Obligement - L'Amiga au maximum

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En pratique : Amiga et vidéo, conseils pour un équipement complet et confortable
(Article écrit par Jérôme Morin et extrait d'Amiga News - mars 1991)


En premier lieu, j'aimerais orienter mon propos pour ceux qui sont vidéastes et qui utilisent l'Amiga pour les titres, trucages et montages. Je n'ai pas la prétention de connaître les recoins de l'Amiga... par chance je peux lire les articles des "docteurs" sur Agnus ou sur Lattice dans les colonnes d'A-News. En second lieu, je n'annonce pas de nouveautés, mais plutôt des appréciations à l'usage du temps et des réalisations effectuées. J'achète les logiciels au moment de leur parution pour le plaisir de les utiliser au plus tôt et j'aimerais vous faire partager mes enthousiasmes ou mes déceptions. Les lignes qui suivent veulent expliquer la configuration que je possède et les conseils que je peux donner à un vidéaste.

Amiga et vidéo
Amiga 2000 équipé d'un caméscope, d'un magnétoscope,
d'une imprimante et de divers logiciels


Choix de la machine

Les descriptions des moyens qui suivent ne sont pas obligatoires, mais sont bien agréables pour ne pas toujours être sollicité par des manipulations délicates. J'ai écarté le sympathique Amiga 500, car s'il possède de trop nombreuses adjonctions, il devient pour un vidéaste un réseau de "câbles" complexes à repérer.

J'ai gardé l'Amiga 2000 en lui ajoutant de la puissance (le 3000 sera le bienvenu quand la majeure partie des programmes fonctionneront correctement). J'ai 9 Mo de mémoire, mais 3 Mo suffisent pour faire de jolies animations. Par contre, le premier Mo offert avec le 2000 est trop limité pour lancer certains programmes comme Deluxe Paint III avec la fonction "Anim" par exemple.

Aussi, l'Amiga étant multitâche, il est bien agréable, pour gagner du temps, de travailler avec plusieurs programmes à la fois (DiskMaster, Digi-View, Deluxe Paint, par exemple). Concernant le coprocesseur Agnus, offrez à votre Amiga le Super Agnus, pour le prix, c'est un bon investissement. La haute résolution est à votre portée pour un petit prix.

Périphériques

La carte PC : donnée en cadeau à l'achat, elle ne m'est d'aucune utilité, puisqu'aucun des programmes graphiques du monde PC ne peuvent être émulés. Pour être plus précis, et pour ceux que cela intéresse, il faut une carte PC-AT et un écran au moins égal à la norme VGA pour profiter des programmes comme Haward Graphic, Ventura ou Pagemaker.

Deux lecteurs de disquette 3"1/2 : ceci est un bon investissement pour recopier des disquettes. Des utilitaires comme X-Copy, Turbobackup... sont à la disposition dans le domaine public. Pour ma part, je fais les copies avec DiskMaster.

Un disque dur de 40 Mo : j'ai divisé mon disque en trois parties. DH0: pour le système et pour toutes les fonctions de base. J'ai mis dans DH0: les polices, les utilitaires et en général ce qui doit être accessible par tous les programmes. DH1: pour les applicatifs et les résultats. J'ai chargé ceux dont j'ai l'utilité constante. Il faut avoir les "classiques" au bout de la souris. Attention, il y des habitudes à prendre avec l'usage d'un disque. Plus il y a de programmes, plus le démarrage des programmes sera long. En effet, l'affichage des icônes prend un certain temps. Avoir beaucoup d'icônes à l'écran est peut-être réjouissant, AmigaOS se donne l'impression d'être riche ! Pour ma part j'évite cet affichage et je travaille avec "MyMenu". Le lancement des programmes est plus rapide.

Une autre recommandation : la sauvegarde périodique des informations. J'utilise Quarterback (attention aux autres logiciels de sauvegarde qui travaillent souvent avec des titres de fichiers réduits). Attention aussi à ne jamais utiliser Diskdoctor sur le disque dur, si vous avez un souci avec un "corrupt", vous sauvez tout ce qui est encore possible et vous reformatez votre disque. Seule la remise à zéro de votre disque efface les en-têtes de fichier et libère les "trous". Une bonne réorganisation de votre disque vous réservera la surprise de voir votre Amiga préféré plus docile et plus rapide. J'utilise DiskMaster pour copier, transférer, effacer, renommer, j'invite ceux qu'AmigaOS rebute à acheter DiskMaster. Il n'est pas dans le domaine public. Je le préfère à Climate car il est plus complet. J'ai utilisé SID, c'est bien aussi mais il est plus orienté pour les développeurs.

