Obligement - L'Amiga au maximum

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Test de Crime Does Not Pay
(Article écrit par Frank Ladoire et extrait de Génération 4 - décembre 1990)


Dès qu'il s'agit de quitter la légalité, Frank Ladoire est notre maître à tous ! Fiché par les polices du monde entier, pour agressions multiples et variées, il a découvert avec plaisir ce jeu de Titus au but assez peu avouable.

Crime Does Not Pay

Crime Does Not Pay (Le Crime Ne Paie Pas) est un jeu d'aventure/arcade qui donne l'occasion à tous les joueurs que le civisme et la politique intéressent de s'adonner à une campagne électorale un peu spéciale. Voulant devenir le maire de la ville, vous apprendrez rapidement qu'il est parfois plus facile de mener campagne et de parvenir à ses fins avec des moyens peu avouables plutôt que de rester dans la stricte légalité. De toute façon, même si vos intentions sont pures, vous serez vite corrompu par ce jeu, car en écartant toute action susceptible de choquer votre morale, vous n'arriverez à rien de concret, et surtout pas dans le fauteuil du maire.

Crime Does Not Pay

En début de partie, vous devez choisir entre trois équipes bien distinctes (mafia italienne, yakuza japonaise, cartel chinois) et placées en différents endroits de la ville. Votre groupe consiste toujours en trois personnages, représentant vos trois essais : le père (vous), un homme de main vicieux et une charmante femme. Ensuite, vous sélectionnez le personnage chargé de ratisser la cité, de préférence un de ceux en possédant la carte, pour glaner ici et là les éléments nécessaires à votre élection. Mais en tout premier lieu, il vous faut récupérer de l'argent (1000 dollars) pour acheter la disquette vous permettant de sauvegarder votre partie. Même si, plus tard dans le jeu, vous êtes à peu près certain d'en trouver une, c'est plus prudent. De même pour les munitions, au début de la partie il vous faut les acheter. Ces transactions se déroulent dans les General Store, seuls magasins dans lesquels il est possible d'entrer.

Crime Does Not Pay

Dès que vous êtes équipé, commence alors une phase de tâtonnements et de recherche d'indices parmi les 200 pièces de la ville. Munissez-vous d'un papier et d'un crayon car il n'est pas rare de devoir noter des numéros de code, lesquels vous permettront ultérieurement d'ouvrir certains coffres recèlent souvent de précieuses informations. De cette façon, il vous sera également plus facile d'établir les liens existants entre différents individus et les moyens de les faire chanter.

Bien évidemment, votre action ne plaît pas à tout le monde et surtout pas à vos opposants candidats à la mairie. Ces derniers n'hésitent pas à engager des tueurs à gages pour vous éliminer, et il faut souvent faire usage de son arme pour survivre. Même remarque pour les "skinheads", mieux vaut les éliminer avant qu'ils ne vous frappent. N'oubliez pas de fouiller chaque cadavre, il cache souvent des objets utiles.

Autre élément du jeu dont il faut tenir compte, la police. Patrouillant seul ou à deux, les policiers arrêtent tous les individus pris en flagrant délit. Interdiction formelle donc, de descendre un adversaire sous le nez des forces de l'ordre, à moins de réussir à fuir très vite, vous seriez vite poursuivi, appréhendé et emprisonné. Un conseil, pour être plus tranquille, donnez au chef de la police une enveloppe conséquente. Si elle n'empêchera pas votre arrestation, vous serez néanmoins libéré très rapidement. Autre tuyau, il existe deux façons de gagner la mairie de la ville, à vous de jouer et de choisir.

Crime Does Not Pay

La réalisation de Crime Does Not Pay n'est pas exceptionnelle, avec un défilement saccadé et des chargements bien longs. Mais elle est tout à fait satisfaisante pour ce type de jeu avec de bons graphismes et une excellente interface joueur. En bref, un jeu correct où la mécanique de jeu prime sur la technique !

Nom : Crime Does Not Pay.
Développeurs : Eldritch The Cat.
Éditeur : Titus.
Genre : jeu d'aventure/action.
Date : 1991.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.

NOTE : 5,5/10.

Les points forts :

- Plutôt original.
- On peut d'adonner au crime, à la corruption, au pillage de banque, etc.
- L'interface joueur.

Les points faibles :

- Réalisation pas exceptionnelle.
- Scènes d'action peu motivantes.
- Défilement saccadé.
- Chargements longs.


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