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On le savait depuis longtemps, Commodore nous réservait une surprise de taille pour cette fin d'année. C'est fait, l'Amiga 4000 vient de nous être présenté au World Of Commodore qui se tenait à Pasadena en septembre. En même temps est aussi dévoilé le nouveau système d'exploitation de l'Amiga dénommé AmigaOS 3.0. ![]() Les tests de performance réalisés avec AIBB (voir plus bas) sont certes un bon moyen de tester les performances réelles d'une machine mais il faut aussi tenir compte d'autres éléments comme la qualité de l'affichage, la compatibilité avec les anciens logiciels et les progrès obtenus grâce à la nouvelle version du système d'exploitation. ![]() Le logo
Ce nouvel Amiga est radicalement différent de ses prédécesseurs tant dans ses performances que dans son architecture. Les puces spécialisées de l'Amiga 4000 sont presque toutes différentes des anciennes machines que ce soit l'A2000 ou l'A3000. Tout en étant plus ou moins compatibles, ils travaillent désormais plus rapidement et proposent un grand nombre de nouveautés en accord avec AmigaOS 3.0. Le plus intéressant dans cet A4000 est de découvrir avec bonheur que cette machine est totalement évolutive et complètement ouverte. Sa carte mère, outre les quatre ports d'extensions Zorro III (comme sur l'A3000) ne contient pas le coeur de l'Amiga : le processeur. En effet, ce dernier se trouve sur une carte additionnelle (carte fille) enfichée dans le connecteur processeur (le même que sur l'A3000) dans un coin de la carte mère. ![]() La carte fille processeur (A3640) Côté connectique, le clavier a un connecteur de type PC (!?). La souris se branche à gauche. Un gaucher aurait-il conçu la machine ? Cela ne gêne en rien. Un prix peu élevé L'Amiga 4000, à sa sortie, a surpris tout le monde par son prix peu élevé. Mais en regardant de près, on constate que ce prix n'est pas un cadeau. La technologie de montage utilisée est 100% en SMD (tous les composants sont directement soudés sur la carte mère, interdisant toute mise à jour future), procédé de montage très peu coûteux utilisé déjà depuis longtemps par les fabricants de clones taïwanais. Quand on voit le prix d'une carte mère 486 (5000 FF), on se doute à peu près du prix de revient de la carte mère de l'A4000. Rentabilité oblige, Commodore ne fabrique même plus ses puces spécialisées AGA. En effet, la fabrication de celles-ci est sous-traitée par NCR et HP, ce qui en baisse encore le coût de fabrication. La conception des composants cependant est toujours assurée par Commodore. On peut donc dire sans hésiter que Commodore aurait pu commercialiser l'Amiga 4000 pour moins de 15 000 FF sans difficulté, d'autant plus que c'est déjà le cas en Allemagne, où le prix pour un modèle équipé de 6 Mo de mémoire vive et d'un disque dur de 120 Mo (IDE) est de 13 000 FF TTC (TVA 14%). Je pense qu'à terme une baisse de prix est inévitable, concurrence oblige. L'A3000 est certes une belle réalisation en ce qui concerne son procédé de fabrication (tous les coprocesseurs sont sur un socle) mais il n'a aucune chance de subsister face à l'A4000 qui doit coûter à peu près deux fois moins cher à fabriquer (le type de processeur utilisé, 68030 ou 68040 n'y change plus rien). Je pense que nous pouvons nous réjouir de cette nouvelle donne, qui va rendre la gamme Amiga très abordable et concurrentielle face aux PC et Mac. Enfin, l'Amiga 4000 sera décliné en différentes versions : un A4000 à base de 68030 devrait être disponible cette année (NDLR : ce modèle est finalement arrivé en avril 1993). D'autre part, les produits proposés par les constructeurs OEM Amiga sont désormais capables de combler beaucoup de lacunes actuelles et les développements futurs du système d'exploitation permettront l'utilisation d'une grande diversité de cartes graphiques avec le Workbench. La carte mère L'esprit de l'Amiga est quand même préservé avec cette nouvelle carte mère. Toutes les puces spécialisées ont cependant fortement évolué vers des performances assez impressionnantes. A part Paula (8364 R7) et Ramsey (contrôle de la mémoire, se trouvait sur l'A3000) qui sont restés, les autres sont à la retraite et remplacés par de nouvelles plus performantes, cadencées à des fréquences plus rapides. Par exemple Denise a disparu et c'est Lisa (8203 R2) qui la remplace ; le Super Fat Agnus est remplacé par Alice, le tout en 32 bits. Comme sur l'A3000, on retrouvera les quatre mêmes connecteurs Zorro III pour les cartes d'extensions disposées horizontalement. Toutes les possibilités des cartes aux normes Zorro II et III sont conservées sur cet A4000 ainsi que les cartes utilisant le port vidéo et les cartes d'émulation PC. Sur cette nouvelle carte mère, on trouve de nouveaux emplacements pour la mémoire acceptant les barrettes SIMM 72 broches très employées dans le milieu PC. Il existe cinq emplacements pour ces barrettes, une pour la mémoire Chip et quatre pour la mémoire Fast. Les barrettes SIMM sont directement des 1M ou 256K/36, ce qui donne respectivement 1 Mo et 4 Mo de mémoire par emplacement. La mémoire est donc en accès direct par le processeur ; de même pour les ROM (2x256 ko en 16 bits). La mémoire Chip est extensible à 2 Mo (Commodore a prévue de l'étendre à 8 Mo via un cavalier sur la carte mère mais celui-ci est inactif). La mémoire Fast est extensible à 16 Mo sur la carte mère, 128 Mo via la carte processeur et 1 Go via les extensions en Zorro III.
