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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de Dylan Dog: The Murderers [préversion]
(Article écrit par Guillaume le Pennec et extrait de Tilt - février 1992)
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Inspiré d'une bande dessinée italienne à succès, Dylan Dog arrive sur nos micros. Le jeu n'étant prévu
que pour la fin du mois, nous n'avons pu disposer d'une version finale. Mais cette "version bêta"
nous a déjà permis d'apprécier l'ambiance on ne peut plus gothique du prochain jeu de Simulmondo.
Une histoire de meurtre
Autant vous le dire tout de suite : je ne connaissais pas Dylan Dog avant de découvrir le jeu. Et je dois
dire que cela a été une agréable surprise. En effet, j'ai beaucoup apprécié le style de la bande dessinée
fournie avec le logiciel qui explique succinctement l'histoire.
L'intrigue est simple : vous avez été
invité par un riche illuminé (qui accuse quelques ressemblances avec le Joker de Batman) pour passer
une soirée dans son immense château. La fête bat son plein jusqu'au moment où tous les convives, sous
l'emprise d'une drogue contenue dans le champagne, sont pris de pulsions meurtrières. Décrochant
les armes qui ornent les murs, les voilà qui s'écharpent à tour de bras dans une sanglante mêlée.
Dylan Dog, qui ne boit jamais d'alcool, échappe au massacre et entreprend de quitter le château
non sans avoir d'abord retrouvé son dément de propriétaire.
Malheureusement, l'endroit est gigantesque et hanté par toutes sortes de drogués armés qui d'une hache,
qui d'une tronçonneuse, qui d'un poignard. Heureusement, vous disposez d'un revolver (aux munitions limitées)
et vous pouvez ramasser toutes sortes d'objets. Sachez enfin, qu'il y a de nombreux pièges et passages
secrets à découvrir.
La réalisation
Ce qui frappe à propos de Dylan Dog, c'est d'abord la qualité des graphismes, fidèles au trait original de
Sergio Bonelli, l'auteur. Caves mal éclairées, salons chics, tableaux, meubles de hifi les décors sont
superbes. Sur Amiga. les 32 couleurs sont bien exploitées et sur PC, l'image est encore plus belle gràce
à l'utilisation du mode VGA (256 couleurs).
Les personnages sont également très bien animés. Votre héros peut effectuer une vaste panoplie de mouvements,
tous très bien rendus et particulièrement fluides. La qualité des animations est au moins égale à celle de
l'Aigle D'Or 2 : une référence.
La version actuelle du jeu ne permet pas encore de juger de la jouabilité et de l'intérêt. Pour l'instant,
les combats sont trop sommaires et le terrain à explorer pas assez vaste. La réalisation, quoique correcte,
n'est pas un modèle du genre. Lorsque vous passez d'une pièce à l'autre, l'ordinateur met plusieurs
longues secondes pour afficher votre destination. On nous a cependant promis que ces pauses, qui nuisent
à la jouabilité, seront écourtées...
Pour ma part, j'avoue avoir un petit faible pour ce nouveau venu dans le monde des héros informatiques
(entre Dog on se comprend) et j'espère que cette aventure de Dylan Dog, sous-titré "The Marderers"
(Les Assassins), ne sera que la première d'une longue série. En tout cas, comptez sur moi pour en faire
un test complet une fois que la version définitive sera disponible...
Nom : Dylan Dog: The Murderers [préversion].
Éditeur : Simulmondo.
Genre : jeu d'aventure.
Date : 1992.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
NOTE : -/10.
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