Obligement - L'Amiga au maximum

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Test de Wordworth
(Article écrit par Dominique Bonin et extrait d'Amiga News - novembre 1991)


Voici un nouveau venu dans le monde restreint des traitements de texte pour l'Amiga : Wordworth, édité par la société britannique Digita International, le premier à avoir adopté la nouvelle présentation du Workbench 2.0 et qui est qualifié par ses auteurs de "rêve de l'écrivain". Restons donc plutôt éveillés et regardons de près ce programme.

Wordworth

Le logiciel tient son nom du célèbre poète anglais William Wordsworth (1770-1850), auteur, entre autres, des Ballades Lyriques écrites avec son ami Coleridge. Le manuel est émaillé de nombreuses citations de l'auteur et une biographie illustrée sert de support à un document de travail.

Wordworth tourne sur tous les modèles, de l'A500 à l'A3000, avec les versions 1.3 ou 2.0 du Workbench. Il requiert 1 Mo de mémoire et fonctionne en moyenne et haute résolution.

Le paquetage

Il donne une impression de sérieux et de professionnalisme. A l'intérieur d'une belle boîte en carton se trouvent trois disquettes (une disquette programme, une disquette "Extras" et une disquette "Dictionnaire") et un manuel de près de 300 pages, très didactique. La version que nous avons testée pour Amiga News est anglaise. Une version française sortira peut-être lorsque les éditeurs auront trouvé un distributeur français. L'appel est lancé...

Comme la plupart des applications Amiga, le programme possède son propre Workbench et il suffit donc de mettre directement la disquette "Wordworth" dans le lecteur. L'icône qui apparaît à l'écran est plutôt grande et clignote lorsqu'on la déplace avec la souris, ce qui est gênant. Mais ce n'est qu'un détail.

L'installation et la présentation

Avant d'appeler votre programme, vous devez préparer votre disquette "Wordworth" avec le programme "Wordworthfloppyinstall". Le programme chargé, l'écran de travail apparaît.

Au point de vue esthétique, rien à redire : avec ses couleurs noire, grise et rouge et sa présentation à la 2.0 (effets de relief pour les icônes), l'interface graphique est sobre et séduisante. Grâce à cet aspect 2.0, les fenêtres deviennent plus claires et plus attrayantes. Cette sobriété dans la présentation donne un aspect nettement plus professionnel qui faisait jusqu'à présent cruellement défaut au système Amiga. Le wysiwyg prend ici toute sa valeur, tant en mode courrier que graphique, ce qui est plutôt rare.

Wordworth

La graduation de l'échelle est par contre pratiquement illisible, surtout si vous avez opté pour une graduation en cm. Une petite horloge numérique en haut à droite vous rappelle l'heure à tout instant. Vous disposez à la gauche de l'écran d'une petite boîte à outils, inspirée visiblement des programmes de PAO, mais qui réduit la fenêtre de travail. En cliquant sur les icônes appropriées, vous pourrez définir vos tabulations (droite, gauche, centrée et décimale), l'alignement des paragraphes (à gauche, à droite, centré ou justifié), l'interlignage (simple ou double), la police et les couleurs (2, 4, 8 ou 16 au choix). Rassurez-vous, si vous le souhaitez, le programme autorise les bonnes vieilles méthodes classiques, à savoir les menus déroulants et les raccourcis clavier. Puisqu'on parle des menus déroulants, jetons donc un coup d'oeil sur ce qu'ils nous proposent.

Projet

Ce menu classique vous propose les fonctions habituelles pour créer, ouvrir, fermer, sauver, effacer et quitter un document. Wordworth gère le multitâche et quand vous travaillez sur plusieurs documents (100 au maximum), vous avez la possibilité d'appeler à tout moment l'un d'entre eux grâce à une innovation intéressante et bien pratique : le nom de chaque document ouvert est inscrit en bas du menu, il suffit tout simplement de le sélectionner pour l'ouvrir. Wordworth reconnaît les fichiers ASCII et IFF bien sûr, mais également ceux créés avec ProWrite, ProText, KindWords 2.0 et WordPerfect.

Deux boîtes de requête pour "Print"

La première vous permet de choisir le type de papier, les caractéristiques de votre impression (copies, de la page X à Y...) et le mode d'impression : brouillon, courrier, graphique ou graphique-courrier.

