Obligement - L'Amiga au maximum

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Reportage : Journée Atacom sur l'Amiga et le développement
(Article écrit par Laurent Itti et extrait d'Amiga News - mars 1993)


Cette manifestation, organisée le 6 février 1993 à Paris par Pascal Kazmierczak et l'association Atacom Île-de-France, a connu un succès qui a apparemment surpris jusqu'à ses organisateurs : la majeure partie des personnes présentes s'était en effet (comme d'habitude...) inscrite au dernier moment, si bien que la salle louée pour l'occasion était sous-dimensionnée. L'ambiance générale n'en a été que plus conviviale, et ce fut l'occasion de rencontrer des personnes très intéressantes gravitant dans le monde de l'Amiga.

Quoi, quand, où ?

Le rendez-vous était fixé à 10 heures. Nous sommes alors entrés dans une salle, légèrement étriquée vu le monde présent, de bon standing, et dans laquelle trônaient un A4000, un A3000, une grande TV et un CDTV. Après un bref discours d'introduction, Pascal passe une cassette vidéo, réalisée pour Commodore US, qui présente des utilisateurs professionnels de l'Amiga. On y découvre des applications intéressantes de l'Amiga, notamment dans les domaines du graphisme, de la vidéo pour des chaînes de TV locales, et du multimédia (une entreprise utilise l'Amiga pour faire un vidéodisque interactif d'itinéraires touristiques).

On sent bien que cette cassette a été réalisée pour Commodore : tous les utilisateurs présentés sont bien sûr enchantés par leurs Amiga, les trouvent très faciles à utiliser, et font l'éloge du service technique Commodore. Les points forts de la machine qui ressortent de ces entrevues sont essentiellement :
  • La facilité et rapidité de création d'un véritable produit fini, ce qui est intéressant surtout pour les applications en TV où il faut rapidement un résultat, même s'il n'est pas de qualité optimale : si on a quelque chose à temps, ça passe à l'antenne, sinon, on n'a rien...

  • La convivialité : l'utilisateur de la machine veut établir un dialogue avec elle, sans se soucier des contraintes techniques dont il ne veut pas entendre parler. Celle-ci doit donc réagir rapidement, ne pas se bloquer quand on fait des accès disque, etc.

  • La réputation de console de jeux est évoquée, et à mon avis bien exploitée, oui, l'Amiga peut servir à faire des jeux. Et d'excellents jeux parfois. Ceci est donc une preuve de plus des capacités intrinsèques de la machine, rien de plus.

  • Le dernier atout est le rapport qualité, pris de la gamme Amiga.
Journée Atacom Amiga

Amiga : le marché

Pascal Kazmierczak nous donne ensuite quelques chiffres concernant le marché de l'Amiga. Quelque 3,7 millions d'Amiga ont été vendus dans le monde depuis 1985, ce qui représente 63% du chiffre d'affaires de Commodore (20% pour les PC, le reste pour le C64). En 1992, un million d'Amiga ont été vendus.

En France, Commodore vend autant de PC que d'Amiga. Il y a un parc de 300 000 Amiga : 197 000 A500, 3000 à 4000 A3000, et le reste en A2000 (chiffres de 1991). Le parc des machines Amiga dans le monde reste donc peu important face aux PC (23 millions d'après IBM, chiffre que l'on peut donc multiplier au moins par deux pour approcher la réalité...).

Après cette mise en jambe, plusieurs développeurs, éditeurs et distributeurs ont présenté leurs produits principalement dans les domaines des interfaces graphiques et des outils de développement.

Someware : DICE francisé

Le paquetage francisé de DICE (590 FF) était présenté par Éric Gontier. Les points qui ont retenu mon attention sont les suivants :
  • L'environnement est bien intégré : manuel du C sur disque, accessible directement à partir d'un éditeur, et contenant pour chaque fonction un exemple d'utilisation.
  • Tous les sources sont fournis.
  • Compatibilité ANSI totale.
  • Includes 1.3 et 2.0, 3.0 dès la prochaine version (qui devrait être disponible maintenant).
  • Quelques exemples de programmation très spécifique Amiga sont livrés avec le paquetage : une bibliothèque, un périphérique logique, un pilote d'imprimante...
  • La configuration complète prend 7 Mo sur votre disque dur. Mais on peut faire marcher DICE correctement avec 1 Mo de mémoire et deux lecteurs de disquette.
  • Someware envisage de créer un serveur Minitel sur lequel les utilisateurs pourront directement poser leurs questions.
  • Someware s'intéresse aussi à un préprocesseur C++ à utiliser avec DICE.
  • Les points faibles qui m'ont frappé : pas d'optimisateur dans la transcription C->Assembleur, pas de débogueur source, pas de génération de code 68030 ou 68882.
Le paquetage semble toutefois intéressant, surtout pour les débutants. Mais pour ceux à qui l'anglais ne fait pas peur, qui ont de la place sur leur, disque dur, et qui n'ont pas peur de la complexité des commandes de style Unix, le GNU C++ (disponible en gratuiciel) est un sérieux concurrent de DICE.

