Suivez-nous sur X
|
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z,
ALL
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
A propos d'Obligement
|
|
David Brunet
|
|
|
|
Test de Galileo
(Article écrit par Jean-Philippe Delalandre et extrait de Tilt - décembre 1987)
|
|
Comment ne pas être séduit de prime abord par la qualité apparente et les multiples possibilités de
ce logiciel qui transforme l'Amiga en une superbe carte du ciel ?
Il s'agit là d'un véritable outil au service des astronomes novices ou chevronnés, capable de reproduire
les configurations d'astres Visibles depuis n'importe quel point d'observation terrestre,
à un instant quelconque (le programme couvre une période de huit siècles !).
Très réalistes, donc très beaux, les graphismes restituent les différences de brillance entre étoiles.
L'écran se couvre, à la demande, de constellations de coordonnées, et les nombreuses options
disponibles procurent une souplesse d'utilisation exemplaire,
Pourtant, quelques imperfections viennent tempérer notre enthousiasme. L'observation au
télescope d'une éclipse solaire met à jour (si l'on peut dire) des incohérences qui
laissent perplexe. La Lune montre une face éclairée alors que le Soleil est représenté
en gris sombre, ce qui témoigne d'une vision pour le moins surréaliste du phénomène,
propre à semer la confusion dans les esprits.
Certains risquent en effet d'imaginer, sur la foi de ces images trompeuses, que c'est le
Soleil qui passe entre la Terre et la Lune ! Pour ne rien arranger, la superposition
des deux astres est imparfaite et un secteur entier du Soleil dans lequel vient
s'inscrire la Lune, est étrangement éclipsé. A cela s'ajoutent quelques bogues
déplaisants, empêchant de temps à autre la fermeture de la fenêtre du télescope,
ou dotant notre système planétaire d'un deuxième Soleil, résidu de pixels provenant
d'un écran précédent insuffisamment nettoyé.
On peut également déplorer l'absence de mémorisation des pages écran, qui impose un
nouveau calcul de positions des astres après chaque affichage de fenêtre.
La lenteur de l'affichage provoque des temps morts qui restent malgré tout
négligeables à l'échelle de l'univers.
Nom : Galileo.
Développeur : Mike Smithwick.
Éditeur : Infinity Software.
Genre : astronomie.
Date : 1987.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
|
|