Obligement - L'Amiga au maximum

Jeudi 28 mars 2024 - 14:26  

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Entrevue avec Matthew Smith
(Entrevue réalisée par Adrian Wallett et extraite d'Arcade Attack - mars 2019)


Note : traduction par David Brunet.

Est-ce le Matthew Smith qui a conçu Manic Miner ? Non. Est-ce le Matthew Smith qui est un journaliste superfan d'Amiga et qui a assemblé l'album musical "Amiga Power - The Album With Attitude" ? Oui ! Et comme nous voulions en savoir plus sur lui et sur son projet, Adrian Wallet lui a posé quelques questions.

Matthew Smith

- Pouvez-vous rappeler à nos lecteurs votre parcours ainsi que vos meilleurs souvenirs en matière de jeux vidéo ?

Je suis journaliste de métier. J'ai étudié à l'Université de Bournemouth (Angleterre), puis je suis entré dans des journaux locaux avant de travailler dans les bureaux de l'hebdomadaire Bath Chronicle (lesquels se trouvaient à proximité de l'éditeur Future Publishing), avant de passer aux magazines. En ce moment, je suis rédacteur en chef d'un journal dédié à la finance d'entreprise, disponible uniquement par abonnement.

Lorsque que j'étais jeune enfant, je n'avais ni ordinateur ni console, mais beaucoup d'amis en possédaient. Mes premiers souvenirs de jeu vidéo sont Dizzy, Target Renegade et Jet Set Willy sur ZX Spectrum, et Bruce Lee, Ghostbusters et Thing On A Spring sur Commodore 64.

J'ai finalement acheté une console à la fin des années 1980, une Atari 2600, dont j'ignorais à l'époque qu'elle était déjà pratiquement obsolète. Je me suis amusé sur Crystal Castles, Kung Fu Master, Jr Pac-Man et Crossbow, mais ce n'est que lorsque j'ai eu mon Amiga 500+ pour Noël 1991 que je me suis vraiment impliqué dans les jeux vidéo. C'était mon tout premier ordinateur et je l'aimais beaucoup, j'ai des tas de souvenirs heureux de cette machine.

- Vous êtes sans doute un plus grand fan d'Amiga que Dyl et moi ! Vous souvenez-vous de votre première utilisation de cet incroyable ordinateur ? Quelles ont été vos premières impressions ?

J'ai appris l'existence de l'Amiga lorsque j'ai acheté un exemplaire du magazine Amiga Action juste avant Noël 1989. J'avais 10 ans et je l'ai acheté uniquement parce qu'il y avait une capture d'écran de Weird Dreams, qui était à l'époque utilisé comme élément visuel pour un quiz téléphonique dans une émission pour enfants du samedi matin, intitulée MotorMouth. Ses graphismes surréalistes et fantasmagoriques m'avaient fasciné.

Ma première rencontre avec un Amiga eut lieu quelques années plus tard, à l'école secondaire. Certaines salles de classe avaient des Amiga, et les enfants étaient autorisés à apporter leurs propres jeux pour y jouer à l'heure du déjeuner. Il y avait un jeu auquel tout le monde était scotché, Lemmings, et ce fut donc le premier jeu Amiga auquel j'ai joué. Il était joyeux, avec sa musique enfantine et ses effets sonores amusants, ses petits personnages glorieusement animés et sa mécanique extraordinairement simple mais ingénieuse. Vous pouviez comprendre exactement ce que vous deviez faire en quelques secondes, puis passer des heures à essayer de résoudre de sournoises énigmes. C'était un véritable chef-d'oeuvre en matière de conception.

Le fait que le lot Cartoon Classics comprenne Lemmings fut un facteur déclenchant pour son achat !

- Quels sont vos trois meilleurs jeux sur Amiga, et pour quelles raisons ?

Harlequin est probablement mon jeu de plates-formes préféré, toutes machines confondues. Non seulement ses graphismes et ses sons semblent merveilleux, mais ce jeu déborde aussi de créativité. Chaque niveau est une expérience tout à fait unique, avec son propre décor, ses ennemis et ses obstacles à surmonter, et sa propre ambiance. L'utilisation de la couleur pour rehausser l'atmosphère est fantastique, et la conception des niveaux fait preuve d'une grande imagination. Au moment où vous arrivez à la fin, vous aurez gravi des tours d'horloge, marché sur des toits, nagé dans des labyrinthes sous-marins (transformés en poisson-ange), descendu dans des cages d'ascenseur hantées, exploré le paradis et l'enfer, joué à un clone de Mario Bros appelé Cutesy Bros et sauté entre les notes dans un livre enchanté de partitions.