Métoscope : un débogueur symbolique

Le principe de ce logiciel est puissant et original : il suffit de cliquer sur l'élément qui nous intéresse (label, variable...) dans une fenêtre, puis d'ouvrir une autre fenêtre pour obtenir plus d'informations (points d'arrêt conditionnels, tables de symboles, recopies du contenu de la mémoire...).

On s'affranchit ainsi de beaucoup de manipulations fastidieuses : le contenu des fenêtres ouvertes est directement lié à ce qui était sélectionné à l'ouverture de ces dernières (par exemple, il suffit de cliquer sur un symbole, puis d'ouvrir une fenêtre mémoire pour que celle-ci montre directement le contenu de la mémoire à l'adresse du symbole). C'est donc un logiciel très pratique pour les développeurs. Mais attention toutefois : puisque c'est un débogueur symbolique, il ne travaille qu'au niveau assembleur (pas question d'avoir le source C accessible, comme avec le débogueur du SAS/C, par exemple), et l'on ne peut avoir accès à des noms symboliques (noms de variables, etc.) que si ceux-ci sont stockés dans l'exécutable du programme que vous déboguez (tous les compilateurs ont une option pour le faire).

Enfin, Someware a évoqué certains de ses projets futurs : une collection "la boîte à outils" de logiciels utilitaires, un désassembleur puissant, et "un gros truc mystérieux" qui pourrait être l'ultime Interface Builder...

À propos d'Unix : X11 sous AmigaDOS est annoncé en 256 couleurs sur A4000. En outre, il semblerait que ce soit GfxBase qui reprenne en main le développement de l'Unix proprement dit sur Amiga, face au désintérêt visible de Commodore pour ce produit [Someware, 1 rue Léo Lagrange, 59212 Wignehies, Tél : 27.57.41.05, Fax : 27.60.60.87].

Jean-Michel Forgeas : UIK

Ce paquetage était présenté directement par son créateur, ce qui le rendait très attractif. Je ne vais pas présenter une fois de plus ce produit dont tout le monde a déjà entendu parler maintenant. Rappelons simplement qu'il ne s'agit pas d'un Interface Builder (on n'a pas un programme graphique de création de gadgets comme GadToolsBox par exemple), mais d'un moteur d'objets, c'est-à-dire d'un ensemble de fonctions additionnelles accessibles en C (par exemple) pour gérer facilement la création et l'utilisation d'une interface graphique (voire plus généralement d'applications à base d'objets).

On crée un gadget en une instruction, puis on lui attache une procédure à exécuter lorsqu'il sera activé (celle-ci peut alors ouvrir des fenêtres, des requêtes, etc.), implantant ainsi véritablement le squelette de l'application. Ensuite, il suffit de faire un UIK_Do, et tout marche tout seul. Plus besoin d'écrire les longues lignes de programme servant à gérer les appuis sur les gadgets, etc.

Pour faciliter encore la tâche du programmeur, UIK propose une gamme complète d'objets standard prédéfinis (requêtes de fichiers, palettes, etc.) qui peut être complétée par l'utilisateur. De plus, ceux-ci donnent à l'utilisation l'impression de fonctionner en multitâche (deux sélectionneurs de fichiers ouverts au même moment vont scruter leurs répertoires et les afficher en même temps !).

Ces objets ont tous été créés de façon cohérente (mêmes couleurs pour les mêmes types de boutons, etc.), ce qui permet d'avoir un environnement agréable et totalement redéfinissable pour vos applications : celle-ci peut alors proposer une fenêtre de sélection des préférences (objet fourni avec UIK, permettant de modifier les couleurs, la localisation (différentes langues utilisées par votre programme), le type de clic désiré pour les boutons (dont certains modes vont même jusqu'à rendre votre interface pilotable via un ou deux poussoirs, ce qui la rend accessible aux handicapés moteurs), etc. Ces préférences seront directement reconnues par UIK, sans que le programmeur ait à prévoir de procédures spéciales pour les gérer.

Bref, un paquetage vraiment bien pensé et puissant ! [Jean-Michel Forgeas, 16170 Bordevile, France].