Pour les vidéastes qui ne veulent pas se plonger dans le système, la lecture du "Livre De L'AmigaDOS" en français, l'utilisation de DiskMaster et les conseils paru dans A-News sont suffisants pour ce dont ils ont besoin (l'achat de la collection des A-News est un bon investissement pour tous les conseils qu'ils contiennent).

L'imprimante HP PaintJet

Plus de 4000 couleurs sur le papier, des noirs et des rouges-sang parfaits sans les traces d'aiguilles. Des copies de dessins où votre travail est récompensé par une reproduction fidèle. C'est cher mais beau, cela vaut l'effort d'investir dans ce domaine. Pour un travail parfait, il est obligatoire d'utiliser un papier spécial vendu chez HP. Un papier normal ne rend pas les couleurs de la même façon. La HP PaintJet n'est pas plus chère qu'une 24 aiguilles couleur et elle est plus silencieuse car la technique "jet d'encre" offre le calme en plus.

Amiga et vidéo
HP PaintJet

Perfect Sound

J'utilise ce classique obligatoire dans le genre. J'ai des disques laser d'effets sonores sous forme de bibliothèques. La numérisation en est très facile, les enchaînements de sons variés surprennent toujours les spectateurs.

Amiga et vidéo
Perfect Sound

Digi-View 4.0

Je l'utilise pour effectuer les numérisations avec la partie "digitizer" du VESone. La particularité est de pouvoir utiliser le mode "auto" de Digi-View, au lieu d'utiliser le mode RVB du DG88.

Amiga et vidéo
Digi-View

Attention : le temps gagné est insignifiant, mais c'est une question de confort et surtout d'avoir un appareil de moins dans l'environnement de l'Amiga. Un conseil à ce sujet : toujours numériser dans la plus haute résolution possible et avec la "caméra" positionnée à "slow", il sera toujours temps de passer en 64 ou 32 couleurs après.

Le genlock VESone

C'est l'outil dont le rapport qualité/prix est excellent. Il remplit plusieurs rôles : il convertit du Hi8 ou S-VHS en signal composite et l'inverse. Il est correcteur des images vidéo avec des réglages pour la netteté, la couleur et le contraste. Il est correcteur de la sortie Amiga avec la brillance et la couleur. Il est réellement un genlock "broadcast". Il permet l'enchaînement des images vidéo et Amiga avec un fondu ou un "wipe", ces deux fonctions avec des volets ronds ou rectangulaires.

Amiga et vidéo
VESone

Des curseurs assurent les passages en manuel ou en automatique avec un minuteur. Attention : le signal de synchronisation de l'image vidéo devrait être le même entre l'Amiga et le caméscope/magnétoscope. C'est vrai dans le déroulement normal du film. Mais on cas de ralenti ou d'arrêt sur image, c'est plus difficile. Il faut pouvoir effectuer les réglages de synchro propres à votre cas. J'ai demandé pour cela les schémas et les correspondances des potentiomètres à mon fournisseur du VESone. J'ai reçu les plans et la manière d'effectuer au mieux ces réglages. Il faut pour cela posséder un oscilloscope. Bravo au VESone, il tient ses promesses. Je l'ai acheté en lisant un article d'Frédéric Autechaud dans un précédent A-News.

VidéoPilot

Le VidéoPilot est fait pour faire les montages ; cela fait un an que j'attendais ce produit. Annoncé et mis au point en premier lieu pour les PC, le VidéoPilot est aujourd'hui adapté à l'Amiga. Il n'y a pas de concurrence réelle pour ce produit. Les tables de montages comme la RM-E100 ou 300 de chez Sony, la table de montage de Panasonic, de Philips s'adressent à un environnement des mêmes marques, ou approchant, ces outils peuvent gérer moins de dix séquences, c'est peu.

Amiga et vidéo
VidéoPilot

On trouve sur le marché un outil intéressant : le Video-cut de chez HAMA, mais il atteint dans sa configuration maximum le prix du VidéoPilot.

Le côté sympathique du VidéoPilot est qu'il est inutile de l'avoir à portée de la main et qu'il ne possède aucun bouton pour le manipuler. Une fois les branchements effectués, c'est directement à partir du clavier de l'Amiga que vous le piloterez. Toutes les commandes se font à l'aide des touches de fonctions. Par exemple "F2" pour lecture, "F5" pour arrêt sur l'image, "F9" pour remettre les compteurs à zéro.