L'impression en mode courrier utilise les polices NLQ ou LQ de votre imprimante. L'un des plus de Wordworth est la faculté de mêler le Pica (10), l'Elite (12), le condensé et l'élargi dans un même document, en utilisant les polices Pica 60, Elite 60, Condensed 60 et Elarged 60, à condition toutefois que votre imprimante puisse gérer ces modes. De quoi varier la présentation avec une très bonne qualité en sortie et obtenir un maximum de correspondance entre votre document à l'écran et le résultat produit.

Wordworth

Ce traitement de texte exploite donc au maximum les capacités des imprimantes. Seul ProWrite 3.1 semble être capable de le faire également. Une restriction cependant : tout comme ses concurrents, Wordworth ne gère pas les caractères proportionnels de l'imprimante en mode courrier.

L'impression en mode graphique, si elle reste tout de même plus lente qu'en mode courrier, surprend agréablement par sa vitesse en comparaison de ce que l'on voit habituellement. Au niveau de la qualité, Wordworth s'en tire plutôt bien, compte tenu du fait qu'il utilise des polices bitmaps.

La sortie en graphique-courrier, comme vous vous en doutez, est une impression mixte : l'imprimante édite d'abord la feuille en mode courrier, puis se repositionne en début de feuille pour imprimer en mode graphique. Malheureusement, cette technique est à proscrire en mode feuille à feuille, l'imprimante ayant du mal à ne pas froisser le papier en essayant de retourner en haut de la page.

Avec la seconde boîte de requête, vous sélectionnez le pilote d'imprimante, la densité, l'image de l'impression (positive ou négative), la couleur ou non, et vous accédez au module Ultra-Print proposant trois méthodes d'impression : Normal, Super ou High. Les modes Super et High augmentent la densité des caractères imprimés, et améliorent donc la qualité de la sortie. Ce principe d'utilisation de polices à haute densité avait déjà été mis en pratique avec KindWords 2.0 et ses Superfonts, mais d'une manière plutôt limitée et le résultat n'était pas toujours parfait (mauvaise gestion des espaces entre les mots). Ici, le résultat obtenu avec une imprimante à aiguilles est de très bonne qualité (ne vous attendez tout de même pas à de la qualité 100% laser) et la vitesse d'impression n'est pas plus lente qu'avec les sorties en mode graphique Amiga habituelles.

Malheureusement, pour pouvoir imprimer une police de taille normale (9 à 12), il faut qu'elle existe aussi en grandes tailles (26 pour le mode Super et 64 pour le mode High). De ce fait, ce procédé n'est utilisable qu'avec les polices Blake, Byron, Coleridge et Worbles. Il est regrettable que ce mode n'ait pas été prévu pour les polices Times et Helvetica, généralement les plus utilisées en raison de leur aspect professionnel. La fonction "Print" vous offre également le publipostage (mailing), c'est-à-dire l'édition des lettres-types au moyen d'un fichier d'adresses. A noter que le logiciel accepte les données au format Superbase.

Éditer

Avec ce menu, vous manipulez à loisir les textes grâce entre autres aux fonctions couper, copier, coller et effacer.

Format

Sont regroupées ici toutes les commandes pour varier le style : normal, gras, italique, souligné, indice et exposant. La commande "Typeface" fait apparaître une fenêtre de requête pour choisir votre police. Outre les polices du Workbench (Topaz, Diamond, Opal, Emerald...), Wordworth vous propose quelques polices spécifiques prévues pour une impression en mode courrier (Pica 60, Elite 60, Condensed 60, Enlarged 60) et une impression en mode Ultra-Print : Blake, Byron, Coleridge et Worbles (symboles).

Wordworth

La police sélectionnée peut être visualisée dans une fenêtre. Tout comme avec les programmes de PAO, vous pouvez régler l'espacement entre les lettres ("tracking"), fonction inhabituelle pour un traitement de texte. Par contre, vous devez spécifier au programme où chercher la police souhaitée, les polices étant réparties sur les disquettes "Wordworth" et "Wordworth Extras". En contrepartie, Wordworth reconnaît toutes les polices Amiga ainsi que les ColorFonts.

Avec la commande "paragraphe", vous effectuerez tous les réglages pour votre paragraphe : l'alignement (gauche, droite, centré ou justifié), l'indentation, l'interlignage et l'espacement entre les paragraphes. La richesse des options proposées étonne un peu : il semble évident que Wordworth se rapproche beaucoup d'un petit programme de PAO.

