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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de Human Killing Machine
(Article écrit par Robert Franchi et extrait de Génération 4 - mai 1989)
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Après Street Fighter, US Gold (avec son label
GO!) fait de nouveau équipe avec l'équipe de développement de Tiertex pour convertir Human Killing Machine
sur Amiga et Atari ST.
Présentation
Avec pour seules armes ses pieds et ses poings, HKM (Human Killing Machine) doit imposer sa
loi dans tous les pays du monde et contre les adversaires les plus redoutables : Igor et son
chien enragé, Maria et Helga, les dames de la nuit (pas du tout câlines !), Miguel le toréador
et Brutus le taureau victorieux, Hans le titan et son compagnon ivre, et enfin des terroristes
de Beyrouth.
Cette suite de Street Fighter est très technique côté combat : pas moins de 17 mouvements différents, plus
la possibilité de donner des coups plus secs quand on presse rapidement le bouton feu, et de diriger HKM
pendant qu'il saute.
Et dans la scène de combat, il n'y a pas non plus de défilement, le décor est fixe, mais c'est surtout l'animation
des personnages qui retient l'attention.
L'avis de Robert Franchi
Il existe des programmes agréables, et d'autres qui sont du genre plutôt excitant, dans le mauvais sens
du terme. Buvez trois tasses de café, faites trois parties contre le garde Kwon à Moscou, et vous êtes bon pour
une crise de nerfs. Complètement stressant ce jeu... surtout si on n'adopte pas la bonne tactique.
Certes, au départ, le combat est inégal : vous avez cinq vies et Kwon n'en a que trois ; mais la
crosse de son fusil est dix fois plus percutante que vos poings. Alors ? Soyez plus rapide que
lui et portez des coups bas à toute vitesse, en restant le plus près possible de lui. Ne lui laissez pas
le temps de reprendre son souffle. Si vous êtes touché, faites marche arrière et attendez de retrouver
votre énergie maximum pour l'affronter. Mais les autres combats qui vous attendent sont pareils, trop difficiles,
avec des adversaires qui n'ont quasiment aucune intelligence artificielle et aucun coup spécial.
Quoiqu'il en soit, HKM est plutôt correct graphiquement, malgré sa palette de 16 couleurs commune à l'Atari ST
et à l'Amiga. Même si les personnages bougent assez rapidement, cela est un peu gâché car il n'y a pas assez
d'étapes d'animation pour tous leurs mouvements. De plus, le jeu ne propose pas de sons pendant les combats,
vous n'aurez droit qu'à une unique musique, moins que passable, durant toute la partie.
Mais le pire est vraiment qu'il se révèle trop difficile, même au premier niveau. Les combats en deviennent
peu intéressants. Et alors que l'on pouvait jouer à deux à Street Fighter, Human Killing Machine est un
"plaisir" solitaire, qui réduit de fait sa durée de vie.
Nom : Human Killing Machine.
Développeurs : Tiertex.
Éditeur : GO! (US Gold).
Genre : jeu de combat.
Date : 1988.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : environ 150 FF.
NOTE : 2/10.
Les points forts :
- 17 mouvements et la possibilité de contrôler HKM dans les airs.
- Quelques jolis graphismes.
- Adversaires variés.
Les points faibles :
- Trop difficile en mode solo.
- Combats peu intéressants.
- Pas de son !
- Trop peu d'étapes d'animation pour les personnages.
- Durée de vie limitée.
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