Vous branchez sur le VidéoPilot trois magnétoscopes ou caméscopes en entrée et un magnétoscope en sortie. Si les appareils possèdent des prises "remote" c'est bien, sinon il faut faire appel à l'infra-rouge. Là aussi, c'est bien, car VidéoPilot apprend comment il doit réagir suivant les types de matériels que vous avez choisi. Bravo aussi car tous les câbles possibles et l'émetteur infra-rouge sont fournis avec le VidéoPilot.

Les fonctions du logiciel sont la saisie, la copie, l'annulation... rien de plus, ni de moins qu'une gestion connue de fichiers. La saisie est faite directement en regardant votre écran vidéo : à chaque fois que vous désirez commencer une séquence, vous pressez la touche "Retour" ; à chaque fois que vous voulez l'achever, vous pressez sur la même touche du clavier. Une liste s'affiche â l'écran au fur et à mesure.

Pour les modifications, c'est facile aussi : chaque passage de la bande se décompose à l'écran en heures, minutes, secondes et images. Il y a 25 images par seconde. Il suffit de mettre le curseur sur le chiffre à modifier et d'actionner les touches "+" ou "-", pour ajuster les numéros des images. Le VidéoPilot autorise pour les systèmes en Video 8 ou Hi8 le travail sur la bande rush avec un réel code temporel. Cette fonction était réservée, jusque-là, aux studios des professionnels. Vous pouvez travailler avec 1000 séquences sur trois magnétoscopes différents et à l'image près. 1000 séquences c'est beaucoup, mais le VidéoPilot peut travailler seul et la nuit sans aucune surveillance. Il n'y a aucun trou dans la bande résultat, vous émerveillerez votre entourage avec vos réalisations.

Logiciels

J'ai pu apprécier quelques "titreurs" comme VideoTitler avec quelque cinq polices originales et des effets modestes. Toutes les animations doivent être faites et les résultats doivent être lancés avec un autre programme.

Pro Video Plus est un produit très professionnel, et en haute résolution, mais qui utilise ses propres polices. Le nombre des effets est important, mais il est indispensable pour tirer un bon parti de ce logiciel de posséder la documentation et de la digérer.

Amiga et vidéo
Pro Video Plus

TVText et TVShow : on peut faire de jolis effets avec des arrière-plans embossés, mais ce logiciel n'est compatible qu'avec lui-même et c'est un handicap de devoir écrire un script pour effectuer un essai.

Pro Titler : annoncé en septembre 1990 dans A-News, Kimatek a offert ce nouveau logiciel aux clients possesseurs de Video Generic Master à un prix spécial. Si je devais donner un qualificatif à ce logiciel, ce serait "français". Et cela pour plusieurs raisons :
  • En tout premier lieu, ce logiciel est fait pour les "paresseux" qui veulent faire des titres avant de lire les documentations.
  • En second lieu, parce que les effets obtenus sont superbes et originaux.
  • En troisième lieu, si vous faites partie du clan des courageux et que vous lisez la documentation, vous pourrez régler vos titres au 25e de seconde près et vous ferez encore plus beau en suivant votre imagination.
Pro Titler mérite bien son non : un "titreur pour les professionnels". C'est un monoprogramme et les essais sont effectués dès la première ligne si l'on désire. Les effets sont applicables au titrage complet, à une page ou à une ligne, on croît rêver en regardant l'effet Junon ou Pallas. J'ai été ébloui par l'effet "élastique" réalisé en lettre d'or... il est dommage que Kimatek ne met pas une démonstration sur la disquette. Malgré tout, une disquette DP se trouve déjà en circulation : la numéro 628 chez PDS à Bayonne. Le programme est un festival d'originalités et de facilités. Je lui donne 19/20. Parce que je peux utiliser toutes les polices du marché, y compris les Karafonts. Et des effets en lettres embossées et dorées sont très surprenants. C'est riche et c'est un logiciel qui doit être dans l'Amiga de tous les vidéastes.

Encore un détail d'importance : l'accueil au téléphone réservé par la société Kimatek est à la fois efficace et sympathique. C'est assez rare pour être noté.

Instant SlideShow, DVMover, DVMaker : ce kit de logiciels est vendu sous le nom de "Deluxe Video III". Ce paquetage est d'un coût élevé, mais il remplace avantageusement les ANIMagic, Lights! Camera! Action!, Vseg. etc. Deluxe Video III est à lui seul un miracle.

