Obligement - L'Amiga au maximum

Samedi 20 avril 2024 - 17:30  

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Entrevue avec Zaher Sai
(Entrevue réalisée par Michal Bergseth et extraite de Amitopia - septembre 2017)


Note : traduction par David Brunet.

Essayons d'unir le monde en donnant la parole à un amigaïste vivant dans un pays dont la plupart d'entre nous n'ont vu que des choses horribles : la Syrie. Avec cette entrevue, je veux mettre de côté toutes les différences politiques que nous pouvons avoir, et regarder de plus près ce que Commodore à pu réaliser en Syrie, pays victimes d'événements qui n'auraient jamais dû se produire. Nous sommes tous des êtres humains et, en Syrie, il est temps d'unir les gens.

Amitopia s'était déjà entretenu avec Gilbert Tan, un utilisateur Amiga aux Philippines, et beaucoup avaient apprécié cette lecture. Nous nous sommes donc lancés à la recherche d'autres personnes habitant dans des pays dont le nom ne résonne pas forcément avec Commodore et Amiga. Zaher Sai, qui habite à Lattaquié en Syrie, a été très sympa en m'invitant dans ses réseaux sociaux, et j'ai naturellement accepté. Je connaissais déjà un amigaïste d'Irak, donc en découvrant un amigaïste de Syrie, j'étais très intéressé pour en connaître plus sur cette personne et comment il a connu l'Amiga dans un pays que la plupart des gens ne connaissent qu'à travers les chaînes TV d'information.

Zaher Sai
Zaher Sai

- Pouvez-vous nous en dire plus sur vous ? Que faites-vous et comment avez-vous découvert l'Amiga ?

Je m'appelle Zaher Sai et je suis un modélisateur 3D de profession. Je vis à Lattaquié, en Syrie. Ma première expérience avec l'Amiga remonte à 1990 quand je l'ai vu chez un marchand d'ordinateurs Sakhr, qui sont des machines MSX arabes bien connues. Il m'a montré quelques démos et jeux et j'ai été ébloui par le son et les graphismes de cette machine. Un de mes amis a alors acheté un Amiga 500. J'ai ensuite raconté cette histoire à mon père et il en a acheté un pour mon frère et moi.

- Comment les produits Commodore arrivaient en Syrie ? Qu'avez-vous fait sur votre Amiga 500 ?

Dans les années 1980, il y avait un revendeur Commodore officiel à Damas. Son nom était Suleiman Al-khouri pour autant que je me souvienne. A Lattaquié, au début des années 1990, les ordinateurs MSX étaient en train de mourir. Le revendeur MSX s'est donc transformé en un revendeur Amiga.

J'ai très peu d'expérience avec le C64, mon premier ordinateur étant un ZX Spectrum que mon père avait acheté lors d'un voyage à Londres en 1983 ou début 1984. Il s'en vendait comme des petits pains à l'époque. Mon deuxième ordinateur fut un C64 mais je l'ai utilisé pendant moins d'une année car mon père l'avait vendu pour acquérir un Sakhr MSX, fabriqué par Yamaha. J'utilisais mon Amiga surtout pour jouer et je regardais aussi quelques démos. J'ai également quelques expériences avec Deluxe Paint et AMOS.

- Possédiez-vous d'autres Amiga après votre A500 ? Avez-vous posté vos créations AMOS sur Internet ?

Oui, j'ai ensuite acheté un Amiga 1200, que j'ai toujours. Je possède aussi deux Amiga 500 qui sont cachés dans mes placards.

J'ai utilisé AMOS en amateur, je n'étais pas un programmeur professionnel. Tout ce que j'ai fait se résume à des jeux et des animations très simples, rien de vraiment sérieux.

- La faillite de Commodore a-t-elle eu une incidence sur l'utilisation de l'Amiga en Syrie ?

Elle a certainement eu une incidence, mais je ne dirais pas que ce fut un gros choc pour les joueurs. Les joueurs avaient déjà commencé à utiliser d'autres systèmes pour les jeux en 1994, surtout la Neo Geo et la PlayStation. Bien que l'Amiga 1200 ait été une machine améliorée, elle n'était pas aussi révolutionnaire que l'Amiga 500 pour les joueurs.

