Obligement - L'Amiga au maximum

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Test de Manhattan Dealers
(Article écrit par Mickaël Sportouch et extrait de Génération 4 - mars 1988)


Le jeu de café Renegade a très certainement inspiré Louis-Marie Rocques, le créateur de ce logiciel qui s'est fait connaître avec l'Aigle d'Or sur machines 8 bits.

Manhattan Dealers

Dans la peau de l'inspecteur Harry

Vous étes un inspecteur en mission dans les bas-fonds de New York. Votre nom est Harry. Vous traversez neuf lieux différents infestés de dealers prêts à tout pour revendre leur poison. Seul, sans arme, vous devez terrasser ces misérables "vendeurs de mort", leur reprendre la drogue et la brûler. C'est pour vous le seul moyen de sauver de pauvres innocents.

Vous commencerez par le Bronx, quartier des skinheads et des punks. Ils vous combattront, armés de chaînes, de couteaux et même d'une tronçonneuse. Vous vous retrouverez ensuite à Harlem, où les Blacks Killers sont armés de battes de base-ball. Une vamp diabolique vous affrontera sur les quais de l'Hudson, un fouet à la main. Ces embûches passées, vous arrivez dans China Town ou les ninjas règnent en maîtres : il vous faut éviter leurs étoiles meurtrières. Hélas, vous n'êtes pas au bout de vos peines ; deux samouraïs et leur chef, vous attendent encore, le sabre au poignet...

Manhattan Dealers

Chaque coup adverse fait perdre des points de vie qu'il est possible de regagner en brûlant la drogue recueillie sur les dealers. On peut se déplacer dans quatre directions différentes, se baisser afin d'esquiver certains coups, frapper à la face et au corps avec les poings et les pieds.

L'avis de Mickaël Sportouch

Saluons l'arrivée sur le marché des machines 16 bits d'une nouvelle société française. Nos salutations seront cette fois-ci discrètes car le premier programrne de Silmarils n'est pas un succès sur Atari ST et Amiga. On en est même très loin. Mais il faut savoir se montrer indulgent et patient. Je suis sûr que les prochains titres vaudront le déplacement.

Revenons à nos moutons. Manhattan Dealers est un jeu de recherche et surtout de combats qui s'inspire d'un jeu d'arcade nommé Renegade. Les scènes de combats ne sont pas passionnantes en raison d'un manque de jouabilité. Les animations ne sont pas bonnes, du moins sur Atari ST car la version Amiga s'en tire mieux. Les mouvements ne s'enchaînent pas bien. Les adversaires sont pourtant originaux et armés jusqu'aux dents. Les graphismes sont moyens. Les bruitages allient le bon et le moins bon. Ce programme est globalement un échec et nous attendons mieux de Silmarils par la suite.

Manhattan Dealers

L'avis de Robert Franchi

Après avoir regardé la démo, je pensais que Manhattan Dealers serait un jeu agréable. Il part d'une idée originale, avec une belle musique de présentation et une page d'options très claire. Le style de graphisme, du genre bande dessinée est assez plaisant et sort de l'ordinaire. Les bruitages sont bien étudiés. Là où tout se gâte, c'est quand on commence à jouer : les combats n'offrent qu'un intérêt très limité, mais passe encore... Ce qui est vraiment pénible, c'est qu'il faille fouiller chaque corps pendant trois heures pour y trouver la drogue. Je peux vous dire qu'elle est très bien cachée. Cela rend ce jeu d'action rapidernent ennuyeux.

L'avis de Marc Djan

Pan ! Dans la tète, Pan ! Dans les bijoux, et file-moi ta came ; voici, résumé en treize mots (un treize plutôt porte-malheur) le principe de ce jeu. Si ce logiciel d'action est plein de bonnes idées, la réalisation n'est pas exempte de reproches. Tout d'abord, les graphismes, il parait à peu près certain que les auteurs aient voulu recréer l'ambiance grisâtre des bas-fonds new-yorkais par un tracé hésitant et sale mais, cela ne devrait en aucun cas nuire à la lecture du dessin. Or, c'est trop souvent le cas dans ce programme. On a même l'impression que les personnages sont mal dessinés, tout est trop imprécis et confus.

Au niveau du jeu, je me permettrais de critiquer le temps de réaction trop lent de Harry avec la gestion à la manette. De plus, il est particulièrement difficile de se placer en bonne position pour récupérer la drogue sur les dealers. Ces petits défauts enlèvent beaucoup au plaisir du jeu. La présentation des différentes options et la notice de jeu intégrée sont, par contre, des points positifs qu'il faudrait réutiliser dans les prochains programmes.

Nom : Manhattan Dealers.
Éditeur : Silmarils.
Genre : jeu de combat.
Date : 1988.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : 260 FF.

NOTE : 4/10.

Les points forts :

- Idée originale.
- La présentation des options.
- Quelques objets pendant les combats.

Les points faibles :

- Contrôles délicats qui gâchent la jouabilité..
- Mouvements lents et saccadés.
- Un peu court.


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