En résumé, si vous voulez vous faire une idée de la puissance de ce logiciel : prenez vos numérisations avec le logiciel "Slideshow". Vous vous trouvez avec l'ensemble de vos titres affichés dans une fenêtre. Vous cliquez sur le nom qui vient se ranger dans une autre fenêtre. Vous pouvez modifier cette liste comme vous le désirez avant d'enregistrer ces titres dans une séquence vidéo. Avec DVMaker, vous reprenez la séquence vidéo et vous pouvez la visionner aussitôt. C'est là que le miracle a lieu. Les enchaînements proposés sont tous plus beaux les uns que les autres. DVMaker vous fait une proposition d'enchaînements, et jamais le même dans la même séquence.

Dans le "script" proposé, les séquences apparaissent dans des rectangles à la manière d'un organigramme, avec une image ou animation par rectangle. Chaque moment est décomposé en scènes. Un véritable scénarimage avec les notions de temps. Toutes les modifications sont à votre portée. Le classique couper-coller est au bout de la souris. Vous pouvez retenir une image en arrière-plan et dévoiler tout ou partie de la suivante. Les enchaînements se font mode de pluies, confettis, queues de billard, spaghettis, pages cumulées, ou encore par un rideau qui se lève dans une partie d'écran si vous le voulez. Tout cela, c'est possible par un simple clic.

Vous pouvez ajouter une image oubliée dans le choix initial, vous pouvez mettre des titres dans des boîtes, et animer le tout ! Les animations peuvent être mêlées aux images avec une synchronisation musicale. Le guide de manipulation est très bien fait et si vous suivez l'exercice pas à pas, vous devriez devenir un bon utilisateur en trois heures. Et en plus, vous pouvez apprécier votre spectacle soit en automatique, soit aux ordres du clavier, soit de la souris ou de la manette, un peu comme Elan Perfonner.

Bien sûr j'utilise aussi Photon Paint et Deluxe Paint III. Ces deux programmes sont indispensables et doivent être connus par coeur. Ces produits doivent être constamment à disposition, comme Digi-View dont j'ai parlé plus haut.

Amiga et vidéo
Deluxe Paint 3

Une dernière idée

Il ne faut pas oublier que les images passent devant votre écran au moment des montages. Le genlock est toujours prêt à faire l'incrustation alors ayez le réflexe d'ajouter une "idée de plus" à votre film. Rien n'est plus facile que d'animer une araignée qui parcourra la table de la mariée. Ou une auréole sur la tête de votre belle-mère préférée. C'est là qu'un Amiga avec Super Agnus et une mémoire de 9 Mo donne sa mesure. Vous pouvez faire des animations en haute résolution avec toutes les fantaisies de Deluxe Paint sans crainte de voir avec déception que le bocal est plein.

Annexe : l'avis d'un pro de la vidéo

Bruce Lepper : Nous avons demandé à un professionnel de commenter le très intéressant article de Jérôme Morin. Voici ses notes :

Pour Jérôme, la carte PC n'a absolument aucune utilité puisqu'aucun programme graphique PC ne peut être émulé. Essayez First Publisher côté PC-XT. Même en CGA, c'est un outil très puissant et peu coûteux pour une installation de base. De plus, il aura peut-être un pilote pour chaque imprimante problématique côté Amiga, et on obtiendra des résultats de qualité au moins égale à celle obtenue côté Amiga.

Il me semble que le VidéoPilot est un produit intéressant, sauf qu'il s'agit, d'après moi, d'une hérésie de pmgrammer ce dernier afin de réaliser automatiquement pendant la nuit, une centaine de séquences, si ce n'est pour faire un film sans imagination et en oubliant le côté créatif du moment.

Quel monteur, même professionnel, programme tous ses effets à l'avance, puis s'en va en attendant que cela se passe sans lui ? L'intéressant est sûrement d'avoir une "étincelle" au moment de monter les séquences et de mettre en oeuvre ce qui vient de germer, au moment où l'on voit les images ; et à ce titre, le VidéoPilot n'est pas aussi maniable et aussi précis que les tables prévues à cet effet.

Jérôme semble oublier Broadcast Titler. Pourquoi ? Il s'agit, d'après moi, du meilleur rendu sur l'Amiga grâce à son système d'anticrénelage. Je l'ai depuis un mois et il est d'une qualité à faite fondre n'importe quel générateur de caractères professionnel !

Un mot enfin sur le VESone : vous ne le trouverez plus en France (Bruce Lepper : l'importateur, CIS, confirme que ce produit allemand n'est plus fabriqué).

Finalement, il faut avoir un portefeuille bien nourri pour arriver à un tel équipement et ce n'est pas donné à tout le monde.


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