H. Le Ny, Ph. Berard, F. Pinault, G. Marziou et C. Bigard : Iwanima

Dans le même genre qu'UIK, venait ensuite la présentation d'Iwanima. Ce produit relativement nouveau et encore en développement s'inspire directement de l'interface graphique du NeXT. Il propose pour l'instant un moteur d'objet, et une surcouche Interface Builder est prévue (pour programmer un logiciel, il suffira alors de prendre des éléments, de les placer dans des fenêtres, etc. (un peu comme avec GadToolsBox), puis de les lier entre eux (toujours à la souris) pour définir un enchaînement logique. L'interface Builder doit alors vous fournir un programme tout prêt ! (il ne restera général plus qu'à ajouter du code pour certaines fonctions spéciales (vos routines de calcul, etc.), mais un logiciel du type de Directory Opus devrait pouvoir se faire entièrement à la souris). Avec Iwanima, il est en outre prévu de pouvoir tout de suite faire fonctionner l'interface du futur "programme" pendant qu'on 'l'écrit" (à la souris), grâce à un interpréteur intégré.

Les développeurs d'Iwanima sont, en outre, en train de mettre en place un protocole général de transmission de données via le presse-papiers de l'Amiga, qui est sous-utilisé par le système, contrairement à ce qui se passe sur Mac. On pouvait déjà en voir un exemple intéressant : il suffit de cliquer sur un gadget de chaîne de caractères créé par Iwanima pour pouvoir en déplacer le contenu à la souris (comme une icône du Workbench), puis de le lâcher au-dessus d'un autre gadget de chaîne et ainsi de recopier le contenu du premier dans le second.

Là aussi, un aspect intéressant est la sensation de multitâche pour l'utilisateur : même si un appui sur un bouton lance une procédure qui utilise de façon permanente le processeur, toute l'interface graphique créée avec Iwanima continue à réagir (en programmation normale, il faudrait prévoir dans une telle procédure d'aller tester les différents boutons "de temps en temps". Ici, le programmeur est affranchi de cette tâche).

Ce produit est donc prometteur, et ses développeurs sont ouverts à toute proposition de bêta-test ou de création d'objets [s'adresser à Atacom Île-de-France, 3 Mail des Corses, 77100 Meaux, Tél : 64.34.03.42].

AMOS Pro

La nouvelle version d'AMOS était ensuite présentée par François Lionet. Beaucoup de gens reprochent à ce logiciel de complètement redéfinir un environnement qui lui est propre au lieu d'utiliser Intuition. Pour ma part, je n'ai pas trouvé cela préjudiciable (à condition de ne pas considérer AMOS comme un langage à usage général en symbiose avec le système qui l'abrite) vu la qualité de l'interface fournie c'est vraiment très bien pensé et convivial. En trois instructions, François a chargé, affiché, puis animé plusieurs gros BOB. Les écrans et les fenêtres sont très rapides et d'aspect agréable, on mélange les résolutions et les palettes de couleur sans problèmes, etc.

L'éditeur est bien fait, et propose de nombreuses extensions, comme un éditeur de sprites, un éditeur d'échantillons, etc. En quelques minutes, ce logiciel permet d'écrire des applications qui tiennent la route : on lit une musique Soundtracker qui est directement jouée, on lit et on affiche une image compactée en une instruction, on anime des BOB en même temps... (AMOS gère directement la création des interruptions nécessaires... Imaginez le temps de développement que cela demande avec un autre langage...).

Ce langage me semble donc idéal pour tous ceux qui ont des applications graphiques à écrire simplement et rapidement (bien sûr, AMOS n'est pas vraiment prévu peur faire de gros calculs ou des manipulations compliqués de chaîne de caractères, par exemple...).

Voici quelques points forts d'AMOS Pro :
  • Macro-langage de création de boîtes de dialogue.
  • Mini-langage de description des animations.
  • Environ 700 instructions.
  • Interface ARexx.
  • Possibilité d'insérer du langage machine dans vos programmes.
  • Utilisation facile des fonctions de la ROM Amiga.
  • Éditeur totalement commandable (ce qui permet à un programme AMOS d'effectuer des modifications automatiques dans un listing AMOS).
  • Version française disponible dans trois mois (mai-juin).
  • Gestion de l'AGA : pas prévu à priori pour l'instant car Commodore a décidé de ne rien dévoiler sur la structure interne des nouveaux circuits graphiques pour obliger les développeurs à utiliser Intuition, ce qu'AMOS ne fait pas. Mais AMOS Pro fonctionne avec les nouvelles machines.
  • En prévision : une nouvelle interface compatible Intuition pour AMOS, une remise à jour du compilateur qui est en cours, une Interface Builder (décidément !), un paquet MIDI, de la 3D, des versions Falcon et PC, etc.
  • Une assitance technique est assurée par le Klub AMOS (Klub AMOS France, BP 133, 18003 Bourges Cedex).
Arobace : A-Debug

A-Debug était ensuite présenté. Il s'agit d'un autre débogueur symbolique. Comme AMOS, celui-ci outrepasse totalement Intuition et propose un écran noir & blanc avec des fenêtres d'un type qui lui est propre. C'est un petit peu gênant pour les puristes de l'Amiga, mais c'est très rapide !