Wordworth

Document

"Page Layout" vous propose de choisir votre type de page (A3, A4, US Letter...) et de régler les marges de votre page, de votre en-tête, de votre bas-de-page... Vous pouvez changer à votre gré l'unité de mesure utilisée par le logiciel : pouces, centimètres, pica, points, pixels (!), pitch 10, pitch 12, pitch 15.

Wordworth

Vous remarquerez au passage que certains des réglages que nous avons vus (paramétrage de l'imprimante, type de page...) se font habituellement dans Preferences. Les auteurs de Wordworth ont décidé de les inclure dans les menus et de supprimer les préférences. C'est un choix, mais qui s'avère à l'usage bien pratique puisque pour sélectionner quelques réglages, vous n'avez plus besoin de passer par le Workbench. Les autres fonctions servent à la définition des en-têtes et des bas-de-page, permettent d'insérer des numéro de pages, la date, l'heure, des caractères particuliers et de déterminer leur mode d'affichage.

Utilities

Ce menu regroupe les fonctions avancées qui caractérisent un traitement de texte moderne, à savoir le chercher-remplacer avec toutes ses variantes, le glossaire, les graphiques, les dictionnaires, la césure automatique et la fonction "Speech". Tout comme ses concurrents, Wordworth peut importer des graphiques (il accepte les dessins au format Deluxe Paint), mais en plus, autorise un habillage avec du texte et ce de différentes manières, comme le font les programmes de PAO.

Les dictionnaires sont présents pour vérifier l'orthographe, mais aussi rechercher les synonymes et les homonymes. Les Anglo-Saxons sont vraiment gâtés... Contrairement à Excellence! 2.0 dont c'est le principal défaut, la césure peut se faire automatiquement en cours de frappe, ce qui est normal pour un traitement de texte qui se veut moderne. Le logiciel étant en anglais, la césure n'est bien évidemment pas adaptée au français et il est donc impossible de voir si elle commet beaucoup d'erreurs.

La fonction "Speech" appelle un synthétiseur vocal qui lit au choix tout votre document, une partie sélectionnée ou le texte au fur et à mesure que vous le tapez. C'est l'équivalent du programme "Say" du Workbench, avec les mêmes réglages possibles... et toujours une prononciation à "l'anglaise", of course. L'idée est originale et surtout, peut permettre dans une certaine mesure à des non voyants de travailler avec un traitement de texte.

En effet, la non-voyance n'est pas en soi un handicap pour la dactylographie puisqu'un bon dactylographe ne regarde jamais son clavier qu'il connaît par coeur, mais le non voyant n'a aucun moyen de contrôler à l'écran ce qu'il frappe. C'est à ce niveau que le synthétiseur vocal d'un traitement de texte a son importance, le dactylographe pourra alors suivre ce qu'il frappe grâce à la voix et corriger ainsi ses erreurs. On imagine aisément les possibilités qu'offre un tel logiciel pour l'accès des non voyants à des postes d'opérateurs de saisie ou même de secrétaires.

Playtime

Vous souhaitez faire une pause entre deux saisies de texte ? "Playtime" est un petit puzzle qui vous permettra de vous relaxer. Avec "Screen Saver", vous pourrez choisir une sauvegarde automatique programmable de votre travail et définir les délais de sauvegarde (toutes les cinq minutes...) : idéal pour les étourdis.

"Preferences" donne le moyen de gérer la présence ou non de la boîte d'outils, de la règle horizontale et verticale (peu courante dans un traitement de texte) et des ascenseurs. Vous pouvez déterminer le nombre de couleurs utilisées (2, 4, 8 ou 16), en n'oubliant pas qu'un grand nombre de couleurs prend de la place en mémoire et ralentit la machine, et choisir entre la moyenne et la haute résolution. Cette dernière est vivement conseillée si vous avez le moniteur adéquat : l'écran de travail y est superbe. Si vous désirez changer les couleurs de votre écran, la fonction "Palette" est là pour ça et vous offrira même quelques réglages prédéfinis.

Impression générale

Le travail avec Wordworth est dans l'ensemble très agréable, le programme disposant d'un grand nombre de fonctions. L'interface graphique soignée, surtout si on utilise le mode haute résolution, ne gâte rien et procure un plaisir supplémentaire. La frappe n'est pas des plus rapides, rançon du wysiwyg... Elle n'a cependant rien à envier à celle d'Excellence! et est plus rapide qu'avec KindWords.

En ce qui concerne la manipulation de texte, Wordworth se distingue par sa vitesse : les réponses aux demandes de sélection, de copie, de collage ou de recherche sont en effet très rapides, bien plus qu'avec KindWords 2.0 ou même Excellence! 2.0.