De plus, il est plus lent. Une animation Vista Pro présentée à partir du disque dur IDE de l'A4000 ressemble plutôt à une présentation de diapositives (tout juste une image par seconde) qu'à autre chose. Je n'ai appris qu'après avoir rendu la machine que le disque dur, suite à une erreur de manipulation, avait été formaté en utilisant l'ancien système de fichiers (Old File System) et que cela était la raison majeure de la lenteur du disque (Bruce Lepper : tous les Amiga 4000 que nous avons vu jusqu'à présent ont leurs disques durs formatés en OFS. On peut se demander pourquoi). En formatant le disque en Fast File System, on devrait de nouveau obtenir des performances acceptables. Je n'ai malheureusement pas eu le loisir de vérifier cette affirmation mais elle me semble raisonnable. Évidemment, on pourra dire qu'un disque dur IDE est moins cher qu'un SCSI. C'est cependant une mauvaise excuse sachant que la machine coûte près de 20 000 FF en France et que la différence de prix entre un IDE et un SCSI de la même capacité n'exède pas 1000 FF dans tous les cas. La seule chose qu'il reste à faire est d'acheter un contrôleur SCSI-2 et le disque dur qui va avec. Résultat : un connecteur perdu et 5000 FF de dépensés. La disparition du SCSI est donc la mauvaise nouvelle. Voici quelques tests de vitesse du disque dur IDE de l'A4000, en comparaison avec un disque dur Quantum sur la carte SCSI HDC+ de GVP, avec le logiciel DiskSpeed 4.2 : ![]() L'Amiga 4000 est donc équipé de base d'un 68040 et de nouveaux composants (AGA) plus rapides tournant à une fréquence doublée par rapport à l'A3000. Conséquence : un Blitter plus rapide, des échanges plus rapides et donc des possibilités accrues surtout au point de vue du graphisme. Les circuits spécialisés de l'A3000 fonctionnaient en interne à une fréquence d'environ 3,2 MHz. Ils tournent maintenant à plus de 7 MHz en 32 bits et ont été améliorés (sauf Ramsey qui se promène toujours avec son bogue). Les circuits de l'Amiga 4000 sont les suivants :
Un mode particulier de HAM nommé HAM8 (256 registres) nous permet d'utiliser 262 144 couleurs parmi 16 millions sur toutes les résolutions déjà citées. Ce HAM8 est donc une sorte de codage sur 256 registres qui ressemble au non regretté HAM-E (tiens, tiens...) mais apparemment sans contraintes et avec un affichage largement plus précis. Ces nouveaux modes propulsent l'Amiga 4000 encore plus haut et il devient largement plus concurrentiel avec de nombreuses solutions graphiques ou même PAO et PréA0 bien plus onéreuses. L'affichage En ce qui concerne l'affichage, une chose est essentielle : l'Amiga 4000, contrairement à l'A3000, n'a plus de désentrelaceur. C'est très dommage, car la solution dite de remplacement, qui s'appelle le "mode Promotion", ne peut remplacer un désentrelaceur matériel que lorsque le Workbench est chargée. D'autre part, peu de logiciels actuellement disponibles tirent parti des nouveaux modes DBLPAL ou DBLNTSC, modes graphiques "promotion" des composants graphiques AGA de l'A4000, comparables au mode Productivity des composants graphiques ECS présents dans l'A3000. Ils produisent un affichage sans scintillement en se passant d'un désentrelaceur. Ces modes ne sont disponibles que lorsque le Workbench est activée. Il va donc de soi que tout ce qui est logiciel démarrant sur sa propre disquette (jeux), basée sur une version antérieure du système d'exploitation, ne pourra désentrelacer le signal vidéo. Le mode DBLPAL n'est pas une équivalence au mode PAL transparente pour les logiciels Amiga. Un logiciel classique essaiera toujours de démarrer en mode PAL, c'est le système 3.0, grâce à une bidouille appelée "force promotion" qui oblige les logiciels à ouvrir un écran en mode DBLPAL. Le résultat se traduit parfois par des écrans mal centrés, décalés, surdimensionnés ou rétrécis, bref, quelques problèmes de compatibilité à prévoir pour le début. Les seuls logiciels garantis à l'abri de ces déboires sont ceux qui peuvent ouvrir un écran sur le Workbench. Il reste donc à attendre les nouvelles versions adaptées au système 3.0 