Les commandes sont instinctives et précises, même avec le redouté "touche/direction haut pour sauter", et le système de casse-têtes est également brillant. Vous devez constamment rester à l'affût des interrupteurs, car appuyer dessus présente toujours des avantages pour vous, comme supprimer des obstacles ou créer des chemins d'accès permettant d'atteindre de nouvelles zones. L'astuce consiste à comprendre ce que chaque interrupteur fait réellement, car leurs effets se produisent souvent dans une partie du niveau que vous ne pouvez pas voir, ou même dans un tout autre niveau. Vous devez donc rester attentif aux indices visuels en arrière-plan et aux ampoules situées au-dessus de la tête d'Harlequin : celles-ci signifient qu'il a une idée à partager avec vous. C'est tellement amusant.

Apidya est dans mon top trois pour à peu près les mêmes raisons : il est fantastiquement original (il n'y a pas d'autres jeux de tir à défilement vertical dans lequel vous contrôlez une abeille magique volant à travers des champs, des étangs et des égouts périlleux), il est magnifiquement présenté et il est extrêmement facile à prendre en main. C'est le premier jeu Amiga que je connaisse où vous pouvez écouter toutes les musiques depuis l'écran du menu, et c'est une sacrée collection de musiques ! C'était mon introduction au travail de Chris Huelsbeck, et la bande son d'Apidya reste l'une de mes favorites de tous les temps.

Mon troisième choix serait Lemmings 2. L'original était brillant, et pourtant la suite a réussi à l'améliorer à tous égards. Il est exceptionnellement inventif, dispose de beaucoup de caractère et d'une structure de niveau qui était un travail de génie, car vous deviez rester bloqué douze fois avant d'être vraiment bloqué. Un vrai bijou.

- La scène démo et les magazines faisaient partie des joies d'un amigaïste. Quelle est votre opinion sur les magazines Amiga ?

Quand j'étais jeune et sans argent, j'attendais tous les mois avec hâte l'arrivée en kiosque des magazines Amiga. Cela signifiait qu'il y aurait sur leur disquette de couverture de superbes démos et des jeux du domaine public. J'ai souvent acheté des magazines Amiga uniquement en raison de la présence de disquettes de couverture. Cependant, j'achetais Amiga Power tous les mois sans faute.

- Vous êtes un grand fan du magazine Amiga Power. Vous souvenez-vous à partir de quand vous êtes devenu accro à ce magazine ? Pourquoi se démarque-t-il de la concurrence ?

Il y a beaucoup de choses qui ont rendu Amiga Power exceptionnel. Ses tests étaient incontestablement honnêtes et toujours remarquablement bien écrits, comme toutes les autres parties du magazine. Les actualités, les dossiers, les trucs et astuces et même les réponses aux courriers des lecteurs étaient rédigés avec beaucoup de talent, de caractère et d'esprit. Amiga Power était également extrêmement drôle, avec un sens de l'humour contagieux et irrévérencieux que l'on rencontrait tout au long du magazine. Il y avait de nombreux gags récurrents qui n'étaient drôles que si vous lisiez Amiga Power régulièrement, ce qui ajoutait à sa particularité. Et surtout, il était évident que les gens derrière Amiga Power se préoccupaient vraiment du magazine et étaient indubitablement du côté des lecteurs ; vous pouviez avoir confiance en eux pour ne pas vous mentir, et pour ne pas contenter les annonceurs et les éditeurs de jeux, contrairement à d'autres magazines Amiga dont je ne mentionnerai pas le nom.

- Possédez-vous toujours vos magazines Amiga Power ? Quel est votre numéro préféré ?

J'ai la chance d'avoir une collection complète d'Amiga Power, et je pense que mon préféré devrait être le numéro 52, avec son fantastique dossier sur les FPS (ou "clones de Doom") de plusieurs pages, qui inclut l'article "Doom: But Not On The Computer" qui est un guide étape par étape sur la façon de jouer à Doom dans la vie réelle sans se faire tirer dessus par la police.

- Amiga Power a été publié de 1991 à 1996. Qu'avez-vous ressenti lorsque le magazine s'est malheureusement arrêté ?

Je peux même me rappeler où j'étais quand j'ai appris qu'Amiga Power avait fermé ses portes ! Par une étrange coïncidence, j'étais à Bath, pour faire des emplettes avec ma famille. J'ai fait un petit saut non loin des bureaux d'Amiga Power et j'ai découvert le dernier numéro sur les étagères d'une boutique John Menzies (un numéro avec le nom évocateur "THE END"). Il se trouve que je n'avais pas pu acheter mon exemplaire chez mon marchand de journaux habituel, j'ai donc appris la nouvelle de la fermeture d'Amiga Power de cette façon. J'étais un peu déçu au début, mais ce numéro était vraiment excellent, et j'étais impatient de rentrer chez moi pour le lire dans de bonnes conditions.

