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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de Never Mind
(Article écrit par Olivier Kaa et extrait de Joystick - janvier 1990)
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La reconstitution d'un puzzle, ce n'est déjà pas facile. Mais quand Psygnosis y met trois
dimensions, ça devient infernal !
Une logique en 3D
Votre but est tout simplement de récupérer les images manquantes d'un dessin, éparpillées dans la
forme géométrique où vous vous trouvez. Quadrillés, tous les plans sont munis de carreaux vides
qui vous permettent de passer d'un plan à l'autre. C'est-à-dire que vous pouvez tout aussi bien
marcher sur le sol que sur les murs, sans que cela ne gène votre sens de l'apesanteur.
C'est un défi à la logique et à la rapidité, vu que c'est évidemment minuté.
Dans un graphisme superbe (Psygnosis oblige), vous dirigez à la manette un personnage hyper-réaliste.
Petit mais très bien dessiné, il est animé avec une rapidité surprenante. Il se déplace en poussant
la manette, et à chaque poussée, il change de direction d'un quart de tour sur les côtés.
A chaque tableau, le décor, forme géométrique constituant la pièce où vous vous trouvez, en devient
une autre, et les images à reconstituer sont de plus en plus complexes. Pour réussir, il faut vous
placer sur l'image se trouvant hors du dessin, cliquer, et aller à son emplacement normal pour
recliquer. Évidemment, plus ça va, plus il y a d'images manquantes au dessin, alors que le temps
imparti reste le même. C'est dur, c'est joli, et ça demande une mémoire visuelle énorme.
Nom : Never Mind.
Développeurs : MC Lothlorien.
Éditeur : Psyclapse (Psygnosis).
Genre : jeu de réflexion.
Date : 1989.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
NOTE : 8/10.
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