Cela dit, le montage vidéo, lui, a été affecté. Au début des années 1990, l'Amiga était le meilleur choix en matière de montage vidéo et le titrage. Il fut largement utilisé à la télévision officielle syrienne et pour la plupart des publicités télévisées de l'époque. Mis à part le montage vidéo, l'Amiga n'a jamais été utilisé professionnellement, dans les affaires ou dans la PAO. Une des erreurs de Commodore fut le manque de gestion des langues arabe ou japonaise, qui possédaient un vaste marché pour les ordinateurs, en particulier les pays du Golfe Persique avec leurs richesses pétrolières.

- Quelle était la situation de la presse Amiga en Syrie ? Disposiez-vous de votre propre magazine en arabe ? Y avait-il des solutions en arabe pour AmigaOS ou fallait-il vous rabattre sur l'anglais ?

A l'époque, il n'existait qu'un seul magazine informatique en arabe qui était vendu en Syrie. Il était imprimé au Liban et s'intitulait Al-Computer. Je ne me souviens d'aucun autre magazine dans le monde arabe à cette époque. Cependant, la plupart des amigaïstes achetaient les magazines Amiga anglais (principalement Amiga Format, CU Amiga et Amiga Action) et ce fut par ce biais que j'ai appris la programmation AMOS à l'époque. Ces magazines anglais étaient principalement importés en Syrie depuis les Émirats Arabes Unis. Je me souviens encore de la façon dont ils ont fortement censuré les publicités pour les contenus pour adultes.

Le magazine Al-Computer était centré sur le PC et le Mac mais l'Amiga était souvent mentionné (sans compter des articles sur le C64, le MSX et les ordinateurs 8 bits). Mon père était abonné à ce magazine, je me souviens avoir lu un numéro de 1986 dans lequel il y avait un reportage du salon Hanovre 86 et où il testait l'Amiga 1000 en détail. Ce magazine a également testé l'Atari ST et l'Amiga 500 mais de manière moins extensive.

Au niveau d'AmigaOS, il existait un programme non officiel pour écrire en arabe, mais je ne me souviens plus de son nom. Il avait dû être utilisé dans les publicités TV et les titrages dans le monde arabe à cette époque.

Je crois que Commodore, du temps de Jack Tramiel, a tenté de gérer la langue arabe. Lorsque mon père a acheté un C64 à l'époque, il l'avait acheté avec une cartouche spéciale qui permettait au C64 d'afficher des caractères arabes. Cela s'appelait Zanin mais je ne rappelle plus si elle avait été conçue par une entreprise arabe ou iranienne (le persan utilise aussi des caractères arabes). J'ai cherché la ROM Zanin sur Internet mais je ne l'ai pas trouvée.

- Qu'en était-il de Phase 5 et des sociétés tierces Amiga ? Est-ce que l'ère de l'Amiga était terminée en Syrie quand les cartes PowerPC sont sorties ? Est-ce que des boutiques en vendaient en Syrie ou deviez-vous vous les procurer à l'étranger ?

A ma connaissance, il n'y a pas d'utilisateurs Amiga PowerPC en Syrie. Juste après la faillite de Commodore, l'approvisionnement en matériel Amiga s'est arrêté. Et même avant la faillite, le marché des extensions Amiga était peu développé. La plupart des gens achetaient du matériel pour les jeux, il s'agissait soit d'un lecteur de disquette externe, soit de la mémoire supplémentaire. Après la faillite de Commodore, on avait du mal à trouver un disque dur interne pour A600 et A1200. Mais peut-être que la situation était meilleure à Damas, la capitale, car j'y ai vu des utilisateurs de gros Amiga (principalement A2000 et A4000). Dans ma ville, je n'ai jamais vu ce type d'Amiga.

Zaher Sai
Lattaquié

- Existait-il à l'époque (et existe-t-il actuellement) des groupes d'utilisateurs Amiga en Syrie ?

Je ne connais aucun groupe d'utilisateurs d'Amiga en Syrie. J'ai vu dans des forums et sites d'informatique rétro arabophones, des membres mentionner l'Amiga, mais cela émanait de tout le monde arabe, et pas seulement de Syrie. Je suis peut-être le dernier fan d'Amiga en Syrie.

Il y avait beaucoup d'utilisateurs Amiga en Syrie (peut-être des milliers), mais comme je l'ai mentionné, ils l'utilisaient principalement pour les jeux. Et quand de meilleurs systèmes pour les jeux sont apparus, ils ont immédiatement quitté le navire.

- Y avait-il des groupes de demomakers ? Étiez-vous intéressé par les démos ? Avez-vous organisé des rassemblements Amiga ?

