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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de Indiana Jones & The Temple Of Doom
(Article écrit par Tony Smith et extrait d'ACAR - février 1990)
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Si vous avez vu le film d'action et d'aventure du même nom que ce jeu, vous saurez ce qui vous
attend. Le scénario est le même que celui du film.
Au cours d'une expédition archéologique, Indiana se rend dans le village de Mayapore en Inde. Il y
découvre les ruines anciennes d'un temple et découvre que de nombreux enfants de la région ont été
emprisonnés par le sorcier maléfique dans les catacombes du temple.
L'écran de chargement montre qu'il s'agit d'une conversion Atari, ce qui se reflète également
dans les couleurs du premier écran. Qui a entendu parler d'un jeu Amiga avec une toile de fond en
quadrichromie ? Pour l'instant, ces griefs mis à part, le jeu lui-même offre davantage au joueur.
Dès le chargement, votre homme bien animé apparaît avec son fouet, tournant et fouettant en douceur
dans toutes les directions, il semble être un adversaire redoutable. Trois portes s'ouvrent à vous :
facile, moyen et difficile.
Les trois parcours sont plus périlleux les uns que les autres, avec trois niveaux de jeu à l'intérieur
de chaque porte. Entrer dans la porte (facile bien sûr) mène à un jeu d'exploration et de plates-formes
peu inspirant, contenant des cobras, des chauves-souris, des sorciers avec des boules de feu et des
piles de boules. Zapper tous les attaquants avec votre fidèle fouet donne des points et faire sauter
les serrures des cages des enfants donne encore plus de points. Les enfants sont cachés à divers endroits
de la carte et sont très reconnaissants d'avoir été libérés.
Bientôt, notre héros se rend à l'entrée de la mine. S'engageant sans crainte dans le tunnel, il
monte à bord d'un wagon branlant et, soudain, c'est vous qui êtes aux commandes. En se penchant à
gauche et à droite, il soulève les roues et passe sur les sections de voie manquantes. En tirant
sur les freins, il ralentit le wagon, ce qui permet aux autres véhicules de s'insérer en douceur
sur les voies. Notez que les autres véhicules sont tous à votre recherche et que vous pouvez
les détruire en atterrissant dessus.
La vitesse augmente au fur et à mesure que vous avancez vers le bas et si vous arrivez jusqu'ici,
vous aurez une chance d'accéder au niveau 3. Il s'agit maintenant de se frayer un chemin sur
la plate-forme coulissante au-dessus de la fosse enflammée, en synchronisant votre course de
manière à saisir l'idole incrustée de joyaux depuis son perchoir au-dessus du feu.
Si vous réussissez ce défi, vous devrez le relever deux autres fois, chaque fois plus difficile,
jusqu'à ce que vous obteniez tous les joyaux.
Si Indy récupère les trois joyaux, il doit s'échapper par un pont de corde en esquivant les
boules de feu lancées par le méchant Mola Ram. Neuf niveaux sont disponibles, les deux derniers
étant extrêmement difficiles. Tous les niveaux sont constitués d'une combinaison des trois
arrière-plans avec de plus en plus de méchants sur chacun d'entre eux.
Certains des jeux Indiana Jones destinés à l'Amiga sont incroyables et, aux dernières nouvelles, il
y en avait trois, deux jeux d'arcade et un jeu d'aventure graphique et textuel. Malheureusement,
les graphismes de ce jeu manquent de détails et, sur Amiga, c'est une honte. En outre, le défilement
est et saccadé et le son est plutôt limité. Mais le jeu lui-même est très jouable et a la qualité de
l'addiction "essayer juste une fois de plus". A plus de 60 $ australiens, c'est un jeu que vous devriez
essayer avant d'acheter.
Note : cet exemplaire d'évaluation a été fourni par Mindscape Pty Ltd (02) 899 2277.
Nom : Indiana Jones & The Temple Of Doom.
Développeurs : Level Systems.
Éditeurs : US Gold, Mindscape.
Genre : jeu d'action multigenre.
Date : 1989.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : 330 FF (69,95 $ australiens).
NOTE : 3,5/10.
Les points forts :
- Des scènes variées, on veut l'essayer à nouveau pour aller plus loin.
Les points faibles :
- La fenêtre de jeu est très petite.
- Les graphismes sont laids.
- Exploration peu inspirante pour la première partie.
- Sons limités.
- Contrôles rigides du héros.
- Assez lente, même comparée à la version C64.
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