Les fonctionnalités sont classiques et bien faites. Il était légèrement difficile de se rendre bien compte des fonctions spécifiques de ce logiciel lors d'une présentation publique brève, aussi, je vous invite à vous adresser directement à son éditeur pour de plus amples renseignements : Arobace, 2 rue Piémontest, 75018 Paris, Tél : 42.23.50.44, Fax : 42.51.12.44.

Tecsoft : TVPaint

Nous avons pu voir la version 2.0 de TVPaint, dans sa mouture développée pour la carte Domino (c'est une carte SVGA 32 000 couleurs bricolée pour fonctionner dans un Amiga). TVPaint reste un incontournable dans le domaine des palettes graphiques professionnelles. Couplé à une tablette graphique Wacom 1500 DPI (pas donnée !) munie d'un stylo sensible à la pression, il permet au graphiste de retrouver beaucoup des sensations du dessin manuel (notamment avec le nouveau tracé "crayon de couleur" qui fait des traits d'une texture proche de ce qu'on a en réalité).

Cette nouvelle version propose, en outre, le multifenêtrage interactif, ce qui est vraiment pratique. Enfin, avec la carte Domino, TVPaint est vraiment rapide et agréable à utiliser, de plus un procédé rapide de tramage donne un rendu tout à fait comparable à ce qu'on peut trouver sur une carte 24 bits. Le prix reste volontairement élevé, environ 5000 FF. En effet, ce produit est véritablement professionnel, et dispose d'un suivi client important. La configuration minimale pour le faire fonctionner est un 68020 et un copro arithmétique [Tecsoft, 19 rue Dupont de Oges, 57000 Metz, Tél : 87.74.33.27, Fax : 87.75.75.14].

Atacom

Pour finir, voici quelques informations qui nous ont été données à la fin de cette journée à propos des activités futures d'Atacom.

Cette association d'utilisateurs est constituée de plusieurs divisions locales, dont les buts principaux sont de faire circuler l'information et de faire se rencontrer les gens passionnés par l'Amiga. Dans un futur proche, ne ratez pas le "Passeport Amiga" : il s'agit d'un recueil de 300 pages, regroupant tout ce qu'on peut trouver sur Amiga, y compris des solutions auxquelles on ne pense pas souvent (utilisation de périphériques prévus pour d'autres ordinateurs, etc.), ainsi que différents prestataires de service. Disponible bientôt au prix de 79 FF.

Le prochain salon Atacom est prévu pour octobre 1993 et proposera de la vente directe de matériel. La prochaine réunion développeurs est prévue pour mars, et sera axée sur l'image de synthèse et les cartes graphiques.

Cette association dynamique, dopée par la personnalité de ses membres éminents (Alain Piednoël, Pascal Kazmierczak et Joël Nadal, notamment) a pour ambition de faire bouger les pesanteurs du monde Amiga. A ce titre, elle a une conception des choses relativement proche de celle du Club Amiga-Télécom-Paris, et certaines collaborations sont envisagées. Chacune garde toutefois ses spécificités, qui sont complémentaires Atacom a vocation à rassembler les utilisateurs, tandis que le club ATP a peur objet la promotion de l'Amiga dans les milieux industriels et universitaires, ce qui le tourne plutôt vers l'extérieur.

Espérons que ces bonnes volontés sauront être encouragées en haut lieu, ou au moins que leur action ne se heurtera pas à une mauvaise volonté anachronique [Atacom, Île-de-France, 3 Mail des Corses, 77100 Meaux, Tél : 64.34.03.42].

Conclusion

Cette première journée développeurs organisée par Atacom Île-de-France fut donc un franc succès (environ une centaine de personnes présentes). Ce fut une excellente occasion de rencontrer une partie des personnes qui font bouger le monde Amiga, que ce soit du côté des développeurs, comme de celui des revendeurs (Essonne-Mailing et Xanadu étaient par exemple également présents, démontrant ainsi leur motivation réelle pour l'Amiga (Essonne-Mailing était déjà présent au Forum Informatique Télécom-Paris)).

Rendez-vous à la prochaine réunion !


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