et aux coprocesseurs AGA. Ne nous plaignons cependant pas trop et pensons à ceux qui ont dû faire les mises à jour de Windoze 3.0 à 3.1... Mais quels sont donc les avantages du système 3.0 et des nouveaux modes graphiques AGA ? Soyons honnêtes, ils sont nombreux et de taille : tous les modes graphiques du Workbench acceptent 256 couleurs simultanément, la palette est de 16,7 millions de couleurs et la vitesse d'affichage a été grandement améliorée. Le système 3.0 lui-même est déjà plus rapide que la version 2.1 sur un Amiga 3000 sans les composants AGA. Mais soyons aussi réalistes : aucun progrès n'a été fait concernant les résolutions graphiques. Le mode 800x600 scintille et est inutilisable dans le domaine de la bureautique ; c'est vraiment dommage. A quoi servent 256 couleurs sur le Workbench s'il n'y a pas moyen de travailler correctement au delà de 640x512 ? Bien sûr, on peut augmenter un peu la résolution avec le suraffichage en mode PAL (suraffichage = overscan, et oui, l'Amiga s'est francisé, habituons-nous à utiliser les termes français), mais un mode 800x600 en 70 Hz, capacité qu'il est désormais normal d'attendre d'une machine haut de gamme, n'est pas disponible sur l'A4000. Heureusement que des solutions proposées par de tierces sociétés permettront de combler ces navrantes lacunes. Les modes graphiques n'ayant pas été améliorés en ce qui concerne les résolutions, il est à parier que ce type d'extensions vont se développer de plus en plus. Il reste que sans désentrelaceur matériel, sans nouvelles résolutions graphiques et avec un disque dur relativement lent, l'A4000 perd beaucoup des avantages qu'il aurait pu avoir et qu'il reste encore trop cher quand on le compare à un PC 486DX. Les tests Voici maintenant, comme promis, une série de tests de performance réalisés avec AIBB. Les machines de test sont un Amiga 3000 équipé de 2 Mo de mémoire Chip, 12 Mo de mémoire Fast (static column 70 ns) avec un jeu de composants ECS standard tout bête tournant sous AmigaOS 3.0 et 2.1 et un A4000 standard tournant sous AmigaOS 3.0 avec un disque dur IDE de 120 Mo et 6 Mo de mémoire vive (Bruce Lepper : nons avons ajouté d'autres configurations au tableau).
L'intérêt de faire des tests de performance sur un Amiga 3000 est que cela nous donne l'occasion de mesurer le gain réel de vitesse obtenu avec AmigaOS 3.0 par rapport à la version 2.1, sur une même machine.
On remarque tout de suite que tous les tests qui impliquent des routines d'affichage (Writepixel, TGtest et Beachball) donnent un gain de performance allant de 24% à 65% sur l'Amiga 3000. En vitesse brute, le 68040 à 25 MHz donne 27 555 Dhrystones soit 3,42 fois plus qu'un A3000/25 MHz. Seules les cartes accélératrices 68040 cadencées plus vite développent une puissance pure supérieure. La PPS 40 à 28 MHz ne développe que 17 000 Dhrystones avec la bibliothèque PPS de 3 ko, mais avec la 68040.library du Workbench 3.0 (qui pèse 30 ko), la carte PPS passe à 30 000 Drystones. Bravo aux développeurs, le système est à la hauteur de la machine. Ces tests de performance sont bel et bien la confirmation de ce que j'avais déjà ressenti en utilisant couramment AmigaOS 3.0 sur l'A3000 comme sur l'A4000 ou l'A1200 : le Workbench semble vraiment plus rapide, notamment pour tout ce qui concerne l'ouverture des fenêtres, leur déplacement, etc. Des logiciels comme Pro Page ou PageStream bénéficient également de regain de vitesse, tout comme CygnusEd (défilement). Le système 3.0 Le système tient sur six disquettes (Install, Amiga Workbench, Amiga Extras, Amiga Fonts, Locale et Storage) et est accompagné de trois manuels. Le menu de sélection du démarrage a été agrémenté par rapport à l'Amiga 3000 : on peut toujours choisir son unité de démarrage, mais il y a maintenant un test des cartes présentes et surtout un choix du mode d'affichage : NTSC ou PAL et Original (non-ECS), ECS, ou "Best Available" (ce dernier étant le mode 262 144 couleurs). Après avoir choisi le meilleur, je clique sur "OK" et le Workbench 3.0 est là. Ce nouvel AmigaOS 3.0 commence avec la version 39.xxx qui