Avec Wordworth, le wysiwyg est vraiment mis en vedette : l'écran représente fidèlement ce que vous obtiendrez à l'impression, tant en mode courrier que graphique et ce grâce à ses polices spécifiques. Par contre, l'écran de travail sera un peu petit si vous utilisez le format A4 : la représentation de la page s'inspire en partie de la présentation utilisée par les programmes de PAO. Si cela déroute légèrement au début, on s'y fait très vite.

Wordworth est vraiment très proche des programmes de PAO, sans en avoir toute la puissance. Ce n'est pas son rôle d'ailleurs. Mais il autorise des mises en pages très développées. Un regret cependant : le multicolonnage est absent, et c'est une véritable lacune pour un traitement de texte orienté PAO. Une fonction "encadrement" aurait été aussi la bienvenue, mais Excellence! et ProWrite n'en ont pas non plus. On aurait également aimé trouver une commande de création d'index et de sommaire, même si ce ne sont que des fonctions mineures et souvent peu utilisées.

La possibilité d'effectuer les paramétrages sans passer par le Workbench et ses préférences améliore la convivialité du traitement de texte pour l'utilisateur peu enclin à manipuler le système d'exploitation. Visiblement, la partie impression n'a pas été négligée par les auteurs puisque vous pouvez obtenir des documents de bonne qualité en mode graphique et varier les polices en mode courrier, selon les capacités de votre imprimante bien sûr. La sortie en PostScript n'a apparemment pas été prévue et c'est dommage car elle apporte souvent un élément de crédibilité et de sérieux supplémentaire. On ne le répétera jamais assez : le PostScript est ce qui distingue une application à vocation professionnelle d'un simple programme, et l'Amiga a bien besoin de cette qualification. Associé aux logiciels Superbase et Deluxe Paint, Wordworth constitue une bonne base de travail.

Enfin, parmi le grand nombre d'innovations apportées, on retiendra la sauvegarde automatique programmable ainsi que la fonction "speech" : au-delà du simple gadget, il s'agit tout simplement d'une nouvelle possibilité d'accès à un traitement de texte pour les non voyants. A l'heure où l'insertion des handicapés dans la vie professionnelle est une réalité, le synthétiseur vocal de l'Amiga est un véritable atout et peut permettre à notre machine de trouver ses marques dans un domaine où tant reste encore à faire.

Conclusion

Wordworth est un traitement de texte très séduisant qui offre quelques bonnes surprises et innovations, mais qui a également de petits défauts de jeunesse. Séduction, rapidité et puissance ont été apparemment les trois impératifs de ce logiciel. Laissant loin derrière KindWords 2.0, il est bien près de détrôner Excellence! 2.0, en face de qui il n'a pas à rougir d'ailleurs grâce à sa vitesse, sa très grande convivialité et ses possibilités d'impression, et possède un potentiel à développer qui pourrait le placer au premier rang des traitements de texte pour l'Amiga.

Son interface graphique à la 2.0 le rend encore plus attrayant et après quelques heures d'utilisation, les concurrents paraissent bien ternes et peu professionnels. Il a fait une très bonne impression au Royaume-Uni où il a été loué par la presse spécialisée : concurrent de poids de ProWrite 3.1, Excellence! 2.0, PenPal, ProText 4 et WordPerfect, il pourrait bien devenir dans les prochains mois le leader des traitements de texte.

Alors qu'en France, les possesseurs d'Amiga se plaignent constamment -et à raison- du nombre réduit de logiciels de bureautique, il serait vraiment dommage de rejeter ce nouveau venu de qualité qui ne manque pas d'atouts. Ce programme mérite réellement qu'un distributeur français s'y intéresse sérieusement, car si certaines fonctions pouvaient être adaptées au français (dictionnaires des synonymes et antonymes, synthétiseur vocal), il dépasserait sans l'ombre d'un doute ses concurrents et pourrait être un formidable exemple de ce que peut faire l'Amiga. Sans parler du soutien que cela apporterait aux éditeurs et de l'assurance de voir développée une version plus puissante et plus complète...

Note de Michel : d'après l'éditeur, une version sortira prochainement avec une sortie PostScript. De plus, les menus, les messages des requêtes et les aides sont sous forme de fichier ASCII, donc aucun problème pour les franciser.

Nom : Wordworth.
Éditeur : Digita International.
Genre : traitement de texte.
Date : 1991.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 1 Mo de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : 129,99 £.


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