Je ne connais aucun demomaker en Syrie qui vaille la peine d'être mentionné. A l'époque, quelques amis amigaïstes qui programmaient en AMOS ou en assembleur ont réalisé des démos, mais ces dernières n'étaient pas aussi bonnes que celles faites en Europe.

A cette époque, presque tous les jeux et logiciels étaient piratés (et même maintenant dans un monde dominé par Windows et Android). Je me rappelle que le groupe pirate Fairlight mentionnait dans ses intros qu'il disposait de membres majeurs aux Émirats Arabes Unis.

- Quelle est votre vision de l'avenir de l'Amiga ? Appréciez-vous les machines d'A-EON Technology et les cartes Vampire ?

L'avenir de l'Amiga est mon sujet favori, c'est l'une des raisons pour laquelle je suis un fan d'Amiga.

A mon humble avis, A-EON Technology a fait du bon travail pour les utilisateurs d'AmigaOS 4 et d'Amiga NG. Je suis un grand fan de Trevor Dickinson et d'AmigaKit.

L'équipe Vampire propose aussi un bon bol d'air aux utilisateurs d'Amiga Classic.

Bien que Hyperion Entertainment ait fait un excellent travail avec AmigaOS 4.1, les choses se sont ralenties après sa sortie, ce qui est triste. Le pire est en fait le manque de communication avec la communauté Amiga. Ils ont aussi fait des promesses pour une nouvelle feuille de route pour AmigaOS il y a quelques années lors de l'AmiWest, mais cela ne s'est jamais concrétisé.

J'admire également ce que les frères Frieden ont fait pour AmigaOS et le noyau Exec, mais je pense qu'ils devraient lorgner sur une nouvelle solution radicale pour garder l'Amiga dans la course technologique.

Je ne suis pas programmeur, mais tel que je le comprends, AmigaOS (comme la plupart des systèmes d'exploitation), dispose de six composants majeurs : le noyau Exec, les pilotes de matériel, la GUI (Intuition), un gestionnaire de fichiers (Workbench), un système de fichiers et un DOS (Shell). Les sociétés Amiga ont des ressources limitées et un très petit nombre d'utilisateurs. Nous devons donc compter sur des logiciels à code source ouvert pour mettre à jour ces composants. Les deux composants qui peuvent dépendre d'un code ouvert sans perdre "l'identité Amiga" sont le noyau et les pilotes de matériel.

A-EON Technology et Hyperion ne peuvent pas mettre à jour AmigaOS seuls pour toujours. Rien que les pilotes 3D pour Radeon HD consomment beaucoup d'argent, de temps et d'efforts pour A-EON Technology. Nous devons donc trouver un nouveau noyau qui consomme moins de ressources pour créer les pilotes de matériel.

Le nouveau noyau doit être un micro-noyau temps réel à code source ouvert qui gère les dernières technologies IoT (Internet des choses), il doit aussi être soutenu par les principaux constructeurs de matériel dans un monde dominé par les processeurs Intel et ARM. Il existe beaucoup de micro-noyaux gérant l'IoT comme RIOT, TinyOS et d'autres. Le meilleur candidat pour ce rôle serait, selon moi, seL4 qui est le micro-noyau le plus rapide sur Terre. Il gère les cartes mères x86 et ARM et dispose même d'une base d'architecture en 64 bits et prévoit de gérer à l'avenir l'architecture x64.

En choisissant un nouveau micro-noyau, nous pourrions réduire de beaucoup les dépenses pour les pilotes de matériel et construire de moins coûteux AmigaOne PowerPC. Avec ces ressources supplémentaires, nous pourrions améliorer les logiciels, porter des applications de pointe issues d'Unix comme le synthétiseur vocal Sirius, ou bien améliorer AmigaOS afin qu'il soit plus compétitif par rapport aux plates-formes grand public.

Désolé pour cette longue réponse mais, comme mentionné plus haut, le futur de l'Amiga est mon sujet préféré.

- Passons aux solutions alternatives qui jouent aussi un grand rôle pour l'avenir de l'Amiga. Que pensez-vous de MorphOS ? Est-ce que quelqu'un en a entendu parler en Syrie ? L'avez-vous testé sur Mac PowerPC ?

Je ne l'ai jamais essayé. Je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà essayé en Syrie ou même si quelqu'un connaît ce système en Syrie mais je pense que MorphOS est une alternative intéressante à l'AmigaOS officiel. Dans ma ville, les Mac sont assez rares, j'ai trouvé une fois un Mac PowerPC en vente et j'ai pensé l'acheter pour essayer MorphOS dessus. Malheureusement, son propriétaire en demandait beaucoup d'argent, je ne me souviens plus du prix mais j'avais vu qu'avec cette somme vous pouviez vous acheter un PC neuf.

