même façon que PageStream.

L'intégration poussée d'ARexx en est le point fort. L'enregistrement automatique de macros transforme vos actions en pseudo-script ARexx, que l'on peut directement dans le programme modifier à volonté grâce au module d'édition. Les fonctions de rognage, redimensionnement, conversion au format noir et blanc, palette (2 à 256 couleurs), RVB (de 3 à 24 bits), et CMYK (jusqu'à 32 bits !), éclaircissement et contraste, rotation et symétrie, création de négatif ou pixellisation, réduction des points parasites ou effet "tuiles" (à partir d'une image on crée une mosaïque), et enfin un module de vectorisation très approfondies, sont toutes parfaites et importantes.

Un système d'extension ouvre la voie à de nouvelles fonctions. Les filtres d'importation sont également flottants, et peuvent connaître par la suite une inflation vertigineuse. Ceux déjà présents sont nettement suffisants, avec, entre autres choses, les formats TIFF et IFF. Plusieurs images peuvent être chargées en même temps, ce qui offre la possibilité d'opérer des fusions. Bien évidemment, ce n'est pas ADPro ni le fabuleux Photoshop, mais ce n'est pas le but. Il a été mis au point comme un outil graphique uniquement adapté à la PAO. Et pour cela il est parfait. Un régal, qui aurait presque valu une acquisition séparée, tellement son efficacité et son intérêt n'est pas à démontrer. Son autre avantage est de prouver que PageStream n'a pas fini de nous faire parler, et sa finition ne laisse aucun doute sur celle de ce dernier.

Pageliner, l'éditeur de texte, bien que très léger et moins élaboré qu'Article Editor de Pro Page, s'acquitte, quant à lui, de sa mission, même si des efforts auraient pu être entrepris dans sa conception. Par exemple, la sélection du texte est étrange : elle se fait à la souris, ou par raccourci clavier sur un mot ou un paragraphe. Pourquoi alors ne pas avoir prévu de le faire avec les touches curseurs ? Un dictionnaire est disponible, mais impossible d'insérer les attributs gras, italiques ou de préformatage de texte (cela sera sûrement possible avec les codes de contrôle texte, mais en tout cas bien moins pratique que dans Article Editor). Mais comme BME, il est également opérationnel.

Pour en finir

Nous aurons encore l'occasion de vous parler de PageStream, ne serait-ce que pour en faire un tour plus complet. Reste qu'il est encore superficiel, un peu poudre aux yeux, ce qui rend objectivement difficile sa qualification. Une version 3.0b sera sortie au moment où vous lirez ces lignes (peut-être même la version 3.0c), qui devrait implémenter toutes les fonctions textes (un progrès substantiel).

La francisation totale du produit est, quant à elle, en très bonne voie, et ces quelques mises au point ne pourraient que la fiabiliser. Nous dirons enfin pour conclure, que cela a l'air vraiment génial, et qu'il ne va pas falloir le rater. Il va combler toutes nos attentes.

Nom : PageStream 3.0 (alpha).
Développeur : SoftLogik.
Genre : publication assistée par ordinateur.
Date : 1994.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 3 Mo de mémoire, AmigaOS 2.04.
Licence : commercial.
Prix : NC.


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