- Avec votre album sur Amiga Power, vous êtes actuellement en contact avec de nombreux contributeurs et anciens employés d'Amiga Power. De quelle manière avez-vous pris contact avec ces gens et aviez-vous un objectif en tête ?

Je suis en contact avec Stuart Campbell depuis quelques années, d'abord sur le forum de son site Internet, World Of Stuart, et dernièrement sur Twitter. J'ai eu des contacts avec quelques autres membres de l'ancienne équipe d'Amiga Power sur Twitter, dont Dave Green, Rich Pelley et Cam Winstanley, lors d'une discussion sur le magazine. Et quand j'ai commencé à travailler sur l'album Amiga Power, ils ont pu m'aider à trouver d'autres anciens contributeurs.

- Passons maintenant à l'impressionnante scène musicale Amiga. Quelles sont vos trois meilleures bandes sonores Amiga de tous les temps ? Pour quelles raisons ?

Je dirais Apidya, que j'ai déjà mentionné, ainsi que la musique de Barry Leitch pour Harlequin sont des choix évidents pour moi. Chaque morceau de ce jeu est gravé dans mon esprit, du glorieux thème du niveau Clock Tower au splendide morceau électro qui apparaît pour la première fois dans le niveau TVee Wonderland.

Pour mon troisième choix, je prendrais la bande son de Pinball Dreams composée par Olof Gustafsson. Chaque morceau de ce jeu est un chef-d'oeuvre, de l'introduction épique au thème principal, en passant par la musique fantasmagorique de la table Nightmare.

Le point commun entre ces trois bandes sonores est qu'elles sont remplies de mélodies extraordinairement atmosphériques et remarquablement entraînantes. Une fois entendues, elles seront dans votre tête pour toujours !

- Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs votre parcours personnel en matière musical et en quoi il se rapporte à l'Amiga ?

Je ne suis pas musicien, mais l'Amiga dispose de beaucoup de jeux dont j'aime la musique. Il était donc naturel que je sois attiré par la scène musicale Commodore. J'adore écouter mes musiques de jeux préférées sur des sites Internet comme Remix64 ou dans des albums comme Immortal. Mais il y a quelques années, j'ai été frustré par le fait que des morceaux étaient réadaptés, encore et encore, alors que d'autres tout aussi splendides mais moins connus, n'attiraient jamais l'attention. En 2014, j'ai donc commencé à demander à certains de mes musiciens préférés de créer de nouveaux arrangements de musiques de jeux Amiga qui n'avaient jamais été réinterprétées. Les résultats furent notamment publiés sur SoundCloud et AmigaRemix.

Ceci poussa un de mes amis à m'inviter à travailler en tant que coproducteur sur un projet de réadapatations de musiques Amiga qu'il avait en développement. C'était une expérience tellement amusante que j'ai décidé de me lancer dans un projet similaire.

- D'où vous est venue l'idée de créer l'album Amiga Power ?

Ce fut la première idée qui me vint à l'esprit lorsque je recherchais un projet de réadaptations de musiques pour Amiga. Amiga Power semblait être tout simplement la cheville parfaite sur laquelle tout accrocher. Je me suis dit que je pouvais demander à d'anciens membres de l'équipe du magazine de dire qu'elles étaient leurs musiques préférées, tout en s'inspirant des disquettes de couverture du magazine. Car Amiga Power distribua d'incroyables jeux partagiciels, du domaine public ou commerciaux comme Blob et No Second Prize, et nombre d'entre eux offraient d'excellentes musiques.

- Que peuvent attendre nos lecteurs de votre album ? Pouvez-vous donner quelques informations sur certains morceaux ?

Le magazine Amiga Power adorait toutes les sortes de jeux, et ne faisait pas de distinction entre les titres commerciaux et ceux du domaine public. Si un jeu était vraiment amusant, c'était tout ce qui importait. J'ai essayé d'incorporer cette philosophie dans l'album Amiga Power, donc non seulement il y a des jeux très différents dans la liste de titres, mais en plus les styles de musique proposés sont également très variés.

De nombreux musiciens ont contribué au projet, comme Andrew Barnabas, Allister Brimble, Mike Clarke, Olof Gustafsson, Jogeir Liljedahl, Jon Hare, Chris Huelsbeck, Barry Leitch, Jason Page, Instant Remedy, Matthias Steinwachs, Jeroen Tel et Tim Wright, et nous prévoyons tous les styles, de la house old-school, des morceaux dance, en passant par des morceaux orchestraux, rock, swing et industriels. Il y aura même un beau solo de piano et une nouvelle interprétation d'une certaine piste impliquant un tas de crânes parlants...