Je crois que Hyperion et l'équipe MorphOS devraient se réunir et discuter autour d'une table. Les conflits et les diversions ne sont pas bons pour notre petite communauté. AmigaOS 4 et MorphOS ont beaucoup de similitudes et ils ont tous les deux des projets intéressants mais aussi très similaires. Je pense que s'ils étaient unis, les Amiga NG seraient en meilleure posture, ils pourraient bénéficier mutuellement de leur code et de leur expertise. MorphOS pourrait également bénéficier du nom Amiga si son équipe rejoignait Hyperion.

Hyperion pourrait vendre une version spéciale d'AmigaOS 4.1 avec une saveur MorphOS afin d'augmenter les ventes. Je pense que Hyperion devrait apprendre de la communauté Linux et de ses distributions. AmigaOS pourrait par exemple être vendu dans une variante pour les fans de mangas et animes (comme la distribution Linux Mangaka), pour les jeux rétro, pour les musiciens, les graphistes, le cinéma, les fans de célébrités, les amateurs de sports et de voitures, etc.

Une chose que je voudrais ajouter à la question précédente sur A-EON Technology et ses projets Amiga de prochaine génération : comme je l'ai dit, ils ont fait un excellent travail, surtout avec le lot Enhancer Software et les dernières machines AmigaOne X5000 et A1222, lequel est bon marché. Mais je pense qu'A-EON Technology devrait laisser tomber Xena et la puce XCore (même s'il s'agit d'un complément tout à fait unique) pour son prochain projet (X6000 ?) car elle n'a jamais été utilisée en raison d'un manque de programmeurs expérimentés et intéressés. Je pense que l'on pouvait s'attendre à cette situation car l'Amiga n'a jamais été une machine dédiée aux applications industrielles ou commerciales. L'Amiga était destiné aux graphismes, au multimédia et aux jeux dès sa création, je ne pense donc pas que Xena puisse s'adapter au monde de l'Amiga, indépendamment de ses possibilités et de sa puissance. Je pense qu'un FPGA pour le rendu 3D temps réel serait plus utile que Xena pour la communauté Amiga.

- Qui vous a le plus inspiré pour continuer sur Amiga en Syrie ?

Difficile de répondre. J'ai possédé de nombreux ordinateurs et consoles mais mon favori est l'Amiga (il sera toujours mon premier et dernier amour). Je ne sais pas vraiment pourquoi je suis tombé amoureux de l'Amiga, peut-être parce qu'il s'agissait d'une excellente machine. C'est comme être interrompu dans un merveilleux rêve : vous souhaitez vous rendormir pour revenir à ce rêve. Ce merveilleux rêve que j'aimerai sans cesse continuer est l'Amiga.

Quand j'ai utilisé les MSX, MSX2, C64, C128 (pendant moins d'un mois), Atari 2600, Atari 5200, ColecoVision, Famicom et même Mega Drive, j'ai toujours senti qu'il manquait quelque chose dans les graphismes ou les musiques. L'Amiga fut la première véritable machine multimédia et j'ai rêvé d'elle pendant toutes ces années. J'aime les arts et les cultures européenne et japonaise. Je pense que la Neo Geo est la meilleure plate-forme pour représenter les arts japonais dans les jeux vidéo. Et de l'autre côté, quand je pense aux arts européens dans les jeux vidéo, je ne peux pas songer à une autre plate-forme que l'Amiga. L'Amiga était l'âge d'or pour les jeux et le multimédia européens.

Je n'ai pas utilisé mon A1200 dernièrement et je ne sais pas s'il fonctionne ou non. Voici une photo.

Zaher Sai
L'A1200 de Zaher Sai

- Quel message voulez-vous passer à nos lecteurs ? Avez-vous un blog ou quelque chose que vous souhaitez faire partager ?

Merci de m'avoir offert cette opportunité dans cet excellent site Internet Amiga. Je pense que votre site Internet couvre une bonne part des activités Amiga et dispose de nombreux bons articles. Je pense cependant que les utilisateurs d'Amiga (surtout NG) ont besoin de plus de tutoriels pour les applications sérieuses. Nous avons besoin de davantage de chaînes YouTube et de pages Facebook avec des tutoriels pour les nouveaux utilisateurs d'AmigaOS et pour les programmes sérieux. Je n'ai malheureusement pas de blog mais je dispose d'une page Facebook.




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