est en fait un aboutissement du 2.0 et 2.1. L'aspect global est le même que le 2.0 et à part l'ajout de l'utilitaire CrossDOS (permettant de lire directement les disques PC sur le lecteur Amiga), déjà présent sur la version 2.1, rien de nouveau au premier abord. En fait, c'est ici aussi l'aboutissement du 2.0 avec des présentations modifiées de certaines fenêtres et gadgets. En y regardant de plus près, on découvre dans le tiroir préférences, la bibliothèque Locale qui est la véritable révolution de ce système. La locale est implémentée dans l'Amiga pour permettre de transformer tous les messages contenus dans les fenêtres et les menus (en fait dans la ROM), dans la langue de votre choix. Et oui, voici enfin la possibilité de travailler en français sur votre Amiga. De plus, si un logiciel (Cf. Gigamem) utilise cette fonction locale, il peut donc lui aussi parler la langue que vous désirez. Pratiquement toutes les langues sont disponibles avec le Workbench 3.0 et cette bibliothèque peut aussi bien fonctionner sur les anciens Amiga. Dans l'image illustrant AmigaOS 3.0, on peut aussi voir le nouvel écran de la palette du Workbench permettant de sélectionner ses couleurs jusqu'à 256 simultanément. ![]() Préférences "Locale" La fenêtre appelée en sélectionnant "Information" dans le menu "Icônes" respecte désormais le multitâche et ne gèle plus le système. La localisation a aussi été améliorée : en effet, le fait de sélectionner "Utiliser" dans le programme préférences "Locale" met le Workbench à jour immédiatement, si un nouveau langage a été sélectionné. Avec la version 2.1, il fallait redémarrer l'ordinateur. Toujours dans les préférences et dans WBPattern, il est désormais possible de charger une image IFF en fond d'écran du Workbench et dans les fenêtres, ces images étant dans tous les formats d'écran déjà cités. ![]() Préférences "Motifs WB" (alias "WBPattern") Au niveau de la gestion des écrans, je n'ai toujours pas bien compris comment cela fonctionne. Certains logiciels ont du mal à adapter leur taille d'écran à la résolution du Workbench, notamment Directory Opus et ProWrite. Seuls marchent sans histoire les logiciels qui ouvrent leur écran sous forme de fenêtre sur le Workbench (Pro Page, PageStream) et Excellence!, qui ouvre même son écran personnalisé correctement. Il est intéressant de noter que la plupart des bogues cités ci-dessus disparaissent sur l'A3000 sous AmigaOS 3.0, ils sont un problème qu'avec l'Amiga 4000. Le jeu de composants AGA semble en être le responsable. Le mode DBLPAL ne nécessite apparemment pas les puces AGA pour fonctionner, puisque j'ai pu sans problèmes le faire marcher sur un A3000 ECS. C'est assez intéressant pour être mentionné. Sur l'A3000, ce mode se comporte comme le mode Productivity, avec 4 couleurs parmi 4. En fait, il me semble que le mode DBLPAL soit une sorte de mode Productivity à 50 Hz, puisque l'affichage est sans scintillement sur l'A3000, que le désentrelaceur soit activé ou non. La seule différence avec l'A4000 est qu'il n'y a qu'une palette de 4 couleurs, comme pour le Productivity et que le mode promotion n'est pas disponible. Cela augmente les bogues d'écran sous AmigaOS 3.0 sur un A3000. Le mode PAL, lui, marche très bien sur l'A3000 sous AmigaOS 3.0. Conclusion En bref, je dirai que l'Amiga 4000 est une machine intéressante qui, comme toute nouveauté de Commodore, présente encore quelques défauts de jeunesse. Les puces AGA permettent une avancée au niveau graphique par rapport à l'ECS, mais la puce audio Paula n'a pas été modifiée. Le 68040, bien que déjà présent sur des cartes accélératrices, fait de l'A4000 un ordinateur puissant. Comme extension à souhaiter pour l'avenir, je citerai un désentrelaceur capable de désentrelacer le mode 800x600 et un contrôleur SCSI au format Zorro III. Et même si tout le monde n'en a pas l'utilité, espérons que le DSP ne se fera pas trop attendre (dans la documentation de l'A4000 (en anglais), il y a un passage parlant du DSP et sa connexion future sur la carte mère...).
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