Il y a quelques autres morceaux spéciaux. Chris Huelsbeck a par exemple composé un thème original pour Gravity Power, un jeu génial qui a été créé spécialement pour être distribué avec le 50e numéro du magazine et qui ne contenait aucune musique. Nous avons aussi une réadaptation exclusive de la musique de Chaos Engine réalisée par Joi, un des pionniers de la musique dance. C'est l'une des trois pistes studio qu'ils avaient créées pour le jeu en 1993 et que presque personne n'a jamais entendues, car ils ne l'ont sorti qu'en marque blanche, limitée à 500 exemplaires.

En outre, un livret d'accompagnement sera inclus à l'album. Il devrait faire plus de 80 pages et présenter toutes sortes de faits sur les pistes incluses, des anecdotes sur les coulisses, des paroles de chansons, des textes écrits par l'équipe Amiga Power, ainsi que des illustrations exclusives et dans un style groove.

- Combien de pistes y aura-t-il dans l'album ? Comment avez-vous compilé cette liste ?

Il y aura plus de 30 nouvelles réadaptations de musiques de jeux Amiga répartis sur deux CD. Le premier disque contiendra des morceaux choisis personnellement par les contributeurs d'Amiga Power, tandis que le second disque comprendra un ensemble de pistes inspirées de jeux et de démos qui étaient sur les disquettes de couverture du magazine.

Matthew Smith

- Comment allez-vous gérer la fabrication de l'album Amiga Power ? Et qu'en est-il des licences ?

Ronald van Dijk de 010101 Music, le label indépendant qui a produit Paula Agnus Denise et Insert Disk 2, deux albums de réadaptations de musiques Amiga, a apporté son aide sur ces deux fronts. Le livret d'accompagnement faisant partie intégrante de l'ensemble, nous avons choisi de faire publier les albums physiques au format "Booksleeve" (pochette de livre). Ce dernier prend la forme d'un livre incroyablement élégant (et délicieusement mignon) de la taille d'une boîte, avec les CD placés dans des plateaux en plastique dans la couverture.

- La campagne Kickstarter de financement pour l'album est maintenant active. Pouvez-vous nous donner des détails sur les récompenses offertes et combien d'argent vous espérez récolter ?

L'objectif de la campagne est de 16 000 £ et plusieurs récompenses sont disponibles. En plus de la version physique double CD de l'album, il existe deux versions numériques différentes. Si vous optez pour le lot "deluxe", vous aurez non seulement une copie physique et une version dématérialisée de haute qualité, mais également la présence de votre nom dans le livret et un album numérique exclusif avec bonus (Amiga Remixed), qui comprend 10 morceaux issus d'artistes comme Chris Huelsbeck, Allister Brimble, Jason Page, Barry Leitch, Tim Wright et Instant Remedy.

Si vous optez pour des engagements plus élevés, vous pouvez choisir parmi toute une série d'autres albums en bonus, sans compter qu'il y aura des affiches et des estampes de disponibles reprenant les illustrations du livret, notamment des oeuvres des vedettes de la bande dessinée telles que Roger Langridge, AJ Jefferies et Stephen Brotherstone (l'auteur de Scarred For Life). De plus, grâce à Mil Millington, un contributeur d'Amiga Power devenu romancier, un mécène du projet aura la chance d'obtenir une copie signée de chacun de ses livres et un véritable T-shirt Amiga Power original que Mil a trouvé dans son grenier.

- Quels sont les meilleurs endroits pour suivre l'actualité de l'album et de sa campagne Kickstarter ?

Me suivre sur Twitter et Facebook est la meilleure façon de suivre l'actualité de l'album. J'ai mis en place un groupe Facebook dédié au projet et Ronald van Dijk a ajouté une page officielle de l'album Amiga Power sur le site Web 010101 Music.
- Vous prévoyez la sortie de l'album pour quand ?

Si tout va bien, les CD seront fabriqués et distribués (avec tous les bonus d'engagement de Kickstarter) avant décembre 2019. Je souhaite échapper aux inévitables retards postaux qui se produisent pendant la période qui précède Noël.

- Êtes-vous enthousiasmé par ce projet et estimez-vous qu'il pourrait y avoir de la place pour d'autres albums ?

Je suis très enthousiasmé par l'ensemble de ce projet. Il y aura des surprises vraiment amusantes à découvrir sur les CD et dans le livret qui les accompagne, et j'ai hâte de voir les réactions des acquéreurs. En ce qui concerne les albums à suivre, je pense que je vais attendre que ce projet soit terminé et que l'euphorie soit retombée avant de participer à la planification d'un autre album.

- Avez-vous d'autres projets passionnants sous le coude ?

Vous vous souvenez de cet autre album que j'ai mentionné, celui d'un ami qui m'avait invité à travailler dessus en tant que coproducteur ? Eh bien, il est toujours en développement et quand il sera fini, il sera épatant (même si c'est moi qui le dit). A ce stade, je ne peux rien révéler de plus à ce sujet, mais croyez-moi, ça vaudra la peine d'attendre !

Note : le financement du projet Kickstarter est maintenant complété.


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