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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de AmiNetRadio 3
(Article écrit par Pascal Hardyn - août 2004)
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Suite à l'excellent article de Mahendra Tallur concernant AmiNetRadio V2
et après la sortie de la version 3, il est peut-être bon de faire le point sur ce petit programme bien sympathique.
L'ami net radio
Après avoir récupéré le programme sur anr.amigazeux.net et l'avoir
installé sur mon Pegasos, voyons un peu ce qu'il a dans le ventre. Je précise immédiatement que contrairement à Mahendra,
j'utilise ce programme pour l'écoute de radios SHOUTcast et non comme lecteur MP3. De plus, depuis que j'attends
MorphOS 1.5 :-), AmiNetRadio m'aide à trouver le temps moins long devant ma bécane.
L'interface qui est complètement interchangeable, c'est-à-dire que tous ses éléments graphiques sont
personnalisables. L'interface semble minimaliste mais on trouve, sous forme de rangée de boutons, toutes
les options, ou presque, du programme.
Écouter la radio
Première manipulation : trouver une radio à écouter. J'ouvre la fenêtre de recherche (figure ci-contre),
je tape "dance", "techno", "rave", "classique", ou "jazz", et le programme me trouve toutes les radios correspondantes
au style de musique recherchée. En fonction de mes envies (fréquence d'échantillonnage par exemple), je choisis la radio
qui m'intéresse, le programme charge quelques secondes de musique en mémoire vive (taille paramétrable) et l'écoute peut
débuter. Au fur et à mesure de l'écoute, le cache se remplit à nouveau, et le morceau se joue ainsi.
Sur un Pegasos G3 et avec une connexion ADSL, il n'y a pas de coupure d'écoute et pas de temps processeur utilisé à outrance
(même avec l'oscilloscope activé). Notons enfin qu'il est possible d'enregistrer ce que vous écoutez au format MP3
par exemple.
Plus de formats
Au niveau des formats reconnus en écoute, on peut enfin signaler l'arrivée de l'Ogg Vorbis, format
phare de la nouvelle génération. Et comme nous sommes sur plate-forme Amiga, les bons vieux
SoundMon, Future Composer, AHX et surtout Protracker ont été ajoutés. Certes, il manque encore
pas mal de formats (XM, DBM, S3M, MED...), mais les principaux sont déjà là dans cette 3e
version d'AmiNetRadio.
Quelques extras
AmiNetRadio gère également les extensions de type AmigaAMP ou Amplifier. Ça ne sert à
rien, c'est donc indispensable pour transformer ANR en "lecteur multimédia à la façon de Win-doze 2003 XP plus
Millennium Service Pack 6, avec des dessins qui réagissent à la musique que tu entends dans tes oreilles abasourdies" 8-).
Toujours côté graphique, vous pouvez choisir votre type d'interface parmi une demi-douzaine dont la "ANRG3"
particulièrement réussie.
Si vous possédez une liste de lecture de musiques ou de morceaux MP3, ANR peut les charger comme AmigaAMP. Avec en plus
une gestion des noms de listes de lecture et une fonction de recherche. La V3 par rapport à la V2 enlève pas mal de bogues
(sur les formats entre autres) et ajoute une fonction "pause" : la V2 en était dépourvue puisque cette dernière était
principalement focalisée sur l'écoute des radios. Enfin, pour les maniaques du clavier, ANR offre un éditeur
complet de raccourcis clavier (volume, balance, avancer, reculer...).
Quand la musique est bonne
Je rappelle que le programme est gratuiciel et fonctionne sans accroc sur MorphOS et AmigaOS. N'hésitez donc pas à
encourager l'auteur. AmiNetRadio est un très bon logiciel mais il ne gère pas encore assez de formats
pour en faire le lecteur ultime.
Nom : AmiNetRadio 3.
Auteur : Matthias Böcker.
Genre : lecteur audio et radio SHOUTcast.
Date : 2004.
Configuration minimale : Amiga AGA, 68020, 4 Mo de mémoire, AmigaOS 3.0, MUI et AHI.
Licence : gratuiciel.
Téléchargement : amigazeux.net/anr/.
NOTE : 8,5/10.
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Première manipulation : trouver une radio à écouter. J'ouvre la fenêtre de recherche (figure ci-contre),
je tape "dance", "techno", "rave", "classique", ou "jazz", et le programme me trouve toutes les radios correspondantes
au style de musique recherchée. En fonction de mes envies (fréquence d'échantillonnage par exemple), je choisis la radio
qui m'intéresse, le programme charge quelques secondes de musique en mémoire vive (taille paramétrable) et l'écoute peut
débuter. Au fur et à mesure de l'écoute, le cache se remplit à nouveau, et le morceau se joue ainsi.
Sur un Pegasos G3 et avec une connexion ADSL, il n'y a pas de coupure d'écoute et pas de temps processeur utilisé à outrance
(même avec l'oscilloscope activé). Notons enfin qu'il est possible d'enregistrer ce que vous écoutez au format MP3
par exemple.
