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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Programmation : GFA Basic - gestion du clavier
(Article écrit par Pierre-Philippe Launay et extrait d'Amiga News - juin 1992)
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En GFA Basic, nous allons montrer comment gérer le clavier à la façon BASIC puis C puis assembleur.
Comment programmer notre ProWrite en GFA afin de profiter d'une rigueur toute germanique ou d'une plus
grande rapidité toute Ostrowski ? Il nous faut tout d'abord comprendre les avantages et inconvénients de
chacune des trois possibilités de saisie.
En BASIC GFA : INKEY$ est traité en dernier par GFA et dans le cas d'un codage important (100 ko)
avec la gestion de nombreux événements (souris, fermeture...), le temps de latence peut atteindre
trois secondes puis le tampon réceptionnant les touches enfoncées peut se décharger brutalement avec
ses 128 caractères d'affilé comme pour la commande "cd" du Workbench.
En C GFA : plus mieux et plus propre mais cela nécessitera une bonne connaissance de la notion des événements
et des structures. Ici VANILLAKEY permet la gestion internationale des touches. C'est-à-dire que le "A"
sera toujours converti en nombre "65" (&H40) quelle que soit la configuration de clavier utilisée avec la
commande SetMap. Problème, le code ASCII ne connaît pas les touches particulières (grises sur une A500).
On pourrait utiliser l'événement "RAWKEY &H400" pour une gestion des touches brutes de fonctions, ALT,
AMIGA et caetera mais cet événement sera incompatible avec VANILLAKEY. Solution de dépannage : utiliser
RAWKEY puis la fonction ~RawKeyConven(...).
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